Les Jumeaux D'amour Ch. 03

Informations sur Récit
Les émois érotiques de Léa et Loïc Tome II Chapitre 3.
6k mots
4.53
19.2k
1
0

Partie 3 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 01/14/2015
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Chapitre 3 : La Délivrance

Les filles s'étaient bricolées une salade tandis que Loïc avait sorti un double 'Welsh Rarebit' du surgélateur . Il regrettait maintenant sa gourmandise car il se sentait bien lourd et ne pensait plus qu'à faire la sieste . Il s'excusa auprès des dames et se dirigea -- rampa- jusqu'à son lit.

Restées entre filles, la conversation revint très vite sur le dépucelage de Tara. Lucie donnant moults conseils à ses protégées et n'hésitant pas à rappeler à Léa des épisodes de leurs étreintes pour illustrer ses propos

Au bout d'une demi-heure, Tara se redressa sur sa chaise et dit « Faites-le moi! »

« Pardon? » demanda Léa qui poursuivait un débat animé avec Lucie sur les mérites du double gode à lanière.

« Faites-le moi, faites de moi une vraie femme » reprit-elle « Toutes les deux. Je ne crois pas que je puisse trouver de meilleures partenaires que vous deux et je ne veux pas laisser filer cette occasion! »

Léa et Lucie se regardèrent et hochèrent la tête à l'unisson. Lucie prit la parole

« D'accord ma chérie mais on va essayer d'en faire quelque chose de spécial, un moment dont tu te souviendras toujours avec émotion dans vingt ans. Léa, montre-moi ta garde-robe! »

En silence pour ne pas réveiller Lolo, Lucie sélectionna une fine robe blanche qui serait évidemment trop grande pour Tara mais elle récupéra également la ceinture d'une robe de chambre avant de retourner vers la jeune fille.

Elle lui dit « viens avec moi dans la chambre, je vais t'aider à te préparer pour Léa »

Tara se déshabilla puis choisit des sous-vêtements blancs parmi ses derniers achats ; Lucie l'aida à enfiler la robe et noua artistiquement la ceinture autour de sa taille. Puis elle l'étendit sur le lit et rajusta la robe de façon à ce qu'elle flotte autour d'elle comme une aura.

Elle sortit ensuite de la chambre pour faire signe à Léa de la rejoindre en emmenant le sac-à-malices comme elle l'appelait.

Dès qu'elle aperçut son amie sur le lit, telle la Vestale attendant le sacrifice, Léa sentit comme une boule d'émotion au fond de sa gorge. Tara n'avait jamais été aussi ravissante ; la robe blanche contrastait magnifiquement avec sa peau cuivrée ; ses cheveux en éventail et sa robe blanche en corolle accentuaient son image virginale et Léa dut résister à la tentation de prendre son élan pour lui sauter dessus. Lucie en eut la prémonition car elle lui prit la main en murmurant « doucement, doucement »

Elles approchèrent chacune par un côté opposé du lit et se couchèrent de part et d'autre de la jeune vierge. Léa l'embrassa la première et Tara gémit sous la férocité de ce baiser. C'était comme si Léa faisait l'amour à sa bouche. Le baiser se prolongeaencore et encore jusqu'à ce que Lucie tapote sur l'épaule de la grande « Hé, laisse à Tara l'occasion de goûter au baiser d'une femme d'expérience »

A regret, Léa laissa sa place et Lulu se pencha à son tour vers Tara. En moins de trente secondes, la jeune fille gémissait à nouveau et ses orteils se crispaient et se décrispaient comme s'ils étaient animés d'une vie propre. Au bout de deux minutes, elle se cabra en s'accrochant au cou de sa partenaire et gémit-hurla dans la bouche de celle-ci.

Jalouse, Léa se rendit compte que son amie avait joui sous la seule influence du baiser de son amie. Elle ne savait pas si elle jalousait Lucie d'avoir pu donner autant de plaisir avec un simple baiser ou Tara d'avoir ressenti un plaisir qu'elle-même n'avait jamais connu. Mais elle voulait sa part et commença à caresser les jambes de son amie tout en faisant remonter sa robe le long des cuisses.

Lorsqu'elle eut dégagé les jambes jusqu'en haut des cuisses, elle caressa l'intérieur de celles-ci, remontant insensiblement vers le pubis jusqu'à ce que sa main droite se retrouve sous la robe , plaquée sur une entrejambe tellement moite qu'on aurait dit qu'elle avait pris un bain avec son slip.

