Les Jumeaux D'amour Ch. 07

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Les émois érotiques de Léa et Loïc Tome II Chapitre 7.
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Partie 7 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 01/14/2015
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Chapitre 7 : Dérapages

Les mois qui suivirent furent harassants. Entre les études, leurs activités sportives, les déplacements avec le C.U.L, le travail de Toussaint à l'Agence et leurs soirées bimensuelles chez Sylvie, ils n'avaient pour ainsi dire plus de temps libre et il leur arrivait de plus en plus souvent de dormir ensemble sans faire l'amour ; trop fatigués pour encore être en mesure d'assouvir leurs désirs pourtant toujours vivaces.

L'équipe du C.U.L. avait terminé la première partie de saison à une surprenante deuxième place , à un point du C.O.N. mais les deux premiers avaient déjà une confortable sur leurs poursuivants. Le Championnat et la qualification en Coupe d'Europe se jouerait, sauf accident, entre elles.

Même durant les vacances de Noël et la trêve sportive hivernale, les trois étudiants passèrent leur temps plongés dans leurs livres ou le nez sur l'écran de leur portable tandis que Toussaint accumulait les heures à l'Agence quand il ne se faisait pas inviter à quelques soirées en solo chez Sylvie ou ses amies dont il était devenu la coqueluche. Il savait que les rombières le traitaient entre elles de 'gorille en rut' et de 'sauvage' avec un certain relent raciste mais il n'en n'avait cure. Il se contentait de fermer les yeux et de penser très fort à Léa avant de les clouer au matelas ... et de toucher sa 'gratification'.

Résultat des courses, les Sawané avaient fini par assez renflouer leur trésorerie pour abandonner leur meublé de banlieue pour louer un studio dans le même immeuble que les jumeaux. Pour l'instant les deux familles vivaient toujours officiellement chacune de son côté mais les garçons changeaient de plus en plus souvent d'appartement au point de sérieusement songer à déménager complètement même si les études communes de Léa et Loïc les amenaient toujours à se voir quotidiennement.

Après les partiels de janvier, Toussaint prit quelques jours de congé et décréta une trêve générale de quatre jours

« Pas d'étude, pas de sport, pas de TV n pas de sortie ... et pas de baise! Pendant 24heures, vous ne sortez pas du plumard. Je ne veux entendre que des ronflements : Léa dans ta chambre ; Gabi, en haut et Loïc dans la chambre de réserve du 1er. Moi j'occupe le divan du salon et je gère les approvisionnements »

Au bout de 24 heures, ils avaient meilleure mine tous les trois et Toussaint cacha ses courbatures : le divan du salon petit évidemment trop petit pour lui et il avait fini par dormir quelques heures par terre mais cela ne valait pas la couche de Léa ... avec Léa à ses côtés bien entendu!

Pour passer le temps sans sortir de l'appartement principal, il avait proposé une partie de strip poker qui avait été accueillie avec enthousiasme par les trois emmurés.

Chaussures et chaussettes comptaient pour un point ; pantalon, chemisier ou T-Shirt pour deux ; slip et soutien ou marcel pour cinq. Le gagnant décidait de qui devrait se déshabiller en plus de l'éventuel perdant . Une fois les vêtements épuisés, commenceraient les gages. Ils avaient téléphoné à Françoise, la plus perverse de leurs amies, de leur envoyer 10 SMS avec 10 gages à subir l'un après l'autre mais qu'ils ne découvriraient qu'en étant obligés de les utiliser.

Ils commencèrent prudemment, ne pariant que chaussures et chaussettes pendant les trois premiers tours. Mais à la quatrième donne, Léa, trop confiante, monta à 7 points et Toussaint releva le gant. Il eut une chance infernale avec le flop et emporta la manche. Léa dut ôter son pantalon et réussit à enlever son soutien sans ouvrir son chemisier ; exploit qui faisait toujours l'admiration de son frère.

Toussaint décida de jouer la famille en choisissant le frère comme 'co-perdant' et Loïc abandonna son t-Shirt et son marcel non sans exagérer son effeuillage en regardant Gabi dans les yeux. Il passa la majeure partie du tour suivant à bander ses muscles et à exhiber ses abdos distrayant Gabrielle qui y laissa ses chaussettes et son T-Shirt. Toussaint fut évidemment la victime désignée par Loïc et y laissa son pantalon et son marcel mais reçu deux chaussettes pour sa monnaie.

Au tour suivant, Léa prit sa revanche sur Toussaint dans un coup à 10 points qui laissa le géant en slip tandis que sa sœur perdait son soutien et son slip mais pouvait remettre son pantalon.

