Les aventures de Karla 08

Luc s'amusa à inviter à plusieurs reprises Karla chez lui pour faire le ménage et bien évidemment se faire prendre par son mari sans que celui-ci ne se doute de rien.

Le pire c'est quand Luc exigea de Karla qu'elle fasse l'amour à son mari et qu'elle le filme à son insu.

Le lendemain, Luc visualise la vidéo dans son bureau tandis que Karla entre ses jambes s'occupe de sa queue.

L: Eh bien c'est tout mou ça

K: J'ai essayé de l'exciter mais rien n'y a fait.

L: il ne voit pas la cochonne que tu es. Sinon il te défoncerait comme il le fait avec ma salope de ménage l'après-midi.

K: pourquoi es-tu aussi dur avec moi Luc?

L: je ne suis pas dur. Je ne fais juste que te mettre en face de ta véritable nature. Sinon tu peux retrouver ta petite vie de couple avec tes copulations de pépé-mémé comme je peux voir avec ta vidéo.

K: Non je veux rester avec toi.

L: Et si je proposais à ton cocu de mari de m'occuper de toi.

K: Quoi? Non je t'en supplie!!!

L: Faut que je creuse cette idée. Allez mets bien ma bite dans ta bouche pour avaler tout mon sperme.

Karla qui avait supplantée sa bouche par sa main pour pouvoir répondre à Luc, enfourne à nouveau sa bite entre ses lèvres.

Luc la complimente de cette pipe. Faut dire que Karla a désormais pas mal d'expérience en la matière. Talents qui se confirment par une puissante éjaculation au fond de la bouche de Karla, et qu'elle avale avec cette bien connue gène mêlée de fierté.

Karla quelques jours plus tard reçoit un texto de Luc. Il lui donne rendez-vous en lisière de forêt mardi matin.

Karla comme à chaque fois se sent mal à l'aise de répondre aussi facilement à ces rendez-vous, mais aussi aux instructions qui viennent avec, et bien sûr à celles qui l'attendent et dont elle ne sait encore rien.

Le Lundi matin, Karla reçoit un colis. En l'ouvrant Karla comprend qu'elle n'aura pas le choix sur la tenue à mettre pour aller en forêt. Le colis est accompagné d'un bref mais éloquent message: "salope voici tes habits pour demain et je ne veux rien d'autre hormis des hauts talons de pétasse!".

Le texte lu, Karla découvre un ensemble de dessous blancs avec un soutien-gorge ouvert en dentelle blanc ainsi qu'un fin string blanc lui aussi ouvert. Karla ne peut s'empêcher d'essayer les deux éléments. En se regardant dans le miroir elle pique un fard, son soutien-gorge relève ses seins comme s'ils étaient servis sur un plateau.

Quant au string, il encadre sa chatte imberbe, faisant de ses lèvres l'objet de convoitise, comme pour dire allez-y baisez moi.

Les porte-jarretelles et les bas quant à eux sont classiques mais le tout rappelle à Karla son statut de salope, de pétasse aux yeux de Luc.

Remise du choc quant aux dessous à porter, Karla se rassure en découvrant une splendide robe totalement plissée, dont le bas est plutôt évasé. En l'essayant Karla comprend rapidement l'attraction de Luc pour cette robe.

Au-delà de sa fluidité qui moule le haut du corps, en particulier ses nichons et ses tétons, au-delà de sa subtile transparence, c'est la légèreté du tissu qui est la partie la plus sulfureuse et donc gênante pour Karla.

En effet en marchant dans la chambre, Karla se rend compte que chaque mouvement et à fortiori le vent en extérieur, fait rapidement remonter le bas de la robe si l'on n'y prête garde.

Le lendemain matin, Karla retrouve donc Luc ainsi que son ami du golf. Mais ce qui embarrasse bien plus Karla c'est d'apprendre l'instant suivant que Luc va filmer cette journée.

Une nouvelle fois, son esprit oscille entre refuser d'être filmée et mettre un terme à cette sulfureuse relation avec Luc, ou dire oui avec les risques de s'enfoncer encore un peu plus dans la dépravation et notamment accepter de voir cette vidéo diffusée sur la toile.

Voyant que Karla ne remet pas en question ses plans, Luc intime l'ordre à Marc d'emmener Karla à l'endroit prévu, tandis que lui se charge de faire les traveling pour le prochain film de "Chasse à la cochonne en forêt".