Pendant ce temps, Lucie avait interrompu son baiser avec une Tara pantelante et faisait subir à la robe le processus inverse du chemin parcouru par Léa, dévoilant la splendide poitrine moulée dans un soutien du plus bel aloi et continuant la descente vers le nombril. Les deux femmes qui la caressaient se retournèrent en même temps pour s'attaquer à la ceinture et sourirent en se heurtant presque la tête .

Elles se donnèrent un léger baiser puis Lucie défit la ceinture tandis que Léa commençait à faire glisser la robe sous les fesses de Tara. A elles-deux, elles firent disparaître le vêtement de la surface du lit et se repurent de la vision de leur jeune amante vêtue uniquement de son adorable soutien et d'un slip plus qu'humecté de désir.

« A toi l'honneur Lulu » dit Léa en montrant l'entrejambe de Tara alors qu'elle-même lorgnait déjà vers la poitrine de son amie. Elle baissa les bonnets du soutien-gorge, révélant les beaux petits mamelons qui semblaient appeler ses lèvres à leur rescousse!

Pendant ce temps, Lucie embrassait la vulve de Tara par-dessus le slip détrempé qui la protégeait encore. Elle exhala son haleine sur la zone érogène , amenant une série de gémissements dans ma bouche de sa victime, à moins que ce ne soit les dents de Léa mordillant les tétons érigés de ses seins.

Lucie fit enfin glisser le slip vers le bas pour l'enlever complètement et miaula presque de désir en voyant la jeune chatte imberbe béante et luisante qui l'appelait sur une fréquence hypnotique. Elle défit les boutons de son propre chemisier et l'arracha de ses épaules avant de faire sauter son soutien. Elle massa ses seins , petits mais lourds d'un plaisir anticipé avant de replonger vers les lèvres de la vulve vierge qui amenèrent naturellement sa langue vers le clitoris turgescent.

Avec son expérience, elle se rendit tout de suite compte que la jeune Tara était au bord de l'explosion et cessa aussitôt ses caresses . Elle se redressa et dit à Léa d'une vois à peine audible tellement elle était sourde « Ma chérie, je la veux. Je veux la prendre »

Sa jeune amie stoppa son gueuleton des seins de Tara et se tourna vers elle . « C'est mon cadeau et crois-moi, il m'en coûte! »

Lucie avait déjà sélectionné le petit gode anal dont Léa s'était servi avec succès en son temps ; elle l'introduisit dans l'étroit vagin vierge et buta contre l'hymen . les jeux étaient faits ; c'était ici que les Sabines étaient livrées à l'appétit sensuel des Romains.

« Léa, embrasse Tara, j'y vais »

Sans attendre, elle força le gode dans l'ouverture et entendit un cri de douleur étouffé au moment où l'hymen cédait . Elle le poussa au maximum de sa longueur sans plus rencontrer de résistance. Au moins en longueur, il n'y avait pas de problème. Laissant le gode en place, elle lécha le clitoris de Tara et la fit jouir en gémissant dans la bouche de Léa tandis que le petit vagin enfin ouvert se contractait autour du gode victorieux.

Lorsqu'elle fut calmée, Lucie retira le petit gode et lava soigneusement la chatte de la femme qui lui faisait face. Elle ne put s'empêcher de demander à l'ex-demoiselle

« Comment te sens-tu ma chérie? «

« Changée! J'ai une sensation bizarre ... là où tu sais «

« Dans ta chatte? Ton minou? ton vagin? Ta vulve? Ton puit d'amour? » Ton ...

« Oui, oui, dans ma CHATTE! »

« Est-ce que tu as envie que je te prenne? comme un homme? »

« Oh oui Lucie, j'en ai envie, b .. bai ... baise-moi! »

Lucie se précipita vers le sac à malices et en sortit le double gode à lanière et elle ficha la partie vaginale dans sa propre vulve , fixa les lanières autour de sa taille et présenta le gode anal face à l'entrée du minou tout neuf. Malgré l'humidité du lieu, elle dut à nouveau un peu forcer pour introduire l'engin plus avant. Elle continua à pousser tandis que Tara geignait doucement. Lorsqu'elle atteignit le point maximum de la pénétration, elle marqua une pause et jeta un coup d'œil Léa qui se masturbait en haletant en la regardant.