C'était au tour de Loïc de perdre sa concentration face à la poitrine de sa dulcinée qui s'amusait à se hérisser les pointes. Il limita la casse contre Toussaint à la perte de son pantalon mais, par un retournement d'alliance, Gabi aussi. Elle était maintenant nue et à la merci du 1er gage.

Léa joua te tout pour le tout au tour suivant, misant son slip et son chemisier face à Gabi qui était obligée d'engager le 1er gage. Cette dernière perdit et Loïc lut le premier texto.

« Gagnant(e) mstrb perdant(e) 2 min . Pas jouir! »

Léa se précipita sur Gabi et , sous le chronométrage de Toussaint, déploya toute sa science pour amener Gabi au nord de l'orgasme et l'y maintenir pendant deux minutes ; la laissant pantelante, accrochée à la table, haletante et magnifiquement bandante comme en témoignaient les énormes bosses dans les slips masculins et la coloration plus foncée des mamelons de Léa.

Complètement à la ramasse, Toussaint perdit ledit slip ET le gage n°2 au tour suivant alors que sa sœur espérait perdre 2 gages dans l'espoir que l'un d'entre eux lui permettrait de s'assouvir.

Gagnant(e) suce perdant(e) 2 min . Pas jouir! »

Gabi se livra à son tour à une fellation de grande classe et abandonna son frère monstrueusement érigé et excité au terme des deux minutes. Léa soupçonna à un moment donné Gabi d'avoir atteint un mini-orgasme, aussi mini que discret car elle était beaucoup plus calme après avoir sucé son frère qui lui grimpait au mur.

« Et Si j'avais perdu contre Toussaint? » demanda Loïc « J'aurais dû le sucer? »

« Ha » fit Léa sans révéler la signification de l'onomatopée

Léa gagna face à Loïc

« Pdt fait feuille de rose Ggt 1 min »

Loïc obéit et lapa docilement l'anus de sa sœur tandis que Toussaint gémissait sourdement, imaginant déjà qu'un message ultérieur prévoirait la sodomie.

« Gages 1 et 3 d'affilée »

Léa s'exécuta avec son vainqueur Toussaint. Ils terminèrent 'épreuve ... très éprouvés.

Seul Loïc disposait encore d'un semblant de contrôle de soi et il battit Gabi sans coup férir mais il ne fut pas récompensé de ses efforts

« Fille mstrb fille, garçon mstrb garçon. 2 min Pas jouir »

Léa et Gabi ne se le firent pas dire deux fois et se mirent avec ardeur à la torture l'une de l'autre ; Gabi ajoutant même en fin de parcours un joyeux pelotage de nichons qui faillit emporter Léa. Les garçons d'abord plus circonspects se rappelèrent rapidement la situation à l'hôtel et empoignèrent la bite de l'autre couleur tout en bavant devant le spectacle offert par les filles.

Les deux minutes parurent fort longues mais quand le mobile de Toussaint sonna la fin de la récré, ils eurent tous quatre du mal à arrêter

Le tour suivant se joua à peu près n'importe comment mais cela n'avait pas d'importance car Françoise avait bien minuté un soulagement devenu nécessaire

« Partouze générale. Jouissez bien avant la suite! »

Avec un rugissement, Toussaint souleva Léa et la jeta sur son épaule et se dirigea vers la chambre conjugale en lançant « Tu viens mon frère? Amène ta femelle aussi! »

En riant, Loïc prit Gabi dans ses bras et suivit leur frère, beau-frère, beau-beau-frère.

Léa était déjà allongée sur le dos sur une moitié de lit et Toussaint s'apprêtait à la prendre mais il patienta le temps que Loïc dépose Gabi à ses côtés et qu'il prenne également position entre les jambes de sa compagne. Les filles s'étreignirent d'une main tandis qu'elles accueillaient la verge de leur mâle de l'autre.

Ce fut immédiatement un concert de cris de soulagement quand les garçons pénétrèrent les vagins en fusion.

« Baiser .. baiser .. » grognait Toussaint

« Baise-moi.. Baise-moi... » répondait Léa

« Prends-moi .. prends-moi .. » suppliait Gabrielle

« Prends ça .. et ça .. » ahanait Loïc

Les filles encourageaient leurs partenaires, qui ne demandaient que cela , à évacuer la tension accumulée durant l'interminable partie mais Léa eut encore un flash d'inspiration juste avant de perdre le contrôle de son plaisir

« CHANGEZ » hurla-t'elle en repoussant son amant

Les garçons, surpris, s'étaient immobilisés mais Gabi réagit au quart de tour en imitant sa co-copulatrice . Loïc et Toussaint se retrouvèrent expulsés des fourreaux où ils comptaient bien se vider de leur trop plein génésique. Après une brève hésitation, ils se croisèrent entre les jambes des filles et se touchèrent même beaucoup plus qu'ils n'auraient cru que deux mâles hétéro pouvaient le faire.

