Les aventures de Karla 04

Préambule:

Merci aux 2 lecteurs qui ont pris du temps pour écrire un commentaire.

En conséquence voici la quatrième partie.

J'espere d'autres commentaires et osons rêver quelques suggestions pour de prochaines péripéties pour Karla.

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Karla est au standard du supermarché. Cela fait trois jours maintenant qu'elle appréhende être là, devant cette employée qui la regarde, ou plutôt la scrute de la tête au pied.

Avec sa moue Karla comprend qu'elle trouve la tenue hors de propos pour une femme de son âge et pas digne d'une femme qu'elle catalogue dans la catégorie bourgeoise.

Karla a honte, comment peut-elle être là avec sa jupe plissée et son chemisier blanc.

Mais ce qui l'embarrasse le plus c'est d'avoir répondu favorablement aux exigences du responsable de sécurité Luc.

Avec son tanga si transparent, avec ses bas auto-fixant chair elle n'a peur que d'une chose que ses bas tombent légèrement ou que sa jupe remonte avec un faux mouvement ou un courant d'air dévoilant un autre aspect de la soit-disant sage épouse.

D'autant plus que Karla a dû couper court sa foufoune pour ôter tous les nœuds faits lors du déjeuner au restaurant.

Mais elle s'est refusée à avoir le minou tout lisse, salope oui mais ayant du caractère tout de même. Enfin c'est ce qu'elle essaie de se faire croire. Car d'un autre côté elle est bien ici à quelques minutes de retrouver Luc qui s'est permis avec elle ce que son mari n'avait jamais osé. Et le pire c'est qu'elle s'est laissée faire et y a pris du plaisir.

Alors qu'elle est dans ses pensées Karla sursaute quand l'hôtesse d'accueil lui indique qu'il l'attend au sous-sol, au niveau des parkings, car il est en tournée de contrôle.

Le cœur battant la chamade, son sexe moite, Karla passe dans le couloir puis descend l'escalier en métal.

Profitant de la vue d'en dessous Luc découvre avec plaisir que sa petite truie porte des bas.

Il aurait préféré avec des porte-jarretelles mais il trouve cela d'autant plus excitant car il restera ainsi d'autres etapes pour amener Karla à aller un cran plus loin que de simples bas auto-fixant.

L : aller, magne ton petit cul de sale bourgeoise et descends vite.

K : pas si fort s'il vous plaît ... je ne voudrais pas que quelqu'un nous entende

L : Tu ne veux pas que les gens entendent dire que Karla résidant XXXXXXX se balade quasiment le cul à l'aire pour se faire prendre comme une chienne dans le parking!!! C'est cela?

K : oui s'il vous plaît.

L : alors dis-moi les choses haut et fort : Je suis une épouse qui n'est en fait qu'une belle chienne en chaleur, une pouliche qui n'attend que son propriétaire la monte, une salope de bourgeoise qui aime la bite!

K Je je ... je suis une épouse qui n'est en fait qu'une belle chienne en chaleur, une pouliche qui n'attend que son propriétaire la monte, une salope de bourgeoise qui aime la bite!

L : Plus fort!

K : JE suis une épouse qui n'est en fait qu'une belle chienne en chaleur, une pouliche qui n'attend que son propriétaire la monte, une salope de bourgeoise qui aime la bite!!!!

Luc la pousse dans un petit renfoncement à l'abri des regards.

Sans un mot, il passe ses mains sous la jupe et d'un coup bref fait tomber sa culotte à ses pieds.

Sa belle culotte sexy traine par terre tel un vieux morceau de tissu.

Karla ne réagit pas, elle se laisse faire quand il lui dit de la ramasser. Elle le fait.

Quand il lui dit de humer et d'avouer qu'elle a mouillé sa culotte à cause de son excitation à le retrouver. Elle le fait.

Quand il lui dit enfin de la garder entre ses dents comme une bonne chienne, elle le fait encore.

A présent il lui lève la jupe d'un geste brusque. D'un regard dominant il lui demande de la tenir ainsi et d'écarter les jambes, ce que Karla fait une nouvelle fois sans rechigner.

Elle est à lui, même si elle s'en défend.

L : Mais je t'avais dit d'avoir l'abricot tout lisse qu'est-ce que cela?

K : j'ai pas rasé mais coupé court comme cela mon mari....

L : je ne veux plus entendre parler de ton mari. Si tu es ici c'est parce que ton mari ne te satisfait pas.

A nouveau en un éclair, Luc tire sur la jupe qui tombe à terre comme son tanga quelques instants avant.

Luc fouille dans sa poche. Et en ressort 3 objets.

Karla n'y croit pas ses yeux, c'est un rasoir, une bombe à raser et un miroir.

L : Vas y, rase toi ici et maintenant sinon remets tes frusques et rentre chez toi voir ton bon toutou de mari.

K : Mais ...

L : fais ce que je te dis ou sinon cela veut dire que je serais trompé sur ton compte et dans ce cas tu peux te casser!!! Mais ne reviens plus après pour demander ta ration

Karla ne veut pas revenir dans sa fade vie. Les mains tremblante par ce qu'elle va faire, elle prend la bombe, la secoue puis se badigeonne la vulve de la mousse à raser.

Avec une once d'hésitation, sachant qu'ensuite il sera trop tard pour faire demi-tour, elle prend le rasoir.

Elle se lance finalement. La mousse blanche disparaît au fur et à mesure dévoilant la blanche peau de sa chatte.

Encore une protection qu'elle ose faire tomber face à ce Luc se dit-elle.

En cinq minutes la motte noire de Karla n'est plus, Luc passe un gant humide sur sa moule. Ses belles lèvres roses explosent désormais à sa vue.

