Ma Femme Esclave de Mon Patron 03

Sonia prostituée dans un nightclub

La journée passa vite qu'il fallait déjà repartir. Ma femme enfila sa mini-jupe noire et son haut de bikini rose. Le chauffeur de M. Touré nous attendait. Tout comme la première fois qu'il nous avait transportés, Sonia lui tailla une pipe tout le long du trajet. On arriva dans une zone industrielle. On nous indiqua un vieil entrepôt comme étant le club de M. Touré. Seul un néon avec la mention « ouvert » indiqué que le lieu était occupé.

Deux noirs gardaient l'entrée, à la vue de ma femme ils riaient fortement. En entrant dans la salle, je me rendais compte que le club était une discothèque classique où seuls les membres du gang étaient conviés. Il s'agissait en quelque sorte du défouloir du gang. Au centre de la salle une petite scène où évoluaient des danseuses blanches et noires où je me doutais que ma femme allait bientôt s'y exhiber.

A la vue de leur sourire forcé, toutes dansaient ici contre leur volonté. La musique était très forte, impossible de se parler.

Dans la salle il y avait une bonne cinquantaine d'individus, tous noirs. J'en avais rencontré beaucoup lors de la fête chez M. Touré. Il y avait également des employés de Pétrofirme que j'avais sous mes ordres. Ils se faisaient une joie de reluquer et siffler ma femme devant moi.

Il faut dire que Sonia ressemblait à une vraie pute. Son haut de bikini laissant largement deviner une belle et grosse poitrine. La minijupe, sans string dessous, était un vrai appel à tripoter.

M. Touré nous accueillait dans son bureau. En refermant la porte du bureau, la musique n'était plus qu'un bruit de fond.

« Voilà ton nouveau poste Sonia, contrat à durée indéterminée sans salaire et sans possibilité de démission. Si licenciement il y a, ce sera dans ma piscine à requins pour distraire mes amis »

Il se leva du bureau et força ma femme à se mettre à quatre pattes. Il lui releva sa mini-jupe et lui planta sèchement son sexe et se mit à faire des va-et-vient.

« Tu devras danser avec les autres femmes. Si tu excites mes gars, ils te glisseront un petit billet en échange de quoi tu feras ce qu'ils te demanderont. Tu devras me rapporter ainsi 500 dollars par jour, sans quoi je risquerai de me fâcher »

Sur ces brêves consignes il éjacula dans l'anus de Sonia et nous ordonna de prendre place dans la salle de show.

Deux hommes de Touré l'empoignèrent. L'un d'eux tous sourires me murmura

« C'est le début du mois, les hommes viennent de recevoir leur paie, autant dire que ta femme leur fera un excellent jouet ».

On la fit monter sur une petite scène où évoluaient déjà deux femmes noires et une blanche. Les deux noirs sont en bikini et se déhanchent magnifiquement autour de leur barre. La blanche en question est également la femme d'un collègue du travail. Elle par contre était nue.

C'était une ravissante brunette qui comme ma femme a une grosse poitrine. Sa peau est luisante avec plusieurs filets de sperme. Elle dansait très bien elle aussi.

Un homme blanc était à l'écart de la scène. C'était son mari et, mon collègue. Il me fit signe de venir.

« Vous aussi êtes devenu des esclaves de Touré» me souffla-t-il

Je lui racontais toute notre histoire. Il me disait que sa femme, Lucia, était la favorite de Touré mais que celui-ci s'était lassé d'elle. Il l'avait envoyé dans cette discothèque pour la prostituer. Lucia avait eu le malheur un jour de rapporter moins d'argent que prévu et Touré a depuis exigé qu'elle danse nue sur la scène et que les hommes de Touré pourraient la sauter gratuitement.

En réalité M. Touré n'avait qu'une envie, selon mon collègue, c'était d'attendre le jour où Lucia refusera les avances d'un homme pour la punir et nourrir ses requins avec sa belle femme.

Les deux danseuses noires, et accessoirement prostituées, étaient les deux leaders parmi les danseuses de la boîte. Elles excitaient les hommes et les incitaient à sauter Lucia à même le podium.

