Ma femme et...

Informations sur Récit
Une première fois à trois.
2k mots
3.92
37k
1
0
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Ma femme a toujours eu un côté coquin assumé, côté devenu sexuel affirmé depuis que je suis avec elle, et ces liens charnels nous ont rendus inséparables et rapidement nous nous sommes mariés. Elle avait déjà tout ce qu'un homme désire chez une femme : le premier regard qui se fixe sur ses yeux verts, son visage marqué par des tâches de rousseur et coiffée de cheveux noirs. Puis son corps, ses vêtements aguicheurs offraient un décolleté tous les jours, une fenêtre sur sa poitrine ferme, si le tissu était assez tendu, on devinait une légère ligne abdominale menant à des hanches légères mais visiblement liées à ses seins. Un corps athlétique qu'elle entretenait par du yoga.

Le yoga, les cours lui permettaient d'admirer en toute discrétion les corps d'autres femmes moulés dans des matières brillantes, des gouttes de sueurs à travers ces fins matériaux. Elle se régalait à chaque séance, ayant un penchant pour le corps des femmes ; le sien d'abord en s'adonnant à la masturbation dès que le besoin se faisait sentir, puis celui des autres femmes qui tentaient l'expérience bisexuelle à laquelle j'assistais voire je participais suivant les préférences de sa conquête.

C'est elle qui a commencé à me titiller, connaissant ce fantasme masculin typique, me racontant comment elle caresserait une femme, prenant possession de son corps, comment elle prodiguerait un cunnilingus et comment chacune des deux bouches partagerait les jus de l'autre après l'orgasme.

C'est avec une de mes amies que je savais bisexuelle que nous avons eu notre première expérience. Une surprise, quand attiré dans notre chambre par ma femme dès mon retour du travail, j'ai trouvé mon amie Aurélie à nous y attendre encore habillée. Sur ses conseils à ma femme, je les laissais se découvrir au pied du lit, se déshabillant mutuellement avec des gloussements typiquement féminins.

Enlacées, c'est la plus expérimentée des deux qui donnait le premier baiser, reçu du bout des lèvres, puis les langues se sont liées alors que leurs mains parcouraient leurs dos dans un début de frénésie. Encore une fois, les mains habituées passaient sous le débardeur de ma femme, caressant à la taille pour remonter le tissu et le retirer, dévoilant son côté coquin : un soutien-gorge sombre et transparent grâce à une maille très fine, contenant des globes aux larges aréoles et aux fiers tétons.

Levant les bras pour subir le même traitement, la dentelle noire d'Aurélie donnait un aperçu de ses atouts, étant taillée un peu plus en chair. Embrassade une nouvelle fois, mais avec un contact de peau en plus, les érections de leurs tétons se frottants à leurs homologues du même sexe. De ces mains baladeuses, certaines s'égaraient entre le creux d'un dos, à une paire de fesses à presser un bassin contre un autre.

Un pantalon tombait, puis un deuxième rapidement, les cuisses entremêlées permettaient une stimulation et une augmentation de la température qui me laissait pourtant tremblant, les deux superbes femmes étaient finalement en sous-vêtements face à l'autre.

Ma femme, poussée à s'asseoir au bord du lit, était chevauchée par Aurélie, la couvrant de baisers dans le cou, puis sur le menton pour enfin atteindre ses lèvres, vision de deux femmes s'embrassant à demi-nues à un mètre de moi.

La bouche d'Aurélie descendait sur la poitrine de ma femme et ses mains expertes dégrafaient son soutien-gorge pour révéler des seins bien connus mais que je n'avais jamais vus pris en bouche par personne d'autre. Une aréole disparaissait gobée et choyée, l'assurance habituelle de ma femme à jouer avec mes sens en évoquant une pareille situation s'évaporait avec son premier cri de désir.

Son autre sein eut rapidement droit au même traitement. Menée plus haut sur le lit, Aurélie surplombait ma femme allongée pour dénuder sa poitrine parfaite, blanche et parsemée de légères veines bleues, son regard se portait sur moi puis ma femme à ce strip-tease. Un regard en coin qui m'invitait à profiter du spectacle avant d'avoir accès à la piste aux lionnes.

