Le Squash... Et Plus

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Shirt excites Marie-Paule, and others.
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Boulot oblige, nous nous sommes installés dans une ville moyenne au nord de l’Angleterre, dans une maison de banlieue où il y avait beaucoup de travaux à faire. Après des journées de travail et des soirées de bricolage, j’en avais marre. Le weekend arrivait et j’avais besoin de détente.

J’ai demandé à Marie-Paule si elle avait envie d’aller voir le tournoi de tennis qui se déroulait à Nottingham, à quelques 60 kilomètres de chez nous. Elle était d’accord, et nous avons quitté la maison de bonne heure le samedi matin. Le temps s’annonçait maussade, pour un mois d’août, et j’avais peur que la pluie ne nous empêche de voir le tennis. Je me suis arrête à l’équivalent de Mr. Bricolage pour acheter des outils dont j’aurais besoin si notre journée tombait à l’eau, si j’ose dire…

Le temps de faire le trajet, le climat imprévisible anglais change d’avis. Il fait un temps splendide, beau, chaud et ensoleillé. Marie-Paule, en jean et chemise en gros coton, commence à avoir chaud. Comme toutes les femmes, elle a un thermostat intérieur qui fonctionne mal, et un changement de deux degrés peut faire d’elle un glaçon ou une braise. On arrive dans le centre de Nottingham et on décide qu’il va falloir lui acheter quelquechose de plus léger.

Or, cette ville est connue pour la fabrication de dentelle, et il y a de jolis magasins de dentelle artisanale. Marie-Paule veut bien essayer des tuniques pour mettre avec son bluejean. Je ne veux pas que ce qu’elle achète cache ses fesses, qui font très jolies dans son pantalon moulant, qui me plaît d’autant plus que la couture de devant entre facilement entre les lèvres du sexe de Marie-Paule… On choisit donc une tunique assez courte, en dentelle couleur écru, avec des mailles très larges. La tunique laisse en pleine vue les mamelons de Marie-Paule, ainsi qu’une bonne partie du reste de ses seins. Elle se regarde dans la glace et se trouve bien, mais peut-être trop sexy pour l’Angleterre. En plus la tunique est chère, et je l’achète à une condition, qu’elle la mette tout de suite, et que pendant le trajet à pied vers le stade, elle fasse semblant d’être seule. Je l’observerai d’assez près, mais n’interviendrai que si je le juge nécessaire, ou si elle me le demande.

L’idée l’excite et on achète la tunique. Elle sort de la boutique et se met en route. On la regarde beaucoup, elle est super-sexy…. Il y a des hommes qui font demi-tour pour regarder une deuxième fois. Il y en a même un qui rentre dans un poteau. Comme c’est l’Angleterre, personne ne la touche, personne ne lui fait de propos désagréables, et on arrive au stade.

Le type qui occupe la place à côté de nous n’a pas dû voir beaucoup de tennis. Il a les yeux rivés sur les seins nus de Marie-Paule pendant tout le match! Elle s’amuse à refroidir ses doigts sur les glaçons de sa boisson pour après se toucher, discrètement, les bouts de sein. Il n’en peut plus, le pauvre! Moi, aussi je la trouve désirable pour dire le moins, et je lui souffle ce qu’on va faire pendant le chemin de retour..

On quitte le tournoi vers cinq heures et nous nous dirigeons vers la campagne qui sépare Nottingham de chez nous. Il fait toujours chaud. Marie-Paule est excitée. Elle se caresse à travers son pantalon. Elle n’arrive pas à y passer sa main. Sitôt une aire de repos déserte trouvée, elle se presse d’enlever son jean serré et son slip mouillé, pour se masturber en toute liberté. Elle est très belle, les fesses nues et les seins visibles à travers la dentelle de sa tunique. Elle rabat le siège, et pose ses pieds sur le tableau de bord. Les minutes passent. Elle s’acharne, elle devient frustrée, ça ne vient pas. Elle tend la main, ouvre ma braguette, pour m’indiquer ce qu’elle veut. A ce moment-là je me rends compte que chez moi il ne se passe rien! J’ai beau être excité comme tout, je n’arrive pas à bander. Moi, ça m’inquiète, mais Marie-Paule est trop partie pour s’en apercevoir. Elle marmonne qu’elle veut du gros, qu’elle a envie de se sentir défoncée…

Brillante inspiration! Sur la banquette arrière, il y a le jeu de tournevis acheté en chemin. Il y en a sept. Les plus petits ne feraient pas l’affaire, mais à partir du numéro 4, ils ont des poignées en plastique translucent, en forme de cylindre, au bout arrondi. Je prends le numéro 4, qui doit avoir un diamètre de deux centimètres, plus ou moins, et je l’enfourne dans le vagin de Marie-Paule. Ça lui plaît, et je le fais rentrer et sortir lentement. Elle secoue la tête, et grogne qu’elle veut plus gros. Le plus grand mesure bien 7 cm de largeur. J’y vais doucement, mais bientôt il est au fond de Marie-Paule, et elle se sert de la lame pour se ramoner le sexe, en poussant de petits cris de plaisir.

Moi, je la regarde, le tournevis numéro 4 à la main. Je suis tenté, et je cède à la tentation. Elle a les pieds sur le tableau de bord, bien écartés, ce qui ouvre aussi ses fesses. Je trace la raie des fesses avec le poignée couvert des jus de Marie-Paule. Je sens quand il passe sur son anus, et elle frissonne. J’y mets un peu plus de pression, et elle accentue la vitesse de pénétration du gros machin dans son sexe. J’arrête mes va-et-vient, et me concentre sur l’anus même. Encore un peu de pression, et il glisse à l’intérieur, elle grogne, ne contrôle plus sa tête qu’elle secoue rapidement, d’un côté à l’autre. Elle jouit très fort, en me criant de sortir l’engin de derrière. Ça lui a fait mal, mais elle a adoré la sensation d’être remplie devant et derrière à la fois. Elle se calme, puis s’occupe de moi. Sous ses caresses ma défaillance momentanée est vite oubliée.

Ce soir-là nous faisons l’amour. Je jouis, mais elle n’a pas encore fini. Elle se retourne sur le ventre et commence à se caresser. J’écarte le drap et découvre sa nudité. Les ondulations de son bassin me font comprendre qu’elle a envie de quelquechose. Je trace le vallon entre ses fesses avec le doigt. Elle marmonne. Je fais une pause sur son anus. Elle pousse contre la pression envahissante. Je me mets à genoux entre ses cuisses écartées, et je pose mes paumes sur ses fesses et les ouvre, en grand. Son étoile sombre est en vue, ainsi que les doigts qui travaillent son clitoris sous le ventre. Si je lâche ses fesses, je perds le spectacle. Que faire? Je baisse ma figure et souffle sur la rondelle exposée. Une contraction montre qu’elle l’a senti. Je dépose un doux bisou sur son anus. Elle lève ses fesses pour me montrer que cela lui plaît. Je l'embrasse carrément, doucement d’abord puis, de plus en plus emporté, je pénètre avec la langue au fond de Marie-Paule. Elle en est folle, et jouit comme une enragée. A partir de ce jour, la sodomie commence à jouer un rôle important dans nos fantasmes….

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