Par la même occasion, elles acceptaient les avances des hommes un peu plus riches afin de réaliser rapidement leur chiffre et de s'en mettre discrètement dans la poche. Elles avaient une chambre dans l'arrière salle. Elles expliquèrent tout le fonctionnement à ma femme.

Ma femme commençait à danser avec les deux blacks pour distraire les spectateurs. Toutes les trois se trémoussaient de manière forte impudique alors qu'à leurs pieds, les hommes moches, sales, sadiques étaient envoyés sur la pauvre Lucia qui se faisait pilonner sur le podium. Ses gros seins triturés, malaxés, ses cheveux tirés, sa bouche taillant une pipe impériale, son joli petit cul offert à l'assistance avait un franc succès. Elle était baisée très violement sous les acclamations du public et des deux danseuses noires.

Soudain un homme me bouscula contre la scène avec un grand sourire. A peine je cherchais à me défendre qu'on me plaqua contre le podium. L'homme avait une force incroyable.

« Que dis-tu d'un peu de sexe aux pieds de ta femme? »

Il m'était impossible de me défendre tant il était fort. Il me défroqua avec une facilité déconcertante. Il m'arracha par la même ma chemise et mon clip et mon poussa sur le podium. J'étais à poil sur le podium avec les prostituées et ma femme.

Il grimpa à son tour et se plaça derrière moi. La foule manifesta bruyamment sa satisfaction lorsqu'il sortit son sexe incroyablement long et dur.

A quatre pattes sur le podium, aux pieds de ma femme, je me fis défoncer pour le plaisir du gang. Lucia, la belle brune était également en train de se faire sauter. Ma femme affichait un certain dégout, tout comme moi. Les deux danseuses noires continuaient sans relâches d'exciter le public.

C'était la première fois que je me faisais sodomiser. C'était très douloureux, j'étais humilié.

Cela ne dura que quelques minutes avant qu'il n'explose en moi.

Mon regard se leva sur le reste du podium, alors que Lucia se faisait sodomiser, un client plaça un billet dans la minijupe de ma femme et lui murmura quelque chose à l'oreille. Elle afficha un faux sourire et accepta l'offre. Tous les deux partis dans la chambre. C'était le premier client de Sonia! Ma femme était devenue une vraie pute!

Mais je n'eus même pas le temps de comprendre ce qu'il se passait que deux hommes se dirigeaient vers moi. Je n'avais pas eu le temps de débander à la vue de la belle Lucia qui venait de se faire remplir le cul et qui gisait à mes pieds.

« Ce salaud de blanc bande comme un porc pour la pute »

On me jeta sur Lucia

« Va y baise-la » criaient les danseuses blacks

Lucia ne bougeait pas et écarta docilement les cuisses et me glissa à l'oreille

« Espèce de salaud j'espère que t'aime ce spectacle »

On me plaqua sur elle et on saisit mon sexe pour le planter dans Lucia. Elle était remplie de foutre chaud et mon corps était collé à sa sueur et au sperme. Je commençais mes va-et-vient, en regardant derrière moi, je vis son mari. Il était dépité.

J'étais excité à mort, j'avais une seule crainte, c'est que ma femme en termine avec son client et me surprends entrain de baiser une danseuse. J'avais saisi ses gros nichons et je les malaxais avec ferveur. Ils étaient doux, chauds et se terminaient en jolis tétons. J'éjaculais à peine deux minutes plus tard dans sa cramouille sous les félicitations des deux danseuses blacks. Puis elles jetèrent sur Lucia un nain hideux et balafré. Il puait la transpiration et était poilu comme un gorille.

Je renfilais mon pantalon et j'observais la scène avec amusement. Lucia tentait de repousser le nain. Celui-ci s'énervait vite. Un arc de cercle se forma autour de la scène. Le nain tentait de violer Lucia sur le podium mais celle-ci se défendait corps et âme.

Le nain s'impatienta et quitta le lieu fou de rage. Une des deux blacks en profita pour bondir sur une cabine téléphonique pour appeler Touré et le prévenir du refus de Lucia de se faire sauter par un client. La discussion entre la black et Touré était longue, et la danseuse noire n'arrêtait pas de ricaner.