Les mains de ma femme montaient des cuisses d'Aurélie pour explorer son ventre puis ses seins nus, s'attardant à comparer leurs tétons tendus et la fermeté des globes. Attirant ma femme à elle, Aurélie lui laissait prolonger la découverte de cette nouvelle poitrine avec sa bouche, la prenant au plus près d'elle d'une main derrière la tête. Elle lui faisait descendre les mains sur ses fesses cachées d'un shorty en dentelle et se penchait en arrière, lui faisait déplacer ses baisers sur le ventre.

L'une pliée sur l'autre, Aurélie me tendait la main, m'autorisant à pénétrer dans ce groupe restreint où nous étions tous torse nu. N'ayant pas encore d'autorisation matrimoniale pour toucher une autre femme, je me plaçais derrière ma moitié pour lui caresser le dos, prenant en main ses globes parfaits surmontés de tétons excités encore humides de la succion d'une autre femme, lui embrassant le cou et donc me rapprochant du corps de notre amie.

Repoussée en arrière, ma femme était assise entre mes genoux, mélangeant sa langue avec celle d'Aurélie à quelques centimètres de moi. Repensant à moi, ma femme plaça ma main sur ce sein étranger au sien, mon autre main sur elle, comparant au mieux ces deux superbes corps, testant les réactions de chacune à la stimulation de leurs tétons. La petite protubérance de ma femme était plus épaisse, plus charnue, mais aucune n'avait ma préférence. Active à se délecter d'un sein, la main de ma femme glissée derrière mon cou m'attirait plus proche de la poitrine en face de moi, et avec désir je goûtais au fruit étranger, donnant dans un concert matrimonial des baisers et des coups de langue à une autre femme que la mienne.

La langue de ma femme se joint à la mienne pour stimuler le petit bout de chair d'Aurélie, puis partagea son premier baiser hétérosexuel de la soirée. Relâchant son étreinte, il suffit d'un coup d'œil de ma femme pour que notre amie remplace les lèvres précédentes sur les miennes, profitant de ces instants adultérins permis pour explorer ce nouveau corps d'une main. Sa peau était plus épaisse, de son dos à ses côtes que je ne sentais pas, de sa fesse tendre à ses cuisses douces.

Aurélie gémit dans ma bouche, une main curieuse venait de passer le long de son sexe à travers son shorty. Et un nouveau gémissement, plus long, quand la caresse intime se fit plus insistante et plus présente, nous faisant rompre notre étreinte. Leurs regards affamés se rejoignaient et le corps d'Aurélie basculait en arrière pour s'offrir à cette caresse, ma femme en profitant pour se placer au-dessus la chevauchant, offrant ses fesses coupées d'une ficelle directement à mon regard, l'écartement de ses cuisses un bout de tissu sur son intimité.

Je me plaçais sur le côté pour un meilleur point de vue, admirant les baisers de ma femme sur son ventre tandis que son pouce glissait sur la fente couverte de notre amie, insistant en pressant au niveau du clitoris. Les réactions d'Aurélie lui faisaient onduler doucement le corps, ses pouces agrippant la ceinture de son shorty pour le retirer, en profitant pour écarter ses jambes autour de ma femme et découvrir son sexe nu. Deux doigts de ma femme étalaient les jus sur le clitoris, décrivant des cercles sur le capuchon visible. Elle continuait cette exploration en insérant ces doigts délicatement dans le canal sexuel de notre invitée. Des baisers sur les cuisses, mais elle n'osait pas descendre prodiguer le cunnilingus tant fantasmé.

Comprenant que ça n'arriverait pas, Aurélie lui saisit le bras coupable et inversa la situation, se relevant en position assise puis prenant le dessus de ma femme. Les yeux dans les yeux, elle prit les doigts lubrifiés dans sa bouche pour les lécher et partagea un baiser à pleine bouche pour lui faire goûter sa texture intime. Imitant ma femme, Aurélie descendit le long de son corps en plantant des baisers tout en maintenant le contact visuel, et retira le string, dernier rempart de nudité. Étalant de la même manière les jus intimes, elle écarta les lèvres intimes de ma femme pour y donner un premier coup de langue, et tout la tension accumulée par son corps s'échappa en un cri aigu qui finit dans les ultrasons alors que son clitoris se retrouvait stimulé à son tour.