Ils replongèrent dans l'action ; les groupes bicolores ayant laissé la place à du monochrome mais l'intensité des sensations ne diminua pas.

Léa, pourfendue par le braquemart de son frère, donna le signal du déclenchement de leurs jouissances en cascade, entraînant Loïc qui se vida en elle en mugissant sa satisfaction. En entendant la voix de sa petite amie hurler son orgasme, Toussaint ouvrit les vannes à son tour et cria son bonheur à son tour en inondant le vagin de sa sœur, déclenchant une jouissance qu'elle ne parvint pas à extérioriser, les cordes vocales ne répondant plus!

Bien plus tard, ayant décidé de ne pas terminer la partie de cartes par épuisement des combattants, ils prirent connaissance des derniers gages de Soise. Léa ricana en montrant les texto à Gabi :

« De toute façon, on aurait dû arrêter ; les deux chocottes n'auraient certainement pas voulu se plier aux derniers gages »

Françoise exigeait en effet des partouzes moins conventionnelles ou les garçons se seraient retrouvés en train de se sucer l'un l'autre voire même de se sodomiser à tour de rôle.

« Que veux-tu » répondit Gabi « ils ont beau avoir les attributs de Zeus lui-même, au fond d'eux-mêmes, ce sont encore de petits garçons! »

Les 'petits garçons' grommelèrent quelques remarques désobligeantes sur les femelles ingrates et se hâtèrent de changer de sujet..

Après avoir quitté ses co-locataires, Tahira s'était reconstruit une vie plus conforme à ses aspirations fondamentales grâce à Fatima, une robuste matrone qui dix ans auparavant avait été répudiée par son mari et abandonnée avec son jeune fils âgé de onze ans à l'époque. Pratiquante mais ayant tiré la leçon de sa mésaventure conjugale, Fatima avait rejoint l'Association et en était devenue un des piliers à Lille tout en s'occupant de son fils et en travaillant le soir comme technicienne de surface dans un des instituts de l'université.

Elle était chaleureuse mais stricte du point de vue de la morale et exigeait de son fils de 21 ans et de sa jeune protégée un respect absolu de la bienséance.

Au début, cela avait ressemblé à un havre de paix pour la jeune fille un peu effarouchée par la débauche sexuelle des jumeaux Delmotte mais après quelques semaines, elle avait compris que ses propres pulsions ne pourraient rester inassouvies très longtemps.

D'autant plus qu'elle avait découvert que ses employeurs, les ci-devant parents de Léa et Loïc, n'étaient pas beaucoup moins actifs sexuellement que leur progéniture et que la sensuelle Anne-Marie, leur pensionnaire, y participait activement! Elle travaillait depuis environ un mois chez eux et s'était habituée à repartir seule du bureau puisqu'Anne-Marie attendait ses patrons pour rentrer avec eux jusqu'à ce qu' un soir, peu avant la fin de son service, Cécile, assez rouge était venue chercher sa jeune collègue 'pour une urgence'.

Quelques minutes plus tard, alors qu'elle s'apprêtait à s'en aller, elle avait voulu saluer le trio dans le bureau de Jean mais des sons familiers l'avaient prévenue d'une situation peu conforme avec l'éthique professionnelle. Elle avait entrebâillé la porte du bureau de Jean et avait surpris une scène qui l'avait pétrifiée : Cécile, couchée de tout son long sur la grande table de réunion se faisait somptueusement lécher par Anne-Marie, elle-même prise en levrette par un Jean déchaîné. Aucun des trois n'avait vraiment pris le temps de se déshabiller mais cela n'enlevait rien à la charge érotique de la situation.

Elle avait refermé la porte tout doucement et s'était enfuie comme une voleuse.

Ce soir-là, pour la première fois depuis son arrivée chez Fatima, elle s'était masturbée dans sa petite chambre en rêvant à Léa, Loïc, Jean, Cécile, Anne-Marie ... et Karim, le très honorable fils de Fatima.

Depuis lors, sa vie s'était passablement compliquée entre la tension sexuelle plus que palpable qui régnait sur son lieu de travail et la pudibonderie de mise à son domicile. A cela s'ajoutait les tentatives de flirt appuyées de certains garçons de l'université et les regards de plus en plus enamourés que lui jetait le brave Karim.