Bien évidemment Marc profite de la ballade pour exiger de Karla qu'elle trottine. Qu'elle fasse des sauts de chats en levant les bras au ciel comme les petits rats d'opéra.

Avec cette robe si aérienne et ses dessous si ouverts, Luc capture vite des images idéales pour son film. Mais cela ne suffit pas à Marc qui pousse Karla dans de nouveaux jeux.

Il la fait s'arrêter, lui demande de passer les mains derrière le dos et brusquement tire sur ses tétons tout en reculant. Karla malgré la douleur se met à suivre son tortionnaire tout en conservant ses mains dans le dos.

Marc s'arrête et donne quelques claques sur les nibards mis en avant avec les redresses seins en signe de félicitation. Karla ne peut croire qu'elle se laisse faire, qu'elle ne se rebelle pas.

Au contraire, elle accepte sans dire mot la demande suivante. Aux abords d'un gué, Marc l'oblige à l'enjamber puis à tenir sa position 1 minute. La position n'est pas douloureuse malgré les escarpins mais très embarrassante quand elle voit Luc se mettre en dessous pour montrer aux éventuels téléspectateurs ce qu'ose mettre la cochonne Karla pour aller en forêt.

Comme toujours un sentiment ambivalent flotte chez Karla, cette honte à prendre plaisir à être une bonne petite soumise.

Et c'est au milieu d'une petite clairière, d'où on entend passer les voitures à quelques deux cents mètres que Marc s'arrête à nouveau. Karla sent que c'est l'endroit voulu par Luc.

Avec un regard glacial, Marc prend avec ses deux doigts le menton de Karla pour qu'elle le regarde droit dans les yeux.

Karla est un peu effrayée car elle ne connaît finalement que peu de choses sur ce Marc. Et pour Karla, il lui semble qu'Amélie, la femme qu'avait amenée Marc au golf, est bien plus soumise et avilie qu'elle ne l'est avec Luc.

Marc: Va à l'arbre là-bas. Je veux que tu t'y appuie de manière à bien te pencher et que je puisse voir la lisière de tes bas. C'est compris?

Karla: Oui

Marc: une cochonne comme toi, doit me répondre "oui Monsieur".

Karla: oui Monsieur.

Luc: tu es trop gentil avec elle je trouve.

Marc: Tu as raison, Luc. Je vais faire comme avec Amélie.

Karla, surprise tourne sa tête en direction de Luc pour marquer son mécontentement par rapport à cette remarque.

Mais elle comprend sur le champ qu'il faut désormais faire plus attention à Marc. Ce dernier lui soulève brusquement sa jupe et lui envoie une série de claques sur ses fesses.

Marc: Tu vas te presser pétasse.

Karla: Oui je le fais tout de suite.

Marc: Comment?

Luc: Tu vois tu t'es fait prendre par les sentiments ou plutôt par son admirable gros cul de cochonne qu'elle n'a cessé de dandiner durant tout le chemin.

Karla: non, non, j'ai juste oublié oui Monsieur.

Marc: tu as raison Luc, je vais devoir sévir.

Karla ne souhaite pas recevoir une nouvelle série de gifles. Aussi se rue-t-elle vers l'arbre et en bonne élève s'appuie sur l'arbre tout en écartant bien ses jambes.

Ainsi cambrée, sa jupe dévoile les lanières de ses portes jarretelles ainsi qu'un bout de son entre-jambe.

Marc: tu vois, un petit avertissement et ta salope file droit se positionner comme je lui ai demandé.

Luc: Tu as raison elle a même pris l'initiative d'écarter les jambes pour se faire plus rapidement fourrer.

Marc: c'est vrai ça. Pétasse, tu as écarté tes jambes pour te faire sauter?

Karla: Non, non c'était pour m'assurer de bien faire remonter ma jupe!

Luc: Quelle menteuse tu ne trouves pas Marc?

Marc: Rien de plus simple à voir Luc, je vais passer mes doigts dans sa fente. Si c'est humide c'est une menteuse et je vais la punir, sinon ... tu auras tort tout simplement.

Karla: non finalement, j'ai écarté les jambes pour que vous me baisiez car j'en ai envie!

Marc: Eh bien Luc tu avais raison cette salope est une cochonne qui a le feu au cul et qui est en plus une menteuse.

Luc: Et donc

Marc: je vais répondre aux attentes de ta truie en la défonçant sans ménagement mais ce n'est pas une punition, c'est un service que je lui rends.