Une tension sexuelle qui faisait souffrir mon sexe encore coincé dans mon jean ; les deux corps nus en face de moi, dont un anus inconnu trônait sous mes yeux, me forçaient subliminalement à me déshabiller intégralement. À genoux sur le lit, je surplombais la scène lesbienne dont ma femme faisait partie intégrante, et écartant une cuisse puis des cheveux, j'admirais le savoir faire de notre amie.

Rapidement, elle la menait à l'orgasme, produisant un son différent de nos ébats hétérosexuels. Son corps se crispait et ses mains empoignaient vigoureusement ses seins dans un dernier râle tremblant. Une tendre étreinte s'ensuivit entre elles, et j'étais là à me caresser lentement en espérant en voir plus.

Mon érection reposait au creux de sa hanche, nous trois dans un petit groupe alors que ma femme redescendait de son nuage pendant que deux bouches étaient prêtes à répondre au moindre de ses désirs. J'examinais les courbes et les formes d'Aurélie, son dos et surtout ses fesses, plus rondes que celles de ma femme, égarant mes doigts dans sa raie tant qu'elle me laissait faire.

Revenant parmi nous, elle s'aperçut enfin de mon état et que, malgré avoir réalisé mon fantasme, elle était la seule à avoir joui. Avec l'accord d'Aurélie, elle m'autorisa à faire l'amour à notre partenaire de ce premier soir, et tout recommença sur un baiser.

Survolant ma femme, je me plaçais au-dessus de ce corps pulpeux et nu qui venait de faire jouir ma femme mieux que je n'aurais pu. Relevant ses genoux pour m'emprisonner à elle, son bassin cherchait mon sexe et la pénétration se fit rapide et d'un seul trait, profitant de sa lubrification naturelle.

J'avais tout son corps pour moi et n'en perdais pas une miette, mes mains courraient des seins aux fesses, de sa raie à ses cheveux. Ma femme non plus n'en perdait rien : elle se masturbait d'un godemiché au même rythme que mes coups de rein dans notre amie. Me faisant ralentir, Aurélie se dégagea de moi pour se placer à quatre pattes au niveau de la bouche de ma femme et je repris la pénétration, plus violente et plus rapide au son des baisers de ces femmes sous moi.

Je sentais des doigts passer près de mes bourses, la main libre de ma femme donnait un plaisir supplémentaire à l'intimité de notre première partenaire sexuelle. La double stimulation nous menait tous deux à une extase certaine.

Les fesses dressées vers mon érection, je la sentais rencontrer mes mouvements tout en suçant un sein offert à elle, j'accélérais la mesure et le claquement de nos corps résonnait encore alors que je jouissais en elle, sentant les murs de son vagin pomper mon sexe.

Les baisers de ma femme accueillaient l'extase d'Aurélie, notre initiatrice au plaisir du sexe de groupe, ses doigts mêlés à ses cheveux, et avec douleur je retirais mon sexe de son canal d'amour. Il reposait au chaud d'une paire de fesses où j'aurais aimé me masturber, mais le sommeil nous entourait rapidement.

Ma femme se réveillait entre nous, les rayons du soleil matinaux enveloppaient nos corps nus. Pas de sexe, juste un érotisme qui flottait dans l'air. Des difficiles adieux avec la promesse de retrouvailles.

Cette nouvelle expérience en appelait évidemment d'autres, ma femme prenait les choses en main pour recruter nos partenaires, des lesbiennes exclusives ou des bisexuelles qui s'ignoraient. Ces initiations étaient peut-être le plus beau des spectacles, ma femme en maîtresse des sens, son assurance naturelle qui guidait les gestes et précédait les désirs de sa partenaire, un nouveau corps pour jouer, un nouveau cri de jouissance, des nouvelles zones érogènes. Quelques fois j'étais le premier partenaire, quelques fois nous étions deux pour faire jouir un corps, et quelques fois, j'étais ce corps.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Confinement bis part 1 Hortense et son frère Olivier se retrouvent confinés.
LAURA 001: mes jeunes années 1/2 Première relation sexuelle
Julie, l'Initiation Julie découvre les joie de la fellation.
L'avocate Début de une vie d' avocate.
Mon Amie Colocatrice Une cliente devenue amie, et partenaire sexuel.
Plus d'histoires