« Fais-toi plaisir ma chérie, je suis sûre que Tara ne demande qu'à te faire jouir » dit-elle en lui montrant sa langue.

Ladite Tara geignit de plus belle et ses partenaires distinguèrent un vague « ooo ...uiiii » qui ressemblait furieusement à une approbation. Léa ne se fit pas prier et enjamba la tête de son amie pour lui présenter son clitoris qui surmontait sa vulve béante. Une fois qu'elle fut certaine que Tara était bien occupée, Lucie entama une série de va et vient entre leurs deux vagins. Elle faisait l'amour à la jeune fille comme un homme, la prenant avec le feu au ventre.

Très rapidement, la vision et surtout l'idée de ce qu'elle faisait subir à Tara la firent haleter à l'unisson avec Léa. Elles se regardèrent , les yeux un peu flous et se sourirent tandis que des gémissements assourdis leur parvenaient de l'étage du bas où leur amante commune faisait des efforts désespérés pour poursuivre sa tâche bienfaisante alors même que son vagin était le siège de mini-explosions qui la faisaient défaillir. A bout de désir, Léa commença à se caresser les seins et à se pincer les tétons tandis que Lucie accélérait encore le rythme de ses mouvements de hanches pour précipiter la jeune beur vers l'orgasme.

« AAAUUMMMHH! » Lucie sourit, on aurait dit que c'était le vagin de Léa qui hurlait son plaisir ... MMMHHH ... OOUUMMHH ... ouuhm... mmh ... o .. op ..

Lucie eut du mal à comprendre que la dernière onomatopée était en fait un 'stop' car au même moment, c'était Léa qui partait en vrille , inondant la bouche de son amie de sa cyprine.

« AAAH! LU..LU..! OOOH ... TA...RA!! JE VIENS! AAAAHHH!

Elle tomba en arrière, libérant le visage rubicond de Tara qui essayait désespérément de retrouver son souffle après avoir eu les voies respiratoires obstruées par le pubis de son amante.

Lucie défit les lanières qui l'attachaient au double gode et se déhancha pour l'extirper l'engin de son vagin, le laissant fiché dans la chatte de Tara. (« il faut bien qu'elle s'habitue! »). Elle n'avait pas réussi à jouir elle-même, trop concentrée sur le plaisir de sa jeune partenaire et s'apprêtait à s'achever avec le premier vibro trouvé dans le sac lorsqu'elle entendit un raclement de gorge du côté de la porte.

Loïc se tenait dans l'embrasure, appuyé sur le chambranle et la contemplait d'un air ironique.

« On a une petite urgence ma belle? »

« Oh Lolo, tu tombes à pic! Ce n'est plus une urgence, c'est une opération humanitaire dont j'ai besoin. Et toi? »

« Cela fait bien dix minutes que je vous observe alors la question ne se pose pas » dit-il en baissant les yeux vers son pantalon de training transformé en tente par un mat sui surgissait de l'aine .

Lucie se leva et alla vers lui pour l'enlacer. Debout, sa tête n'arrivait qu'à la hauteur de ses pectoraux et son ventre était pressé contre la bite d'âne. La chaleur de son bas-ventre passa du feu de bois à la centrale thermique. Elle releva la tête et il l'embrassa avec une fureur sauvage (« Bouh hou hou , le Lolo est en super forme! Ca va être ma fête ... il va me massacrer le minou! »)

Le garçon enleva son T-Shirt et Lucie en profita pour glisser sa main dans son pantalon de training. Elle trouva immédiatement l'énorme verge et s'en saisit, tenta de l'enserrer dans sa trop petite main. Elle était pantelante de désir

« Tu vas me baiser dis? Tu vas m'écarteler avec ta bite d'âne? »

« Suce-moi pendant que je réfléchis à la meilleure façon de te faire jouir, belle princesse! Quand j'en aurai fini avec toi, tu ne pourras plus marcher pendant une semaine sans parler de s'asseoir! »

Lucie était déjà à genoux, faisant glisser le pantalon en se démenant pour passer le cap de la verge. Elle empoigna les dures fesses du mâle et emboucha le gland engorgé de sang et de désir sauvage.

