Les Jumeaux Croisés 02

Informations sur Récit
Les émois érotiques de Léa et Loïc Chapitre 2.
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Partie 2 de la série de 12 pièces

Actualisé 07/23/2022
Créé 12/19/2014
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Chapitre 2 : L'Envol

L'après-midi même, Léa était dans la salle d'attente de Lucie, sa gynécologue. La frénésie de son dernier orgasme lui avait fait comprendre qu'elle devait se procurer la pilule sans attendre faute de quoi elle risquait de laisser la passion l'emporter sur la prudence! Le sexe avec Loïc était tellement bon qu'elle mourait d'envie de passer à l'étape suivante. Ils auraient évidemment pu utiliser des préservatifs mais Léa ne voulait pas perdre sa virginité sur un morceau de caoutchouc. Seul le contact direct de la chair de son frère serait digne du cadeau qu'elle lui ferait.

Lorsque vint son tour, Lucie ne lui épargna pas la séance de pose avec les étriers et les écarteurs. Elles s'entendaient plutôt bien toutes les deux et se tutoyaient mais sans pour autant que Léa la prenne pour confidente puisqu'elle n'avait pas grand-chose à confier ; du moins jusqu'à aujourd'hui. A la fin de l'examen, Lucie lui dit « Tout est en ordre, je dirais même plus qu'en ordre ; à voir l'état de ton intimité, il serait grand temps que tu prennes la pilule puisque tu sembles avoir une activité sexuelle plus que conséquente! »

Léa rougit et acquiesça : « c'est justement pour cela que je suis venue .. »

La blonde gyneco sourit et lui demanda « Je suppose que tu as une idée des dimensions de l'Elu? »

Léa qui était en train de se rhabiller la regarda interloquée, la doctoresse poursuivit « je veux dire, son engin, est-ce qu'il est comme un gros pouce, comme trois doigts ou plus gros? »

Léa rougit de plus belle et dit « beaucoup plus gros » . La jeune doctoresse était nettement plus menue que sa patiente et moins musclée. Léa lui prit le bras et lui montra la longueur du poing fermé jusqu'à la moitié de l'avant-bras. « Et le bout est comme ton poing »!

« Dio mio » s'exclama la doctoresse, il faudra que tu me donnes ses coordonnées de cet Hercule le jour où tu en as marre de lui. Un spécimen pareil , cela ne court pas les rues »

Léa était maintenant rouge de confusion, s'imaginant présenter son frère à sa gyneco. Loïc ne serait certainement pas contre vu que c'était une jeune femme bien faite mais la présentation serait particulièrement scabreuse « Doc, voici mon frère et amant ; Loïc, voici la femme qui connaît le mieux mon vagin ».

La doc s'était réinstallée à son bureau et lui dit : « Bon, blague à part, en plus de la pilule je vais quand même te prescrire une pommade spermicide qui est en même temps un lubrifiant. Cela te facilitera les premiers rapports parce que je ne sais pas si ton intimité pourra s'accommoder tout de suite à tes ambitions mais attend encore 2 semaines pour être sure que la pilule te protège! Et si tu n'y arrives pas la première fois parce que c'est trop douloureux ou que tu ne parviens pas à le laisser entrer, n'hésite pas à revenir me voir. De toutes mes jeunes patientes, tu es ma favorite et je veux t'aider à faire de ce moment important dans la vie d'une femme une réussite! »

Lorsque Léa la quitta avec les prescriptions, la doctoresse lui glissa « j'espère que tu me raconteras » et l'embrassa sur la joue, ce qu'elle n'avait jamais fait jusqu'alors ...

En rentrant , Léa passa d'abord à la pharmacie , bien décidée à commencer la pilule le soir même. A son arrivée à la maison, elle trouva Loïc avachi dans le divan du salon et elle répondit par un clin d'œil à son regard interrogateur. Ils en restèrent là car Léa entendait sa mère Cécile s'affairer dans la cuisine. Ils avaient longuement discuté de la conduite à tenir lorsqu'ils n'étaient pas seuls et avaient décidé de ne pas trop changer leurs mauvaises habitudes de chien et chatte pour ne pas éveiller de soupçons dans leur entourage.

