L'orage

BÊTA PUBLIQUE

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La vie à la maison commence à être pesante, elle est si enjouée d'habitude, je ne comprends pas son humeur et je décide de lui demander ce qui la tracasse. « Rien, il n'y a rien » me répond-elle avec un pauvre sourire, mais je sens bien que le cœur n'y est pas. « Je vois bien que tu ne vas pas bien ! » lui dis-je, histoire de lui montrer que je ne suis pas dupe. Elle soupire et regarde ailleurs, je n'en tirerai pas davantage ce soir. Quand à une éventuelle soirée de baise, il n'y faut pas compter d'avantage. Je suis triste moi aussi dans mon lit solitaire à me masturber sous les draps. Heureusement madame Lefait alimente mes fantasmes nocturnes et je jouis de longs traits de sperme en repensant à ce qu'elle m'a fait dans la cave. Et puis, mercredi c'est après demain et je me promets un joyeux après midi en sa compagnie.

*

J'ai dit que j'allais rejoindre les copains et je suis sorti. Je commence par descendre pour donner le change. Je vais jusqu'à la cave et je remonte. Dans le couloir du rée de chaussée, je croise les enfants Lefait habillés de culotte courte de bleu sombre, le chandail de même, le béret sur la tête, ils vont à leur camps scout. Je les salue avec un brin d'ironie et remonte l'escalier sans bruit. J'ai le cœur battant quand je passe devant notre porte et je continue vers l'étage du dessus. Celui qui a dit que le meilleur de l'amour est lorsque l'on monte les escaliers, ne sait pas à quel point il a raison à cet instant.

Lorsque j'arrive sur le palier du dessus, je n'ai même pas besoin de sonner, la porte s'ouvre sans bruit et je vois l'œil de madame Lefait dans l'embrasure. La porte s'ouvre d'avantage et je m'engouffre dans l'appartement. Déjà la porte s'est refermée sur moi et je me retrouve face à elle dans ce couloir sombre. Sans un mot, elle m'a pris dans ses bras et m'embrasse fougueusement en se collant à mon ventre. Je réponds à son baiser et nos langues se mêlent dans nos bouches. Ses mains explorent mon dos quand les miennes font de même de ses épaules à ses reins. Cette femme est complètement hystérique, je sens son corps qui tremble sous mes mains. Elle m'entraîne dans ce que je sais être sa chambre puisqu'elle correspond strictement à notre appartement, et nous nous écroulons sur le lit tout en continuant à nous peloter. Je prends connaissance de ses fesses que je sens bien rebondies, plus que maman. Madame Lefait est plus ronde, sa chair est plus plantureuse, peut être un peu plus molle mais plus abondante. Mes mains ne savent où se poser sur ce corps généreux, je palpe ses seins avec frénésie tout en défaisant les boutons de son corsage. Elle me laisse faire, amusée de ma hâte malhabile, et m'aide à la dégrafer complètement. Son soutien-gorge apparaît, mauve et plein de transparences prometteuses. Je suis ébloui par tout ce que je vois, je pelote de plus belle les rondeurs qui s'offre dans le fragile et délicat tissus. J'embrasse aussi la chair tendre et tiède de la poitrine rebondie qui darde vers moi.