« Vas-y ma Lulu, suce-moi bien car après, je vais te prendre en levrette. Ca fait longtemps que je ne t'ai pas prise comme cela et je parie que cela te manque autant qu'à moi : ton petit vagin serré autour de ma bite d'âne. »

« Mmmmh mmmh mmh! »

« Je suppose que c'est une approbation? Viens ma belle, saute sur ce lit et montre-moi ton beau cul! »

Lucie s'empressa de prendre la position, se cambrant autant que possible et écartelant les cuisses pour lui donner le meilleur accès possible!

Loïc se positionna derrière elle, dirigeant sa verge vers les grandes lèvres qui lui souriaient. Sa verge était tellement boursouflée qu'il ne parvint pas tout de suite à la pénétrer. Il commençait à s'énerver lorsque la petite main revint à la charge et l'aida à trouver son chemin dans les replis de sa vulve. N'y tenant plus, il donna un gigantesque coup de reins et la transperça presque jusqu'à la garde.

Lucie poussa un hurlement qui inquiéta ses deux complices féminines mais ce n'était que le premier d'une interminable série de cris de plaisir!

WAAAOOAAHH! LOLO! TU ES ENORME! ...AAAHH ... BOURRE-MOI ... LEAAAAH! IL EST SI GROS ... ENCORE ... DEFONCE-MOI L'MINOU ... OOOH JE JOUIS ... OUIIIII! .. OUIIIIII! ..... YYAAAOOOH!

Loïc cessa ses va et vient, dégustant les contractions autour de sa verge immergée autant que possible dans le délicieux vagin.

Le sentant encore en parfaite condition, Lulu passa en mode multi-orgasmique et, s'arrachant au pal qui la perforait, elle roula sur le dos et, rabattant ses cuisses sur sa poitrine, l'appela

« Lolo, baise-moi comme ça! »

Il ne se fit pas prier et plongea littéralement sur sa cible, l'embrochant cette fois sans difficulté. Il la pistonna avec toute la vigueur dont il était capable, faisant tellement vibrer le lit que Tara commença à tanguer.

Il était déchainé. La tension dans sa verge avait atteint son point culminant et il ne pensait plus qu'à décharger, à libérer la coulée de lave qui lui enflammait la bite et à inonder cette chatte trop étroite qui lui enserrait la queue comme un boa constrictor.

Il plongeait et replongeait en elle, lui arrachant des cris d'extase qui faisaient écho à ses grognements gutturaux.

« Han ... prends ça ... humpf ... et ça ... AAAH! HAN! YEEOOO! HUMPF! MA .. BI .. TE ... VA.. EXPLO... AAAAHHH! ... PRENDS TOUT , ... TOUT ... AAAAHH! »

« OOOHHH LO...LO.. TU ... JOUIS ... AAAHHH ... TROP ... BOOOON! »

Entretemps, Léa s'était rapprochée de Tara et s'était emparée de l'extrémité du double gode libérée par Lucie. Elle s'était harnachée comme Lucie peu auparavant et faisait à son tour l'amour à son amie, faisant aller et venir le gode dans la petite chatte de Tara qui geignait de plus en plus fort. Elle changea de position et combina les pénétrations avec une masturbation en règle de son clitoris, l'emmenant à nouveau vers le septième ciel.

Une demi-heure plus tard, ils se retrouvèrent tous les quatre dans le living pour prendre un rafraîchissement . Lucie était déjà rhabillée vu qu'elle voulait rentrer assez tôt chez elle mais les trois co-locataires étaient à peine vêtus de leurs slips respectifs, ce qui laissait à Loïc la vue la plus dégagée sur les poitrines de ses partenaires. Tara avait fait de compte-rendu des sensations éprouvées pendant son dépucelage , ce qui ne l'avait pas laissé indifférent, que du contraire , et il commençait à lorgner avec insistance vers sa sœur pour lui signifier qu'il ne serait pas contre un dernier petit galop. Léa qui n'avait pas été la plus gâtée dans la distribution des orgasmes était parfaitement consciente de son langage corporel

Lucie ne tarda pas à prendre la route du retour après les avoir assurés qu'elle avait passé une après-midi inoubliable et Tara leur demanda en rougissant si elle pouvait occuper la salle d'eau en privé pour un certain temps. Léa lui fit un clin d'œil complice en disant « Prends tout ton temps ma chérie » et entraîna son frère dans leur chambre dès la porte fermée derrière Tara.

Avant le départ de Lucie, Léa avait bien eu des visions salaces des fesses de son frère perforées par des plugs anaux de plus en plus grands voire même fantasmagoriques mais le sac à malices était resté dans la chambre de Tara et l'urgence de leur désir réciproque l'emporta sur son envie de fantaisies.