Tout en parlant, Marc noue avec une corde les poignets de Karla. Puis avec une lenteur sadique dézippe la robe qui n'est plus tenue que par les bras de Karla.

Karla voit Luc tourner autour d'elle. Il se félicite à la plus grande gène de Karla des dessous choisis.

Luc: son gros cul avec ses belles loches, le tout relevé par ces dessous pour pute, Karla tu es exactement comme je te veux, une salope bourgeoise prête à accueillir des bites dans tous tes orifices.

Marc: cela tombe bien car la punition c'est de laisser Karla ainsi pour qu'elle offre sa chatte ou son cul à un promeneur.

Karla: Non pas cela ...

Marc: Ne t'inquiète pas on va lui laisser des préservatifs que je vais accrocher sur ton dos grâce à ton string. Et pour l'aide on va marquer au feutre quelques commentaires.

Luc: lesquels?

Marc: Que Karla est une truie et donc que c'est gratuit, ça sera le message sur son dos.

Luc: et ensuite?

Marc: Qu'elle n'aime pas quand c'est doux, donc on va écrire sur sa jambe "A défoncer sans ménagement".

Luc: "et l'autre cuisse?"

Marc: on va marquer "pas de trou impossible" et pour le prouver on va enfoncer deux godes vibrants pour son con et son trou du cul.

Marc: On ne sera pas loin salope, au cas où. Par contre tu as intérêt à ce que ton sauveur te baise sinon on diffuse toute la vidéo à tes copines.

Karla n'eût pas le temps de riposter quelque chose. Les deux objets envahir son utérus et son anus avant de se mettre en marche.

Jamais au grand jamais elle n'aurait cru pouvoir accepter de faire cela. Et pourtant elle n'avait pas dit stop.

Pire, elle sentait une chaleur diffuse monter de son bas ventre. Ce sont les prémisses d'une jouissance qui va l'emporter malgré sa position bien dégradante.

Mais dans un proche avenir cette situation sera on ne peut plus humiliante, se dit-elle.

Karla n'y tient plus. Son vagin l'électrise. Karla crie de plaisir. Ces deux bites en plastique ont vaincu une nouvelle fois les freins psychologiques de Karla.

Voilà dix minutes que Karla est là, menottée à cet arbre attendant une délivrance qui se traduira sûrement par se faire prendre par un inconnu en plein milieu d'une forêt.

Peut-être pour moins culpabiliser Karla se dit à elle-même: "De toute les manières avec les vêtements et les dessous que je porte aujourd'hui, je savais que j'allais passer à la casserole ... mais pas de cette manière quand même".

Sur ces entre-faits, Karla sent la présence d'un inconnu.

Il est jeune, la vingtaine, mal à l'aise à la vue de Karla ainsi vêtue et positionnée. Karla sent tout de suite que ce n'est pas un dangereux pervers comme les deux acolytes cachés derrière. Non, et finalement c'est encore plus embarrassant pour Karla, car elle pressent qu'elle va devoir demander à ce jeune inconnu de la baiser telle une nympho qui se serait auto-enchainée.

Jeune: je vais vous sortir de là Madame.

Karla: attendez, si vous voulez vraiment m'aider et me faire plaisir, prenez-moi!

Jeune: comment?

Karla: Avant de me détacher, sautez moi!!! Ce sera votre récompense pour m'avoir sauvée.

Jeune: Mais madame, je ne peux pas vous laisser ainsi.

Karla: si je suis dans cette position c'est que mon amant l'a voulu. Et je veux lui faire plaisir. Si je vous excite un tantinet c'est de me prendre. La seule chose que je vous demande c'est de me baiser avec un préservatif.

Jeune: vous n'allez pas m'attaquer pour vous avoir violé?

Karla: non car vous allez me sauter pour votre plus grand plaisir et le mien. Suivez les indications écrites.

Avec mes mots apaisants, je sens que j'ai libéré l'esprit de mon jeune inconnu. Je ne peux pas voir ce qu'il se passe mais j'entends qu'il descend sa braguette. Il tire sur mon porte-jarretelle, je l'entends ouvrir un préservatif.

Jeune: vous êtes sûre de vous?

Karla: oui vas-y!

Jeune: Je peux faire ce qu'il y a marqué sur vous!

Karla: oui!