Léa alla embrasser Cécile qui venait de rentrer et ne s'était pas encore changée. Légèrement plus petite que Léa, la différence ne se voyait pas pour le moment, les talons hauts de Cécile l'amenant à la même hauteur que sa fille. Habillée avec prestance, elle ne faisait pas ses 42 ans. Son corps n'avait pas trop souffert de la naissance des jumeaux et , travaillant à mi-temps au cabinet familial, elle avait eu le loisir d'entretenir par le sport son apparence physique. Que ce soit à la plage ou dans une soirée, sa longue silhouette aux courbes généreuses attirait toujours le regard des hommes. Pour la première fois , Léa réalisait que sa mère était aussi un être de chair et de désirs et elle se demanda si ces parents avaient encore une vie sexuelle. En famille, ils étaient plutôt discrets dans leurs marques d'affection mais ils s'étaient toujours réservés des moments « nous deux » où ils disparaissaient pour le week-end en laissant leurs enfants jadis à la garde des grand-parents puis des baby-sitters et maintenant, ils les laissaient seuls au moins une fois par mois pour s'offrir un moment de décompression en tête à tête.

« Léa ma chérie, j'ai stocké de la salade, des charcuteries et du fromage dans le frigo et il y a des pizze au surgélateur. Ton père a décidé de fermer le bureau pour les restant de la semaine et il m'emmène en Champagne . J'ai déjà prévenu ton frère . Tâchez de ne pas vous disputer en notre absence! Je file préparer nos bagages et me changer ; dès que ton père reviens, nous mettons le cap sur Troyes! »

Cécile s'enfuit en chantonnant vers sa chambre, ondulant sur ses talons hauts sous le regard admiratif de sa fille. « On ne dirait jamais que Maman a plus du double de mon âge » se dit-elle . « Si elle vient au bal de l'école, j'en connais qui ne verront pas beaucoup leur cavalier ».

Elle termina de ranger les courses dans les armoires puis alla s'assoir sur le divan à côté de son frère mais en gardant bien ses distances. Elle sortit de sa poche sa plaquette de pilules, le regarda dans les yeux et avala la première puis lui sourit « le compte à rebours a commencé » lui dit-elle . Loïc déglutit péniblement et elle vit distinctement une bosse se développer sous son pantalon de jogging et elle sourit de plus belle « Obsédé » lui glissa-t'elle mais en elle-même , elle était flattée de la réaction de son frère normalement rassasié après leur matinée de folie érotique. Un bruit de moteur les ramena à la réalité tandis que la voiture de leur père se garait devant le garage. Loïc se tortilla pour essayer de masquer son érection dans les plis de son pantalon et Léa changea de chaîne TV pour mettre les infos. Quand Jean entra dans le salon, il y trouva ses deux ados regardant bien sagement la télévision . Une demi-heure plus tard, les valises étaient dans le coffre de la voiture, Léa et Loïc avaient fait semblant de prêter attention aux dernières recommandations parentales et les avaient assuré en retour qu'ils tâcheraient de ne pas trop ravager la maison. Cécile et Jean les embrassèrent puis montèrent en voiture et démarrèrent en trombe tandis que leurs enfants les saluaient depuis le pas de la porte.

Loïc referma la porte puis ; dans le même mouvement, plaqua Léa contre celle-ci, l'enlaça et l'embrassa à pleine bouche. D'un grand coup de bassin, il la cloua à la porte et Léa sentit distinctement l'énorme érection de son frère au travers de leurs vêtements respectifs. Sans cesser de l'embrasser, il fit remonter sa jupe le long de sa cuisse et sa main vint se plaquer sur sa motte par-dessus le slip blanc en coton qui la protégeait puis ses doigts s'insinuèrent sous le tissu et entrèrent en contact avec son sexe qui s'humidifiait. Léa entoura de ses bras le cou de son frère et lui murmura entre deux halètements « allons dans la chambre des parents ; leur lit est à nous pour quatre jours! » . Elle se dégagea de l'étreinte du garçon et saisit son sexe à travers le tissu du jogging. Elle le tira vers l'escalier qui menait à l'étage des chambres. Une fois arrivés dans la chambre de leurs parents, ils arrachèrent le couvre-lit et les couvertures puis s'abattirent sur les draps. Leurs chaussures s'envolèrent puis les chaussettes , les pulls, le pantalon et la jupe. Haletants, ils se firent face, Léa en slip et soutien-gorge , Loïc en boxer. Mais le caleçon du garçon laissait échapper la colonne de chair de son sexe tandis que le sage soutien-gorge de Léa semblait exploser sous la pression de sa poitrine et de ses tétons turgescents et que son entrejambe devenait transparente tellement elle était mouillée. Loïc s'était emparé de ses seins et affichait un sourire malicieux « on ne peut pas salir le lit des parents » « Qu'est-ce que tu veux dire? » haleteta-t'elle tout en masturbant son frère à deux mains. « Humpf, continue .. je veux boire ton plaisir et tu avaleras mon sperme ... on fait un 69? » « Comme dans les pornos?» Ils se débarrassèrent de leur slips mais lorsque Léa voulut dégrafer son soutien, Loïc l'arrêta « Non, tu es trop excitante comme ça ; on dirait que tes mamelles vont faire exploser ton soutif » .