Luc prend le miroir et le positionne juste en dessous de la chatte de Karla.

L : Regarde le miroir.

K : Oh non comment ai-je pu faire cela.

L : La tu es digne de la salope que j'attends.

K : mais tout le monde va voir ma vulve.

L : si je le veux oui et tu feras ce que je te dis. N'est ce pas??

K : Euhh, oui Luc si ...

L : Monsieur Luc ma petite chienne. A priori tu es prête pour la saillie vu l'état de tes nichons?

Et dans le même laps de temps Luc agrippe avec ses doigts, à travers le fin tissu du chemisier et du soutif les tétons de Karla pour les élever de 20 cm en hauteur.

La veine tentative de se mettre sur la pointe des pieds ne suffit pas à éviter le vif pincement.

Mais ce qui embarrasse le plus Karla, c'est que derrière ce châtiment, elle sent son entre-jambe suinter de plaisir.

Luc relâche son étreinte. Il lui ordonne de remettre rapidement sa jupe qui jonche au sol et lui dit de la suivre.

Sans prendre le temps de se réajuster proprement Karla à peine la jupe au niveau des hanches suit son maître.

Ils ne marchent pas longtemps. Quelques dizaines de mètres plus loin dans un coin sombre du parking, Luc la fait monter dans une camionnette aux vitres teintées. Seuls un observateur attentif grâce aux miroirs pourrait découvrir ce qui e trame dedans.

Luc pour renforcer son emprise sur Karla n'omet pas de lui souligner ce point.

Et une fois dans le véhicule Luc lui ordonne de se foutre totalement à poil. Vaincue mais excitée à l'idée d'être prise par Luc et peut être surprise par un voyeur elle se déshabille complètement.

Luc de son ôté s'est allongé dans la vaste camionette. Il intime l'ordre à Karla de venir au dessus de lui pour faire un 69.

Karla s'exécute. Elle positionne ses jambes autour de la tête de Luc, et de l'autre côté libère le membre raide de son homme du jean qui l'enserrait.

La langue experte de Luc ne laisse que peu de temps à Karla avant que des décharges électriques apparaissent dans ses reins. Redevable du plaisir qu'elle prend en bas elle se met à téter à happer la grosse pine offerte à sa bouche.

Karla se dit qu'elle mérite bien le titre de chienne.

Mais Luc aime changer de surnom.

L : ma grosse pouliche badigeonne toi le visage avec ma bite, comme cela les éventuels passant pourront voir ton visage de salope plein de baves.

Karla sursaute, elle regard immédiatement en direction des miroirs et comprends ce que veut dire Luc quand elle voit passer des gens heureusement concentrés sur autre chose.

Les propos de Luc ont l'avantage de déclencher une petite jouissance que Luc réprime par deux belles claques sur con cul joufflu.

Pour Karla c'est un message de plus pour se défoncer. Elle décide alors d'enfoncer la bite du responsable de sécurité jusqu'à la garde. Karla reste un maximum ainsi au risque de recevoir des jets de sperme directement dans sa gorge. Peu importe se dit-elle. Elle est prête à se donner entièrement à lui.

Luc quant à lui veut autre chose. Il se relève et pousse Karla à se mettre à 4 pattes. A genou derrière elle il enfile son con sans difficulté.

Karla à tout le corps prêt à exploser. Ses seins qui ballotent sur les coups de butoirs de son amant n'en sont pas pour le moins fermes avec des tétons qui dardent outrageusement.

Son visage est rouge et sa chatte dégoulinante de plaisir.

Luc agrippe ses cheveux et la force à tourner la tête vers lui. Il l'humilie, la traite de chienne en chaleur de sa truie de sa pouliche qu'il va amener à la ferme pour voir des animaux dignes de son rang.

En même temps que cela il lui pince les nichons, lui fesse par ci par là son gros cul ferme.

Ces gestes, ces paroles ne font que décupler le plaisir de Karla qui se retient pour exploser quand tout d'un coup Luc sort sa bite de son vagin.

Il la positionne sur sa petite rondelle. Il appuie, Karla ne bouge pas, elle sent son anus s'ouvrir aidé en cela par ses sécrétions, elle a peur d'accepter un tel engin dans son fondement.

Ca y est le gland de Luc ouvre la voie. Sa tige suit. Cela lui fait bizarre. Elle n'a pas mal, ... mais le plus surprenant c'est quand elle sent le majeur de luc s'insinuer dans son vagin pour la branler simultanément.

Le côté dérangeant et bizarre laisse la place à du plaisir, un plaisir sourd et honteux une nouvelle fois.

Mais un plaisir bref car Luc explose dans son cul. L'étroitesse de son conduit a accélérer la jouissance de Luc.

Enervé de ne pas avoir longuement profité de cette victoire, mais aussi voulant que Karla finisse sur une note de jouissance, Luc lui ordonne de s'empaler sur le levier de vitesse.

Prête à tout pour prendre son pied, Karla gobe avec son sexe le manche en fer gainé de plastique.

Elle ne fait plus attention aux vitres, aux miroirs de la camionnette. Avec frénésie et rage elle s'empale toujours plus violemment sur le sexe virtuel.

L : Vas y défonce toi salope. Tu prends ton pied un???

K : Ohh oui j'ai jamais baisé comme cela

L : Défonce toi grosse chienne!!!

K : que c'est bon Luc, j'ai honte de me comporter ainsi ...

L : ce n'est que le début tu vas voir!!!

Sur ces mots, avec la barre au plus profond Karla exulte.

Quelques minutes plus tard elle se rhabille, soulagée de ne pas avoir été prise en flagrant délit d'être une grosse cochonne et prête à d'autres aventures avec Luc.

Mais Luc préfère garder ses plans ...