Je sens toute la virilité de mon inconnu s'enfoncer d'un coup dans ma chatte.

Il suit à la lettre les mots écrits sur ma cuisse. Il ne me ménage pas, il vient cogner son bassin contre mes fesses. Je sens sa fougue même à travers sa bite qui frétille dans mon antre.

Jeune: je n'aurais jamais cru pouvoir baiser un jour une salope totalement inconnue en pleine forêt. Je vais te défoncer comme tu le veux salope!!!

Karla: vas-y je suis là pour ça!

Jeune: j'ai compris le message. Et tu vas voir je vais suivre à la lettre le deuxième message.

Sa queue abandonne ma chatte. Il s'amuse maintenant à passer ses doigts entre mes lèvres. Il en profite pour me pincer mon clitoris turgescent. Je miaule de plaisir tout en sachant ce qu'il est en train de manigancer.

Il ne faut pas longtemps pour que mes présomptions se confirment. Je sens ses doigts mettre la pression sur mon œillet. Je cède à cette main inquisitrice. Ce salaud n'hésite pas et me plante directement ses deux doigts dans mon anus.

Heureusement que je ne suis plus vierge de ce côté car il me défonce littéralement. J'essaie de suivre ses mouvements pour limiter la force de ses incursions.

Jeune: Tu crois que je ne te vois pas venir salope.

Karla: tu es trop fougueux.

Jeune: tu es venue pour cela n'est-ce pas?

Ses doigts disparaissent. C'est désormais sa bite qui perfore mon œillet. Il m'écartèle la rondelle. Ca y'est, il est entré. Aie, il m'agrippe les cheveux avec son poing. Il me force à m'empaler sur son vît. J'ai chaud, je prends mon pied en me faisant violemment prendre par le cul. Ma respiration va me trahir.

Mon inconnu me claque les fesses avec sa main libre. Il me traite de chaudasse. Il ne me ménage pas, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme-là.

Au moment où il s'empale pour la nième fois au plus profond de mon conduit je sens la présence de mes tortionnaires. Le jeune inconnu est fébrile, il ne bouge plus.

Luc: N'aies pas peur jeune homme. C'est nous qui l'avons attachée pour qu'un heureux élu, en l'occurrence toi, profite de cette chienne. Tu aimes le cadeau?

Jeune: Oh oui je n'ai jamais eu l'occasion de voir une nana se faire baiser ainsi. Elle est super chaude.

Luc: Karla, réponds au jeune homme!

Karla: oui je suis une chaudasse.

Marc: plus que cela!

Karla: je suis une truie qui aime qu'on me baise, qu'on me défonce.

Luc: enlève ta capote, elle va te finir avec sa bouche pendant qu'on prend le relais derrière. Et surtout tu lui éjacule sur son visage!!!

Je sens mes hommes se réorganiser. Je n'ai pas eu le temps de monter au septième ciel mais je sens qu'avec ce trio maudit je vais vite l'atteindre.

La jeune et large queue se présente à mes lèvres. A peine j'ouvre la bouche qu'il s'enfonce dedans au maximum. Et comme s'ils s'étaient donné le mot, Luc se met à me pilonner mon con de tout son poids.

Je suis prise des deux côtés. J'essaie de respirer tout en suçant du mieux que je puisse ce membre qui commence à palpiter sur mon palais. Je respire tel un taureau prêt au combat.

Et Luc, qui ne cesse de sortir sa lance pour revenir me la planter au plus profond. Je vais jouir, je sens que je vais exploser.

Sur le coup l'inconnu sort sa bite et me délivre sa semence sur mon front. Et pour mieux marquer son emprise sur moi il me badigeonne de son sperme à l'aide de son vît.

Je le laisse faire car je plane, je ne sens plus mes jambes. Luc a gagné je jouis encore malgré la situation dans laquelle je suis.

Le jeune homme finalement ne me libéra pas. Ce sont mes deux amants qui le firent après m'avoir filmé sous tous les angles, avec le sperme de Luc sur mon cul et mon string, et les traces blanchâtres sur mon visage.

Cela fait une semaine que j'ai subi les assauts de Luc, Marc et cet inconnu. Une semaine seulement et je me sens en manque. Comment en suis-je arrivée là?

C'est la question que je me pose en rentrant chez moi. Il y'en a une aussi qui me trotte. Comment vais-je continuer à cacher ma double vie à Jacques, mon mari?