Ils s'installèrent tête-bêche, Loïc en-dessous, Léa au-dessus. Elle avait repris sa masturbation à deux mains et commença à lécher le gourdin qui se dressait devant ses yeux. Loïc ne voulut pas en être en reste et plongea sa langue dans la conque qui brillait au-dessus de lui. Léa miaula littéralement lorsque son frère trouva son clitoris. Eperdue de désir, elle enfourna le gland dans sa bouche et poussa jusqu'à ce qu'elle parvienne à le dépasser et que ses lèvres enserrèrent la tige de la verge. Mais elle dut très vite lâcher prise, incapable de résister aux vagues de plaisir qui la submergeaient. Elle poussa un dernier feulement puis son corps fut pris de spasmes et elle se coucha sur le corps de son frère. Lorsqu'elle se fut calmée, il la fit basculer sur le dos et recommença à la lécher sans dire un mot mais cette fois, il envoya en plus son index puis son majeur explorer les abords de son hymen. Léa à peine consciente murmura « tu vas me tuer » mais il n'en avait cure et il continua de plus belle. Léa gémissait continuellement maintenant. Loïc, pris d'une fièvre perverse, retira ses doigts du vagin ruisselant et, sans crier gare, enfonça d'un trait son majeur dans l'anus de sa sœur. « Loïc, mon cul, tu es dans mon cul! Aargh! » . Sans cesser de la lécher, il utilisait son doigt comme un petit sexe et la pénétrait en cadence.

« Aah, c'est bon » geignit-elle et elle donna des petits coups de rein pour accentuer la pénétration de son doigt dans son anus. Elle n'avait jamais connu cette sensation d'invasion dans son corps et elle voulait en profiter un maximum. Mais malgré ses jouissances précédentes, elle sentit rapidement monter en elle une nouvelle marée de plaisir . Elle plaqua la tête de son frère contre son sexe, s'empala une dernière fois sur le doigt et hurla « AAAAHHHH, JE VIENS, N'ARRETE PAS! » . Loïc s'accrocha aux cuisses de de sa sœur qui était prise de soubresauts spasmodiques et l'accompagna dans son orgasme jusqu'à ce qu'elle s'écroule sur le lit comme une poupée désarticulée.

Loïc l'abandonna un instant pour récupérer son boxer dont il se servit pour essuyer son visage dégoulinant de cyprine. Il revint alors vers sa sœur qui gisait toujours sur le dos, les yeux fermés et vint l'embrasser tendrement. Il se coucha contre elle et l'enlaça, lui offrant le berceau de ses bras pour mieux profiter de son atterrissage post-orgasmique.

Il ne put cependant s'empêcher de caresser les seins de Léa, toujours emprisonnés dans le soutien-gorge et très rapidement, son souffle s'accéléra, sa verge recommença à pulser comme un être indépendant. Léa sortit de sa torpeur et lui murmura faiblement « mon pauvre amour, tu t'es si bien occupé de moi mais je n'ai plus la force de te donner du plaisir » Loïc sourit : « J'ai une petite idée ; ne bouge pas, laisse-moi faire ». Ses mains vinrent dégrafer le crochet du soutien dans le dos de Léa. Le soulagement qu'elle ressentit quand le carcan disparut fut tel qu'elle ne put s'empêcher de pousser un soupir d'aise .Puis il l'installa confortablement sur le dos et l'enjamba, son énorme verge venant se loger entre ses seins couverts de transpiration.

