L'été de mes 18 ans 09

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La prof de bio.
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Récit n'a pas de balises

Partie 9 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Je fis ce qu'elle demandait. Lorsque son petit trou fut bien humecté, je plaçai le vibromasseur sur la corolle et je poussai doucement. L'engin entra assez facilement à mon grand étonnement. Je le fis aller et venir avant de démarrer le moteur. Mélanie se mit à gémir. J'approchai ma bouche de son minou et écartai ses grosses lèvres de ma main libre. Ma langue s'immisça dans sa fente avant de titiller son bourgeon qui se dressa alors fièrement. Je le pris entre mes lèvres et me mis à le suçoter. Mélanie ne résista pas longtemps à ce déluge de caresses. Son bassin se souleva frénétiquement plusieurs fois et elle jouit en hurlant, m'inondant le visage de ses liqueurs intimes que je lapais goulûment. Nous étions tous les trois épuisés. Charles se retira dans la chambre d'amis et j'allais dormir avec Mélanie dans le lit conjugal. Je sombrais dans un sommeil profond.

Le lendemain matin, je fus réveillé par des bruits de succion. J'ouvris un œil pour découvrir Charles couché à côté de moi et Mélanie tête-bêche sur lui. Je regardais la scène, de plus en plus excitée. Elle suçait son pénis tandis qu'il léchait avidement son minou. Je voyais qu'elle s'interrompait à chaque fois que Charles se mettait à haleter. Elle me dit :

« Tu vois, lorsque tu sens qu'il va jouir, tu serres son pénis très fort à la base pour empêcher le sperme de monter. Comme cela, il va me faire jouir et après tu pourras profiter de sa queue encore une fois.»

Mélanie s'agitait de plus en plus sur la bouche de Charles. Je m'approchai de ses fesses, mouillai mon index et le glissai dans son petit trou. Mon autre main agaçait et pinçait alternativement ses mamelons. Elle ne fut pas longue à se rendre et jouit longuement en ululant. Elle se redressa et me dit :

« Remets toi à quatre pattes au bord du lit, je vais préparer ton petit cul. Comme ça il pourra te prendre par là et jouir dans tes reins. N'aie pas peur, il n'est pas si gros et je crois que tu aimeras ça. »

Elle se leva et vint derrière moi. Elle se mit à lécher mon petit trou, puis y glissa un doigt, le lécha à nouveau, y glissa un autre doigt sans que je proteste. En même temps elle branlait doucement Charles de son autre main. Puis elle dit à Charles :

« Viens, prends ma place. Voilà! Prends ton pénis dans ta main et dirige-le sur l'œillet de Claire. »

Je sentis le contact de son gland sur mon œillet et me raidis. Mélanie me dit :

« Détends-toi, tu verras, cela ira tout seul. Je vais le faire entrer tout doucement. »

En disant cela, elle caressait mes seins, pinçait mes tétons, me faisant gémir. Puis je sentis une pression sur mon œillet et le pénis de Charles que Mélanie avait bien humecté de sa salive, pénétra mon petit trou. Cela me fit un petit peu mal au début, mais très vite je sentis mon sphincter s'ouvrir à cette sensation nouvelle et je recommençai à gémir de bonheur. Mélanie avait glissé une main sous moi et elle branlait activement mon bouton. Je sentais le pénis de Charles s'enfoncer de plus en plus loin dans mes reins. C'était divin. Il accéléra la cadence en râlant. Je sentis son sexe grossir encore plus et il jouit en m'inondant de son sperme tandis que Mélanie m'amenait à l'orgasme en titillant mon bouton à une vitesse folle. Je me laissais tomber sur le lit. Très vite je sentis le sperme s'écouler de mon sphincter encore ouvert. Mélanie écarta mes fesses et se mit à lécher et à avaler le sperme de son neveu. Puis nous allâmes prendre une douche et un petit déjeuner. Charles devait repartir par le train en fin de matinée. Je rentrais chez moi, ravie mais épuisée par toutes ces nouvelles sensations, tandis qu'elle l'emmenait à la gare.

Elle me téléphona le lendemain pour m'annoncer que son mari les emmenait une semaine en vacances, Carla et elle et que j'allais lui manquer. Elle me dit :

« Si tu es trop en manque, appelle ta prof de bio! Mais il faudra tout me raconter, promis? »

« Oui, bien sûr Mélanie, Mais tu sais, je me suis peut-être fait des idées. Bisous »

J'hésitais pendant deux jours et puis la tentation fut trop forte : je revoyais en pensées cette prof très féminine, toujours tirée à quatre épingles et habillée très chic. C'était une grande rousse aux formes voluptueuses : Madame Roussel. Elle répondit tout de suite à mon coup de fil.

« Ah Claire, cela me fait plaisir de t'entendre! Félicitations pour le bac! Tu n'es pas partie en vacances? Moi non plus et je t'avoue que je m'ennuie un peu. Veux-tu venir prendre un thé à la maison cet après-midi? »

J'acceptais sa proposition et elle me donna son adresse : elle habitait un appartement au 4ème étage d'un bel immeuble du centre-ville. Comme il faisait chaud, je choisis une tenue légère, mais très sage : jupe plissée jusqu'aux genoux, chemisier blanc et dessous tout simples en coton blanc. J'avais décidé de jouer la jeune fille timide afin de voir ce qui allait se passer. Je sonnais chez elle vers 16h. Elle m'ouvrit, me fit une bise et me mena dans le salon. Elle portait un long déshabillé en soie naturelle, tenue par une cordelette.

« Excuse ma tenue un peu négligée, mais il fait si chaud! Je n'ai pas eu le courage de m'habiller. Cela ne te gêne pas? »

« Non, pas du tout, madame dis-je avec un sourire. Vous avez bien raison de ne pas faire de chichis.

« Bon alors, maintenant que je ne suis plus ta professeure, plus de madame ni de vouvoiement. Mon prénom est Jeanne, compris?

« Euh bien mad... euh oui Jeanne. »

« Alors raconte-moi ; que fais-tu de tes vacances? Tu sors avec des amis? »

« Ben non, hélas ils sont tous partis et mes parents ne partent pas en vacances cette année. Alors je traine, je vais à la piscine, je lis... »

« Ah quel dommage! J'ai préparé un thé glacé, vu la chaleur. Cela te convient? »

« Euh oui mad... oui Jeanne, très bien.

Elle alla à la cuisine et revint avec un plateau. Elle se pencha pour me servir. Comme par hasard, son déshabillé s'ouvrit d'un coup, dévoilant des dessous affriolants : culotte et soutien-gorge en dentelle rouge, porte-jarretelle et bas coordonnés.

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