Le dérapage suivant s'était produit un soir où, après une séance de masturbation solitaire insupportablement frustrante, elle avait voulu se rendre à la salle de bains pour rafraîchir sa chatte aussi malmenée qu'inassouvie, elle avait surpris Karim dans le couloir en train de se caresser la verge tout en regardant par la serrure de la chambre de sa mère. Le garçon avait rougi comme une tomate trop mûre mais l'avait invitée du geste à le rejoindre et elle avait pu elle aussi épier la grosse femme, dépoitraillée mais autrement toujours habillée, en train de se caresser en gémissant comme une folle.

Elle avait laissé le poste d'observation à Karim et s'était masturbée à nouveau mais en fixant cette fois la verge du garçon dont les dimensions autrement moins impressionnantes qu'un Loïc lui semblaient tout-à-fait alléchantes. Pendant deux semaines, ce genre de scène se reproduisit tous les soirs avant que Fatima ne reprenne un comportement 'naturel' pour elle et les jeunes gens ne comprirent jamais ce qui avait motivé son changement radical d'attitude ni le retour à la normale.

Mais le ver était dans le fruit et dorénavant, lorsqu'elle rentrait du travail, Karim l'attendait et ils passaient une heure dans la chambre du garçon à se donner du plaisir, soit chacun de leur côté, soit en veillant au soulagement de l'autre. Ils prenaient bien garde à ne laisser aucune trace de leurs forfaits avant le retour de la mère de Karim. Tara prenait toujours la pilule comme Lucie le lui avait prescrit et songeait de plus en plus à passer à l'acte avec le jeune homme mais elle avait peur qu'il ne réagisse mal à l'absence de son hymen.

Vers la fin janvier, elle quittait les cours avec Anne-Marie pour aller au cabinet lorsqu'une camionnette s'arrêta à leurs côtés et une voix l'interpella en arabe. « Mademoiselle, pourriez-vous m'aider, je cherche le chemin du Vieux Lille » Elle s'arrêta pour renseigner l' homme dans la quarantaine qui était au volant tandis qu'Anne-Marie continuait son chemin.

Quelques secondes plus tard, la porte latérale de la camionnette s'ouvrait et deux hommes en jaillirent qui l'empoignèrent et la jetèrent à l'intérieur du véhicule. Elle n'eût que le temps de pousser un seul cri avant que le véhicule ne démarre en trombe sous les yeux ébahis d'Anne-Marie qui s'était retournée en l'entendant crier. La jeune blonde eut le réflexe de relever le n° de plaque d'immatriculation du véhicule puis, les mains tremblantes, téléphona à Jean.

« J.. Jean, c'est affreux, Tara a été enlevée ... je ne sais pas! Le chauffeur parlait arabe mais elle ne le connaissait pas ... j'ai la plaque ... W-069-TK ... 59. D'accord , je vais à l'hôtel de police et Cécile m'y rejoindra. Oh merci Jean ... j'ai tellement peur! »

Jean téléphonait déjà à Claude, le patron de l'Agence de Sécurité dont leur petit holding était actionnaire.

« Claude, j'ai besoin de tes équipes. Ma jeune stagiaire a été enlevée .. non pas la blonde, l'autre, Tahira Tawfiq. Est-ce que tu peux m'identifier une plaque minéralogique? W-069-TK 59. J'attends ton coup de fil. Est-ce que Toussaint est disponible? .. En congé? OK Je crois savoir où le trouver. A tantôt. Merci. »

« Loïc, c'est moi. J'ai besoin de Toussaint. Maintenant! Dans cinq minutes, je vais recevoir une adresse. Il faudrait qu'il y aille et qu'il essaye de récupérer Tara. ... Elle a été enlevée mais on a le n° de plaque. Non ; je ne sais pas si les ravisseurs sont armés mais Toussaint saura bien quoi faire. S'il le faut, qu'il appelle la police mais je préfère régler cela en toute discrétion. »

Mis au courant par Loïc, le débonnaire géant se transforma instantanément en une machine dure et déterminée.

« Léa, j'ai besoin de deux bas nylon. Loïc, tu viens avec moi, trouve-toi des gants. N'importe lesquels du moment qu'ils camouflent les empreintes et retiennent ton ADN. Moi j'ai toujours les miens. Gabi, file à notre appart et rapporte-moi la petite valise métallique qui est en-dessous du lit et ma paire de bottillons de l'armée. »

Le mobile de Loïc se remit à vibrer « Oui 'pa. QUOI!? Mais c'est le village après le nôtre! OK, on part tout de suite. Oui je vais avec Touss' mais on ne prendra pas de risques inutiles ... Promis! Ad t'aleur! »

Les deux garçons dirent au revoir à leurs compagnes qui retenaient leurs larmes et promirent de revenir intacts puis se précipitèrent dans la voiture de fonction de Toussaint et démarrèrent en trombe.

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