Ses grandes mains vinrent de poser de part et d'autre de sa poitrine et il pressa les deux monticules de façon à les transformer en tunnel d'amour pour sa verge tuméfiée. Il commença à aller et venir dans la gaine ainsi constituée tout en grognant « J'adore tes seins, ahh humpf » . Prenant le rythme de son désir, il pinça presque cruellement les tétons turgescents mais Léa réagit à peine, épuisée par son récent double orgasme. Il accéléra la cadence tandis que se multipliaient ses « aah » et ses « humpf » . il grognait maintenant comme un animal en rut et Léa, toujours perdue dans un voile post-orgasmique se rendit vaguement compte que son frère approchait à grands pas de la jouissance. Elle lui murmura « finis dans ma bouche mon amour » . ces quelques mots durent avoir un effet magique sur Loïc car , avec un dernier « aah », il se releva et vint plonger son membre rouge pivoine dans la bouche de sa sœur. Braqué sur son seul plaisir, il ne se rendit pas compte qu'il l'enfonçait trop loin et risquait de la faire suffoquer. Surexcité par les deux orgasmes de Léa, il éjacula à gros bouillons dans le fonds de sa gorge. Léa tint le plus longtemps possible, le laissant se vider en elle puis fut bien obligée de le repousser pour pouvoir respirer et déglutir la masse de sperme accumulée dans sa gorge. L'un et l'autre à bout de force, ils s'endormirent séance tenante.

Léa se réveilla dans la nuit noire ; elle frissonnait de froid et était désorientée ; elle ne reconnaissait pas sa chambre . Puis elle réalisa que le corps a côté d'elle était celui de son frère et elle se remémora les événements de la soirée . Elle récupéra la couette roulée en boule à l'extrémité du lit , la ramena sur eux puis se pelotonna contre Loïc, soupira de contentement et se rendormit.

Le lendemain matin, quand elle ouvrit les yeux, elle était seule dans le grand lit. Elle s'étira comme une chatte puis se rendit compte que sa vessie lançait des appels de détresse. A regret, elle quitta la chaleur douillette et se précipita dans la salle de bains attenante à la chambre parentale. Tout en se soulageant, elle se rendit compte qu'elle dégageait une forte odeur de sexe et elle décida de profiter de la douche à jets multiples. « Ca c'est une douche » se dit-elle en laissant l'eau la masser de partout. Il y avait même un jet qui arrivait juste à la hauteur de son sexe et elle se livra à une minutieuse toilette intime. « Je pourrais même m'en servir pour autre chose » songea-t'elle malicieuse. Après s'être essuyée, elle décida de ne pas remettre ses vêtements de la veille et farfouilla dans les armoires de sa mère jusqu'à ce qu'elle trouve un slip droit légèrement trop petit pour elle et un chemisier franchement trop étroit qu'elle ne parvint pas à boutonner complètement et qui exhibait plus ses seins qu'il ne les masquait.

En sortant de la chambre, elle entendit son frère qui chantait dans la cuisine et dévala les escaliers pour le rejoindre. Il était vêtu de son seul pantalon training et préparait une table de petit déjeuner pour deux. En la voyant entrer, il lui sourit « Good morning sunshine! Comment as-tu dormi? » « Merveilleusement bien » répondit-elle « Ce matin je me sens en pleine forme .. et j'ai une faim de loup ». « il y a du café, du jus d'orange et les toasts seront bientôt prêts » lui montra-t'il. Léa avait souvent vu son frère torse nu mais aujourd'hui, elle scruta avec intensité la puissante musculature de son torse. « Je suis fière de mon mâle » se dit-elle « pas de mon frère, de mon mâle ».