Je ne peux m'empêcher de comparer les deux femmes que je connais, autant maman me paraît beaucoup réservée quand elle fait l'amour, autant madame Lefait me paraît être bouillante comme un volcan. A peine mes mains se posent elles sur sa peau que je la sens frissonner de la tête aux pieds, comme si je fus le premier à égarer mes paumes sur ses seins. Elle gémit au moindre de mes attouchements et quand je plonge dans son dos à la recherche de l'agrafe de sa jupe, elle cambre les reins pour me faciliter la recherche. J'ai acquis une certaine dextérité à défaire les jupes de ma mère, celle-ci ne me pose aucun problème et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire madame Lefait est en combinaison aussi mauve que son soutien-gorge et que sa culotte que j'aperçois à travers le tissu léger. Elle porte aussi un porte jarretelles des plus affriolant, c'est le premier que je vois ainsi porté et je le trouve très bandant. Sans plus attendre je lui ôte la combinaison et la voilà en dessous devant moi. « Tu veux que j'enlève le reste ? » me murmure-t-elle, « Non, surtout pas, j'aime bien ainsi ». Elle entame alors mon dé habillage d'une façon carrément sauvage et à plusieurs reprises je dois anticiper le mouvement si je veux sauver mes fringues du désastre. En un clin d'œil me voilà à poil devant une femme qui me dévore des yeux et dont le souffle saccadé traduit la hâte et l'excitation. Sans dire un mot elle plonge vers mon sexe et l'embouche tout comme l'autre jour à la cave. L'émotion et l'excitation font que je décharge rapidement. Madame Lefait ne s'attendait pas à une arrivée aussi rapide et abondante du sperme et je la vois qui s'étouffe aux saccades qu'elle tente de maîtriser. Mais le flot est trop important et le foutre lui coule aux commissures des lèvres, elle essaie encore de déglutir, la liqueur part mal, dans une mauvaise direction et fait éructer la suceuse. Elle s'étouffe, tousse, tousse encore, elle en pleure et le sperme lui sort par le nez. Je regarde médusé le spectacle de la femme qui se noie dans ma semence.

Elle doit fuir vers la salle de bains pour remettre un peu d'ordre à ce désastre pendant que je me remets amusé de ce premier jet de foutre.

Je la vois revenir rapidement, une serviette à la main elle s'essuie la figure, « tu es parti trop vite, je ne m'y attendais pas ! » me lance-t-elle. « Excusez moi madame, je n'ai pas pu me retenir, j'avais tellement envi ! ». « Ne m'appelle pas madame, me lance-t-elle, je m'appelle Jacqueline », « Oui madame… heu Jacqueline ». Elle rit et regarde mon sexe qui n'a pas débandé, elle s'en saisit et me branle doucement. Je ferme les yeux et me laisse manipuler avec délice, madame Lefait me branle avec volupté, il est clair que cette femme est en recherche de sensations sexuelles. Sa main parfois se crispe sur la hampe de ma queue et sa respiration en tremble.

Je rouvre les yeux pour voir cette femme, fascinée par la bite qu'elle tient entre ses doigts, la bouche ouverte (encore !) et les yeux écarquillés. De la main j'arrête ses vas et viens, je l'allonge sur le dos et lui monte dessus. J'ai le sexe contre son ventre et je l'embrasse à pleine bouche. Mes mains se perdent sur ses seins sur ses hanches et entre ses cuisses. Je caresse doucement sa cuisse en remontant à l'intérieur jusqu'au mont de Vénus. J'ai la surprise de ma vie, je suis en contact avec un sexe complètement trempé sous la culotte soyeuse malmenée par les sécrétion de Jacqueline. Maman ne mouille pas autant loin sans faut, pourtant je trouvais moi, avec mon peu d'expérience, qu'elle est déjà bien humide quand je la mets en condition. Ici c'est une vraie fontaine que je découvre alors que je l'ai à peine touchée.

Avec des gestes qui me sont maintenant familiers, j'écarte la culotte pour mettre son sexe à l'air. Elle a écarté les cuisses pour faciliter mon exploration. Je trouve un sexe complètement dégoulinant de cyprine qui mouille le drap sur lequel mous sommes étendus. D'un doigt caressant, je fais connaissance avec cette moule si accueillante, caressant la fente de haut en bas et de bas en haut. Madame Lefait gémit sous la caresse, elle a fermé les yeux et me laisse m'occuper de sa chatte à ma guise. A mon tour je la branle, découvrant au passage un clitoris qui darde entre les lèvres entr'ouvertes. Je glisse un doigt puis deux dans le vagin envahit de mouille et je pénètre aussi loin que me le permet mes doigts. Elle se cabre et sa gorge laisse échapper un son rauque tandis que sa tête s'agite de droite à gauche vigoureusement. Le spectacle de la jouissance de cette femme est fantastique, complètement abandonnée, les cuisses ouvertes largement, je la fouille de mes doigts dégoulinants de son foutre.