En rentrant, dans la maison, je crois que je vais m'étouffer. Jacques est dans la cuisine avec Luc. Ils parlent comme deux bons potes.

Que trame-t-ils? Que va-t-il me demander? Pas une nouvelle fois devant mon mari quand même?

Jacques: Bonsoir chérie. Luc est passé nous dire bonjour.

Luc: Bonsoir Karla. Heureux de vous revoir.

Karla: Euh, bonsoir.

Luc: vous paraissez surprise, je croyais que Jacques vous avait laissé un SMS. Vous devriez vérifier.

Jacques: de toutes les manières c'est trop tard.

Je comprends le message subliminal et me précipite sur mon téléphone. Je pourrais l'ignorer mais j'ai envie de répondre aux défis de Luc, quitte à risquer mon mariage.

En ouvrant mon portable il n'y a pas de message de Jacques mais un texto de Luc comme je le redoute.

"Monte dans ta chambre et va remettre ton ensemble blanc que tu avais dans la forêt. Et pour cacher tes dessous de cochonne mets une robe moulante ou une jupe moulante avec un beau chemisier de couleur claire. Magne toi le cul ma soumise!!!"

Karla: Je vais me changer. Vous dinez avec nous Luc?.

Jacques: très bonne idée.

Luc: OK, cela tombe bien je vous ai apporté une petite surprise pour le dessert.

Mon cœur bat la chamade. Qu'a-t-il imaginé mon pervers d'amant. J'ai honte mais son annonce me fait mouiller ma culotte.

Une fois dans la chambre je me change comme demandé. En remettant ce string percé et ces redresses seins, toute la séance dans la forêt ressurgit dans mes yeux. C'est à ce moment qu'une idée me vient. Non, non il ne va pas oser montrer le film à mon mari!

Je suis sens dessus-dessous. J'ai peur que mon intuition soit la bonne. Je cherche quelles excuses, quelles explications je vais bien pouvoir fournir à Jacques. Je peux à la limite me servir de ses incartades avec moi, alias la salope de ménage.

J'essaie le chemisier mais il met beaucoup trop en valeur ce pseudo soutien-gorge qui fait pointer mes nichons.

La robe moulante n'est guère mieux car elle souligne bien que mon bassin est couronné d'un porte-jarretelles ainsi qu'un string ficelle. Je ne reviens pas sur mon choix. Jacques a généralement les yeux plus rivés sur les nibards de ses collègues ou voisines que sur leurs culs.

Je fais rapidement le diner, une salade, que nous prenons directement à la cuisine. Je sens les yeux de Luc rivés sur mon cul. En me tournant je vois qu'il se délecte des renflements de ma robe, soulignant la lingerie cochonne que je porte.

Il est néanmoins fort car il arrive à détourner le regard et l'attention de mon mari.

Nous mangeons comme si de rien n'était. En fait je suis aux abonnées absentes, silencieuse, effrayée de la surprise que me concocte Luc. Heureusement il ne joue pas à m'envoyer des ordres salaces par SMS.

Je ramasse les assiettes que j'empile dans l'évier. C'est l'heure du dessert.

Je propose pour le dessert notre solution de secours, un flan industriel prévu pour les diners impromptus.

Ils me répondent que cela leur va bien.

Luc: Et si nous le prenions dans le salon. J'ai quelque chose à vous montrer.

Jacques: Ok allons-y.

Mes jambes flagellent mais une nouvelle fois je ne m'y oppose pas. Le destin décidera de la suite.

Je m'affale dans le canapé, laissant remonter le bord de ma robe moulante à la lisière de mon bas. Je le vois mais je ne fais rien pour y remettre de l'ordre.

Luc: Oui je tiens à vous faire une petite surprise à tous les deux mon couple adoré.

Jacques: merci.

Luc: Jacques tu te souviens de notre discussion à propos de ta femme. Eh bien je crois qu'il est temps pour toi de concrétiser cela.

Quel rebondissement, je m'attendais à faire face à la plus grande honte de ma vie, et à cet instant je vois mon mari blêmir.

Luc insère un DVD, allume la TV et lance la lecture du film. J'ai peur de la réaction de Jacques. Même s'il est moins costaud et aguerri que Luc, ne va-t-il pas se ruer vers lui. Je le regarde, je l'observe, mais il ne bouge pas, jusqu'au moment où le film lui révèle que la salope de ménage qu'il a baisé sans ménagement c'était moi.