En moins de deux minutes, elle se retrouva sur le dos, jambes écartées, geignant sous les assauts déterminés de son frère qui allait et venait dans son intimité avec la ténacité d'un pit-bull. Leur sens inné de la communion entre jumeaux leur disait qu'ils voulaient prendre leur temps. Léa se sentait planer dans un nirvana de sensations électriques qui lui parcourraient tout le corps, diffusant le plaisir de la racine de ses cheveux jusqu'à la pointe de ses orteils. Loïc avait trouvé une cadence particulièrement agréable et ils jouissaient tous deux à petites doses des puissantes pénétrations de la reine des verges dans le vagin qui avait été moulé pour elle.

Au bout d'un moment indéfini, elle eut le pressentiment qu'il allait faiblir et elle l'enlaça fermement, donnant une impulsion pour les faire pivoter à 180° . Une fois au-dessus de son frère, c'est elle qui reprit la maitrise rythme de leur accouplement. Pour Loïc, la position était d'autant plus confortable qu'il était dominé par la splendide poitrine de sa sœur, tellement irrésistible maintenant que, gonflée par le plaisir , elle ne semblait plus répondre aux lois de la gravitation et flottait au-dessus de son visage tels deux zeppelins dont les extrémités rouge ardent appelaient ses mains.

Il lança ses mains à l'abordage des doux globes de chair et les étreignit de plus en plus fort jusqu'à ce qu'elle pousse un gémissement de douleur.

« Aïe, Lolo! Doucement! Sinon je te fais venir tout de suite » dit-elle en essayant un truc dont Lucie lui avait parlé.

Loïc sentit soudainement le vagin de sa sœur se contracter rythmiquement autour de sa verge et faillit jouir à l'instant. Il relâcha la pression sur ses seins et empoigna ses hanches pour lui faire cesser cette délicieuse torture. Satisfaite du résultat de cette première expérience, Léa reprit ses va et vient sur la bite domptée non sans haleter un peu plus fort qu'auparavant, à l'unisson de son amant dont le front commençait à perler de sueur.

« Ma lionne, .. j'ai besoin ... je ne tiens .. plus ... »

« Oui mon gros .. loup .. je t'attends .. soulage-toi ... en moi .. je suis là ..pour ton ...plaisir! Vide-toi ... je t'attends ... MAINTENANT! AAAAHHHH! »

« LEAAAHH! TOUT .. POUR TOI! AAOOH!

Léa retomba sur son frère et presqu'à tâtons, elle chercha sa bouche pour l'embrasser en gémissant. Loïc ouvrit la bouche et accueillit la langue de sa sœur, nouant un baiser rendu malhabile par leurs orgasmes réciproques. Ils restèrent ainsi enlacés un long moment, savourant l'espèce de paix intérieure qui les avait gagnés.

Leur plénitude post-orgasmique fut troublée par un gémissement qui leur parvint à travers la fine cloison qui séparait leur chambre de celle de Tara.

« On dirait que notre 'petite sœur' explore sa sexualité toute neuve » chuchota Léa

« Tu crois qu'on devrait la rejoindre? » demanda son frère sur le même ton mais sans énormément d'enthousiasme

« Non, laissons-la tranquille, il y a des moments où une fille préfère rester seule avec son propre corps.

Les gémissements atteignirent un paroxysme puis se turent.

Le lendemain matin, lundi, les choses sérieuses commencèrent Tara se leva aux aurores pour se préparer à suivre sa première journée de cours, journée qui devait se clôturer par ses premières heures de travail au cabinet Delmotte. Léa, sans doute héritière de l'instinct hypermaternel de sa propre mère, lui prépara son petit déjeuner tandis qu'elle se douchait puis, sur sa lancée , un sachet dans lequel elle mit deux barres chocolatées et un billet de 50 euros avec un petit billet « Ne te prive pas, nous t'aimons L&L . Elle glissa le tout dans le sac à dos de sa 'petite sœur' au moment où cette dernière faisait irruption dans la cuisine.

Dès que la porte se fut refermée sur Tahira, après une dernière embrassade un peu émue, elle plongea dans la salle d'eau après avoir secoué un Loïc encore endormi et se prépara à son tour à faire le tour des librairies pour se procurer les divers ouvrages de référence dont ils avaient reçu la liste.

12