« Prends moi » me jète-t-elle dans un souffle et elle me tend sa chatte. Je bascule complètement sur son ventre et m'ajuste de façon à ce que mon sexe rencontre le sien. Elle me surprend par un geste vif de sa main : elle me saisit la queue et la guide en elle. Sans que je puisse réagir me voilà planté dans son ventre et c'est encore elle d'un coup de reins qui enfonce ma queue dans les profondeurs de son vagin. Elle pousse carrément un cri de volupté quand mon gland glisse dans ses profondeurs jusqu'aux portes de l'utérus. Je suis planté en elle mais c'est elle qui me baise en quelque sorte.

Elle a mis ses mains sur mes reins et pousse aussi fort que lui permet sa position.

Je prends enfin l'initiative de quelques coups de reins qui attirent encore dans sa gorge des sons rauques de jouissance, je me demande comment cela va finir tant elle exprime bruyamment son contentement.

Je me sens trempé de sa mouille qui se mêle à mes poils pubiens, le liquide s'étale entre mes jambes et je sens que mes cuisses sont grasses de cette substance.

Je commence doucement à aller et venir dans cette chatte brûlante de désir longtemps contenu, provoquant un gémissement continu dans la bouche de ma partenaire. Elle miaule comme un chaton qui appellerait sa mère, c'est un étrange concert de sons inarticulés qui sort de sa bouche. Après quelques temps je m'aperçois que je peux moduler ses miaulements en fonction de mes coups de bite, si je les donne avec langueur, la tonalité est douce, mais si je force mes coups de reins et baratte avec ardeur, les cris deviennent plus aigus ou plus forts. Je m'applique à faire monter crescendo la voix de madame Lefait, attentif aux sons qui sortent de sa bouche, nous rythmons nos efforts et je m'active de plus en plus vite sur son ventre tandis qu'elle brame son plaisir dans la chambre conjugale.

Je sens comme de l'étonnement dans sa façon de crier son plaisir au fur et à mesure que je la pine. Elle manifeste sa surprise par des « Ohhh » des « Ahhhh » des « Ohhh oui, ohhh oui, ohhh oui !! » quand mon gland s'enfonce dans les profondeurs trempées de sa chatte. De temps en temps le cri est plus aigu quand je touche le col de l'utérus et elle a un petit sursaut pour me signifier la petite douleur que le lui procure alors.

Son vagin se contracte instinctivement autour de ma bite et la sensation de ce fourreau étroit autour de mon sexe est délicieuse. Madame Lefait est complètement dans son délire, soumise au piston de chair qui la fouille, je la sens hors du temps et du monde, j'en profite pour la regarder mieux, son visage semble avoir perdu dix ans, détendu et extasié, elle appelle la jouissance qui va l'emporter.

Je me penche à son oreille « Tu veux maintenant ? » la réponse vient immédiatement « Oui, oui, maintenant, donne moi tout, maintenant !! », « Tu veux mon sperme ? », « Oh oui donne le moi, donne moi tout ! ». Je m'active plus fort en elle, elle crie de plus belle et ses gémissement me stimulent. Mes coups de reins ébranlent son corps tout entier, je pilonne sa chatte dans un bruit obscène de fluides corporels chassés brutalement par ma queue. Plus question de ménager son utérus, mon gland butte au fond en lui tirant à chaque fois de plaintes qui excite ma rage de cul. J'ai l'air mauvais, je la fixe, elle dans son délire ne me voit pas et je pars d'un coup, je lâche les vannes de mon foutre qui bondit en vagues longues dans le vagin de madame Lefait. Deux , trois, quatre jets de sperme et plus encore, ma bite crache son venin sans retenue de le réceptacle bouillant et trempé. J'imagine la chatte qui rejette le trop plein de cette liqueur que je lui inocule. Ma jouissance court sur son aire, ma queue bat encore dans la fente et madame Lefait finit elle aussi de jouir, au plus fort de ma décharge elle a crié de surprise et de contentement de recevoir la dose brûlante de sperme en son vagin.

Elle gémit doucement pendant que j'atterris en douceur. Je m'affale sur son corps en écrasant ses seins dont je sens les pointes érigées, je suis haletant après tout mes efforts. Madame Lefait ne bouge pas, elle aussi semble KO, épuisée par la tension nerveuse. Ma bite est toujours fichée en elle et semble à peine se rétracter. Je sens la chaleur humide de nos sexes mêlés.