Mon regard se détourna et je vis ma femme revenir. A peine revenu, deux hommes l'empoignèrent en lui glissant un gros billet entre ses seins. Puis ils repartaient tous les trois dans la chambre.

On me demanda de les suivre. J'arrivais dans un petit hall où déjà 4 hommes blancs se tenaient. Ma femme entra dans une chambre de passes avec ses deux clients. Je regardais les télévisions dans la pièce. Il s'agissait en fait des écrans reliés par caméra aux chambres où les prostituées se faisaient défoncer. Les 4 blancs qui étaient là avaient leurs femmes qui se faisaient promptement baiser sous nos yeux. C'était très humiliant.

Dans une chambre une belle blonde se faisait littéralement pilonner. Son client la sodomisait très violement. On la regardait tous à l'écran. Elle suppliait son client d'arrêter mais celui-ci prenait ça comme une motivation pour la baiser davantage. Son mari était livide. Sa femme servait de spectacle à nous autre. Son client était le pire que ce qu'on pouvait craindre. Il l'avait loué pour 2 heures! C'était digne d'un porno très hard! Ses seins gigotaient dans tous les sens! Un jouet sexuel! Son gros sexe noir s'enfonçait profondément!

Dans une autre chambre le client avait organisé un combat entre ses deux prostituées et punissait de temps à autre la perdante en la violant. C'était plus soft que la chambre n°1, mais la perdante subissait toutes sortes d'avaries aussi.

Quant à ma femme et ses deux mâles noirs, elle se faisait baiser par les deux trous. L'un était bien calé sous elle et l'autre derrière elle pour lui faire le cul.

Mais c'était clairement la chambre n°1 avec la blonde qui captait l'attention. La prostituée se faisait littéralement concasser le cul!

Un peu plus tard, enfin la journée de travail de Sonia se termina. Elle ressortit entièrement nue de la chambre. Elle m'avoua avoir vendue ses derniers vêtements pour boucler son chiffre du jour. Ils l'avaient violemment enculée. Ils s'étaient lancés un pari, celui qui éjaculerai le plus de fois en 15 minutes. Ils avaient jouis ainsi 18 fois en 30 minutes!

Elle rejoignait les danseuses blacks et Lucia sur le podium. Les blacks avaient fait quelques passes très lucratives avec des clients de luxe. Lucia quant à elle se faisait encore sodomiser par un énorme black. Elle était couverte de foutre.

On amena l'argent à Touré.

Dans son bureau, il était au téléphone. Je crois que c'était avec le nain de tout à l'heure qui avait vu ses avances repoussées par Lucia. Touré invita le nain chez lui pour la soirée et raccrocha le téléphone.

Il se leva de son fauteuil, força Sonia à se mettre à quatre pattes, et lui fourra sa grosse bite dans son anus. Pendant qu'il l'enculait, il vit la liasse de billet que Sonia lui avait rapporté.

« Bravo Sonia, mes hommes vont être motivés comme jamais! Ils travailleront bien mieux grâce à toi! Vous viendrez à ma résidence ce soir. Même si c'est un peu improvisé, je prépare un joli petit spectacle aquatique avec Lucia. Quant à toi tu viendras uniquement vêtu d'un string. Allez, filez, j'ai à faire! »

Puis il éjacula lourdement dans le cul de Sonia. J'essuyais le sperme qui dégoulinait avec un mouchoir.

Ensuite elle enfila rapidement une longue tunique pour se couvrir puis le chauffeur de Touré nous ramena chez nous. Encore une fois, elle lui tailla une belle pipe durant le trajet. Ce chauffeur se régalait. Il transportait tous les couples de blancs qui étaient dans la même situation que nous. Il prenait en photo chaque femme pendant qu'elle le suçait et attachait les photos sur le dos des sièges. Il y avait ainsi 8 photos parmi lesquelles figuraient Sonia, mais aussi Léa et Lucia. Il y avait également une blonde splendide du nom de Rebecca, ainsi qu'une jeune fille de 18 ans, Marilyne, qui était la fille d'un couple travaillant à Petrofirme. Elle avait taillait une pipe au chauffeur avec sa mère.