Ils s'assirent l'un en face de l'autre et dévorèrent à belles dents mais Loïc ne parvenait pas à détacher ses yeux des seins de sa sœur qui débordaient du chemisier. Il sentait sa verge durcir et se demandait si sa sœur serait réceptive pour des jeux sensuels si tôt le matin. Léa babillait de choses et d'autres mais il ne comprenait pas un mot, fasciné par les mouvements de sa poitrine lorsqu'elle gesticulait pour expliquer l'un ou l'autre détail . Tout en parlant, , elle s'était levée et débarrassait la table. Loïc se torturait les méninges pour trouver un moyen d'aborder la question de sa bite douloureusement bandée lorsqu'elle revint vers lui et s'assit sur la table à la place de son assiette, les pieds reposant de sur sa chaise de part et d'autre de ses cuisses. « Je t'ai assez fait languir mon Lolo, je vois bien à ta tête que tu as envie d'autre chose ... » et elle se laissa aller en arrière, couchée sur la table. Dans cette position, le chemiser ne cachait plus le slip trop petit qui épousait tellement étroitement sa chatte qu'il aurait aussi bien pu ne pas exister. Loïc se pencha et vint embrasser la vulve par-dessus le slip. Il se délecta des arômes de jeune fille fraichement savonnées auxquels se mêlait une odeur de désir féminin presque imperceptible. Il se dressa, abaissa son jogging et exhiba sa verge dans toute sa splendeur puis se coucha à moitié sur elle, ne la touchant vraiment qu'au niveau de leurs sexes. Il déboutonna le chemisier pour libérer les seins de sœur et les pétrit avec un grognement de satisfaction. Ses hanches s'animèrent et il commença à faire glisser sa verge sur la vulve de la jeune fille, toujours protégée par le slip.

Il haleta « Je te veux Léa ; tu ne sais pas à quel point je te désire, je veux te faire l'amour »

« Je sais mon chéri ; je sens ton gros sexe qui veut s'enfoncer en moi mais tu dois encore attendre quelques jours et puis tu pourras faire de moi ta femme, tu enfonceras ta grosse bite et tu me baiseras comme un sauvage » .

Loïc devint frénétique ; ses reins bouillonnaient mais le glissement de sa verge sur le slip ne lui apportait aucun soulagement ; au contraire, il avait l'impression que sa bite allait éclater de l'intérieur avant qu'il ne puisse jouir.

« Attends » lui dit Léa, « laisse-moi faire ».

Elle descendit de la table, le fit pivoter sur sa chaise et s'agenouilla devant lui, non sans lui plaquer ses seins sur le visage avant de continuer sa descente . Comme la veille, elle se mit à masturber son frère à deux mains tout en gobant le gland dans sa bouche. Loïc poussa un rugissement de plaisir sous l'assaut de ses caresses . Il donnait de petits coups de reins pour accentuer la caresse buccale mais gardait assez de lucidité pour ne pas en exagérer l'ampleur afin de ne pas faire suffoquer Léa. Il sentit monter la délivrance et avertit le jeune fille à ses pieds « aah, je sens que ça vient » . Léa abandonna la verge et ses mains vinrent soupeser les bourses du garçon. Loïc se cambra et se vida dans la bouche hospitalière. La caresse des mains de Léa sur ses couilles semblait décupler le volume de foutre qu'il déversait. A la troisième éjaculation , il dut fermer les yeux sous l'assaut des vagues de plaisir qui lui montaient des reins mais il éjacula une quatrième , une cinquième et une sixième fois. La bouche encombrée par l'imposante verge de son frère, Léa ne parvenait plus à déglutir assez vite et du sperme s'échappa aux commissures de ses lèvres. La septième éjaculation fut moins fournie et Léa pressa les testicules dans les bourses dans l'espoir vain d'en extirper encore quelques gouttes.

Elle arracha sa bouche de la verge toujours bandée et la lécha pour en en enlever toute trace de sperme. Loïc, les yeux toujours fermés, se laissait faire, complètement vidé. Léa se redressa et l'embrassa. Par automatisme, il ouvrit la bouche et elle en profita pour lui glisser de la langue quelques reliquats de sperme. Dans son état, il ne remarqua rien et elle se dit qu'il faudrait qu'elle garde ce souvenir en réserve pour le taquiner à l'occasion!

En attendant, sa propre sensualité avait pris les commandes et elle-aussi sentait un furieux besoin de se caresser. Elle reprit sa position couchée sur la table et introduisit sa main droite dans son slip tandis que de sa main gauche, elle pressait ses seins . Elle réalisa qu'elle allait jouir dans le slip de sa mère mais au lieu de la freiner, cette pensée l'excita encore davantage. Elle ne voyait plus Cécile comme sa mère mais comme une femelle rivale dont elle allait marquer le territoire de ses propres sécrétions. Son imagination galopait et elle vit en pensée Cécile, en robe du soir troussée jusqu'à la taille, en train de se masturber tout en humant le slip imbibé de la cyprine de sa propre fille. « Je suis une salope » gémit-elle et elle jouit bruyamment.