Je m'attendais vaguement à ce qu'elle me repousse pour aller à sa toilette, au lieu de cela, elle reste là sur le lit. Je reprends mon souffle petit à petit, je en veux pas en rester là, j'ai encore envie d'elle, je veux la prendre par derrière. Je glisse sur le coté et la force à faire de même. Elle laisse aller son corps fatigué et je viens me coller à son dos. Ma queue rebande, cette envie de prendre son cul m'a revigoré. J'écarte ses fesses et glisse ma bite dans sillon en guidant de ma main . Elle gémit vaguement, je glisse vers le trou de son cul et fixe mon gland à l'entrée de l'anus. Elle a un soubresaut et par dessus son épaule elle me lance : « Tu… non, tu ne vas pas… » mais je n'ai que faire de ses pudeurs tardives et je donne déjà les coups de reins qui m'ouvrent le passage. Elle résiste, son sphincter se contracte, je sens que j'ai voulu aller trop vite. Je recule un peu et avec mon doigt je lui caresse la corolle de chair sombre. Elle est sur ses gardes, je la sens tendue au début mais peu à peu elle se détend. Elle relâche ses muscles et mon doigt peu fouiller mieux le trou de son cul. Je glisse aisément en elle un doigt puis deux, prenant soin de bien tourner et élargir le mouvement pour ouvrir le passage. Elle semble tout à fait détendue maintenant. Tout en caressant son anus de mes doigts, j'avance ma bite et remplace peu à peu mes doigts par mon engin. Je flirte avec la corolle du sphincter et pousse doucement. Les chairs s'écartent lentement, enserrant mon gland entre elles. Ce n'est pas facile je le sens, le lieu doit être inviolé, elle n'a pas l'habitude mais elle a compris qu'elle devait coopérer pour éviter la douleur. Le sphincter palpite, hésitant entre l'envie de se contracter et la curiosité d'une nouvelle expérience. Je décide de forcer un peu et donne un coup de reins qui me propulse d'un centimètre en elle. Madame Lefait a poussé un cri, « J'ai mal, tu me fais mal ! » gémit elle. Je ne tiens pas compte de sa douleur et je reste là, à l'affût. Peu à peu les contractions s'estompent, son sphincter s'habitue à ma présence et par surprise à nouveau je m'introduis plus loin. Cette fois j'ai passé la barrière du sphincter, mon gland est dans un conduit étroit qui le serre. Madame Lefait a gémit encore une fois mais avec moins de conviction. « Tu es un monstre ! » me lance-t-elle. « Tu le fais aussi à ta mère ? » je ne réponds pas et pousse encore un peu ma bite dans son cul. « Réponds moi, tu la prends aussi par les fesses ta maman ? », j'acquiesce imperceptiblement et avance encore un peu dans son ventre. « Je n'avais jamais fait ça auparavant, tu m'as fait mal, c'est monstrueux de faire ça à une femme ! », « Mais non, tu verras que tu aimeras quand tu seras habituée ».

Je suis bien au fond de son cul et mon pubis touche ses fesses, je suis resté immobile un long moment et j'essaie timidement de bouger maintenant. Elle se raidit quand elle sent ma queue se mouvoir, « Haï !! » lance-t-elle pour me prévenir. Je vais lentement, petit à petit je lubrifie son conduit anal et ma queue glisse mieux. Jacqueline est attentive à mes mouvements, il est temps de s'installer mieux, je passe mes mains sous elle et lui saisit les seins que je malaxe en douceur, réveillant son désir. Son corps tout entier se détend et je la surprends même à tendre ses reins en arrière. Je profite de l'occasion pour esquisser de vrais mouvements de va et vient. Elle se laisse aller et ma bite creuse son chemin entre ses reins. C'est plus facile maintenant et je peux pistonner son cul. Le passage est encore bien étroit mais il est praticable. Je vais et viens en cadence et je sens qu'elle commence à éprouver comme du plaisir. Elle est attentive à son corps, étonnée de le voir ainsi s'émotionner à une pénétration contre nature.

Mes mouvements se font plus amples, ma bite glisse dans le conduit anal de plus en plus humide. La mouille lubrifie et la mécanique de chair va et vient plus librement. J'accélère l'allure, madame Lefait s'est remise à geindre en continu, mon ventre vient heurter ses fesses avec violence à chaque entrée de mon membre. Je l'encule tout à fait librement maintenant, mes doigts s'agacent sur ses tétons durs, je sens ses seins tendus sous mes paumes, elle me tend son cul et part dans un délire de cris et de gémissements inarticulés. Je suis au comble de mon plaisir, je vais une fois encore éjaculer, je sens le sperme qui monte, j'ai de plus en plus de mal à contrôler, ça y est, il vient, je ne peux plus, je ne peux plus, il est là, il faut que je le lâche, je m'enfonce une dernière fois bien à fond dans son rectum et je laisse couler le foutre à longues saccades. Cette fois elle a crié, un long cri de surprise de sentir couler ma liqueur au fond de son ventre. Elle se tord sur lit, j'ai du mal à suivre, j'essaie de l'immobiliser et la sers contre moi, mais elle m'échappe tant est grande sa jouissance.

Je finis par laisser faire Jacqueline, elle se répand sur les draps, anéantie par ce qui vient de se produire. Ma queue échappe à ses fesses, mon gland est violet par le frottement qu'il a subit, il n'est guère propre, couvert de matière fécale. Quand une femme ne s'y est pas préparé s'est un risque à courir.

Je ne veux pas rester ainsi, je me lève et cours vers la salle de bains.

Lorsque je reviens, Jacqueline est toujours en travers du lit, magnifiquement indécente. Elle a les cuisses ouvertes et je peux me rendre juge de l'importance de sa mouille. Une large flaque orne le drap en dessous d'elle et de son ventre à ses cuisses elle est mouillée de sa cyprine. En me voyant revenir, elle lève un regard vers moi « Ah ! voilà le bandit, violeur de dames ! », « Je n'ai violé personne ! » lui rétorque-je. « Si, si tu as violé mon cul ! » me répond elle en se levant d'un bond pour aller à son tour dans la salle de bains.

Je reste seul et perplexe, je n'ai vraiment pas eu l'impression de la violer, si cela avait été le cas elle se serait débattu et jamais je n'aurais pu entrer dans son cul comme je l'ai fait. S'il est un exercice qui requiert l'adhésion de la partenaire, il me semble que c'est bien celui-là.

C'est du moins ainsi que je vois les choses.

Quand elle revient, elle a enfilé un peignoir qui me cache son aguichante personne. Je le regrette mais je sais que maintenant, elle me redemandera de lui refaire l'amour.

Jacqueline est fatiguée, je le vois aux cernes qui entourent ses yeux bleus. Elle ne porte plus sur moi ce regard ironique qui était le sien, mais une reconnaissance et une sorte d'admiration peuvent s'y lire.

« Tu reviendras ? » lance-t-elle soudain, « Si tu veux », « Oui je le veux, tu m'as fait tellement de bien ! ». « Et ton mari ? », « Oh ! celui-là ! » dit elle désinvolte et désabusée. Je comprends alors que tout ne va pas pour le mieux entre eux. Elle ne doit pas être à jour de câlins la petite dame Lefait, c'est ce que je me dis tout de suite et cela augure bien de la suite de nos relations . Reste le cas de maman, si elle vient à apprendre que je baise aussi la dame du dessus, elle risque de ne pas apprécier, plus d'ailleurs pour de complications éventuelles que pour une histoire de jalousie. Il me faut plus que jamais de la prudence. C'est ce que j'explique à Jacqueline assis sur le lit. Elle m'assure de son entière discrétion, elle non plus ne tenant pas à voir ce genre de relation se populariser dans le quartier.

Nous nous quittons sur cet accord de complicité et je dois reprendre le chemin inverse, également sans faire de bruit comme à l'aller et je descend les marches sur la pointe des pieds.

Je crois qu'il faut que j'aille retrouver mon copain Jean-Louis, j'en ai grandement besoin.

*

Le soir je retrouve l'appartement et maman toujours aussi morose. Nous parlons de tout et de rien, je crains qu'elle ne me parle de la voisine du dessus car je pense qu'elle a du entendre ses cris de jouissance cet après midi. Je suis sur mes gardes mais rien ne vient comme si elle n'avait rien entendu.

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