Le Plus Bel Ete 03

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Où Charlotte emprunte des voies...
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 06/21/2009
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Où Charlotte emprunte des voies auxquelles elle n'aurait pas spontanément songé.

Résumé : Charlotte, jeune fille de 19 ans renfermée et qui n'aime pas son physique, découvre le plaisir et l'orgasme avec Xavier, un vieil ami de trente-cinq ans de plus qu'elle (voir : Pas de porte). Xavier n'avait pas voulu encore la déflorer. Charlotte a décidé qu'elle perdrait son pucelage avec lui (voir : Il faut sauter le pas).

*******************************

Si j'étais convaincue d'avoir bien fait en sacrifiant mon pucelage à Xavier, me remémorant les détails de cette folle après-midi, je me suis brusquement inquiétée. Toute à ma recherche d'une nouvelle jouissance de mon amant, j'avais réussi à le faire bander et prendre son pied une seconde fois. Et cela avait été si soudain, et j'étais tellement tendue vers le but que je m'étais assignée, que je n'avais pas veillé à ce que Xavier se protège la seconde fois. Certes, mon amant, au travers du délire que je lui avais procuré en l'enculant proprement, avait pris soin de ne plus me pénétrer, gardant peut-être un reste de conscience de ce qu'il venait de me déflorer, et que s'introduire une seconde fois ajouterait à ma blessure. Il avait donc, certes, joui sur mon ventre. Mais lorsque sa queue avait repris de l'ampleur, il avait accru ses sensations, et les miennes au passage, en la faisant aller et venir entre mes lèvres, bousculant ma perle divine au passage. Et comme il avait en plus dû conserver dans les replis de son gland les reliquats de sa première jouissance, je me mis à craindre qu'il ait pu, sans le vouloir, me faire un cadeau qui me ferait arrondir le ventre d'ici à quelques mois. Sans compter d'autres imprudences à tout prendre encore plus graves.

J'ai ruminé mes sombres pensées pendant deux jours, au cours desquels je suis restée cloîtrée dans ma chambre, et ne suis pas retournée voir mon chéri. Le troisième jour est venue la délivrance, ce qui démontrait que je m'étais inquiétée inutilement et que je n'étais pas très au fait de toutes ces choses. Je ne risquais rien pour ce qui était d'une éventuelle grossesse, puisque trois jours après commençait ma période menstruelle, ce dont j'aurais dû me souvenir. Cela n'écartait pas l'autre risque, même si je m'en suis trouvée immédiatement rassérénée.

J'ai néanmoins pris immédiatement les actions qui me paraissaient nécessaires. Je me suis pointée chez l'unique gynécologue de Châteauneuf pour me faire prescrire une pilule. Dans la foulée, un arrêt au laboratoire d'analyses pour clarifier ma situation. Le reste dépendrait de Xavier. Chez lequel je me pointai en début d'après-midi. Non pas pour une partie de jambes en l'air, surtout compte tenu de ma « période », mais pour une franche explication.

-- Ma pauvre chatte, qu'il me dit lorsque je lui fis part de mes soucis, tu aurais dû venir me voir tout de suite. Cela t'aurait tranquillisée. La pilule, c'est très bien, qu'il poursuit. Sur le risque de sida, sois sereine : tu es la première femme avec laquelle j'ai fait l'amour depuis que je suis veuf. Et aucun de ma femme ou moi n'avons butiné ailleurs que dans le nid conjugal. Alors, tu vois... Mais, pour que tu sois tout à fait rassurée, dès demain matin j'irai me faire contrôler.

Je me suis jetée dans ses bras. La vie redevenait possible. Et nous allions pouvoir à nouveau nous noyer tous les deux dans un océan de lubricité! Je l'ai étouffé sous mes baisers, j'ai dévoré ses lèvres avec toute ma passion retrouvée, j'ai mêlé nos souffles et nos salives, j'ai pénétré sa bouche de ma langue comme j'avais pénétré son cul de mes doigts trois jours avant.

Xavier a glissé ses grandes mains sous mon T-shirt, et commencé à triturer mes nichons. Mais comme avec ma « période », mes seins me faisaient un peu mal, je me suis gentiment dégagée en lui murmurant que ce n'était que partie remise. Malgré tout, il voulut que nous montions nous allonger tous les deux, pour que nous terminions l'après-midi dans la tendresse des bras de l'autre. Mais lorsque nous fûmes allongés, je n'ai pas pu résister. Je lui ai dit que même si on ne pouvait pas baiser, et que je devrai conserver ma petite culotte, j'aimerais sentir son corps contre ma nudité, pouvoir le chérir et le caresser de tout mon saoul, doucement, comme ça, juste pour la tendresse.

Nous avons fait comme je le lui avais demandé. Lui était entièrement nu, et moi je n'avais conservé que ma culotte. J'ai passé mon bras autour de son cou, et je me suis allongée la tête sur sa poitrine, à doucement écouter sa respiration. J'ai laissé mon autre main courir sur son torse et son ventre, mesurant la douceur de sa peau, peignant doucement les longs poils blancs qui tapissaient sa poitrine. Lui aussi m'entourait de ses bras, mais eu égard à mon indisposition, hésitait à me caresser. Nous étions bien. Mes nichons s'écrasaient sur son ventre et il apercevait mon téton gauche tout tendu et endolori qui se vautrait sur son estomac. J'ai entendu quatre heures au clocher. Je me suis un peu remontée vers son visage. En me redressant, mes seins pendaient au dessus de sa poitrine, et j'ai vu que le spectacle suscitait à nouveau chez lui cette expression de désir que j'avais déjà surprise et que j'aimais tant, et qui le faisait bander.

-- Mon bel étalon, que je lui ai dit, on va pas te faire le coup du souffleur!

-- Qu'est-ce qu'on lui fait au souffleur? m'a-t-il demandé.

-- Tu sais, l'étalon auquel on fait sentir si la jument est en chaleur...

-- Et alors?

-- Ben tiens, l'étalon, quand il en sent une bien disposée, tu verrais la canne qu'il se trimbale sous le ventre! C'est comme ça qu'il nous dit que la jument est en période... Il nous le souffle!

-- Et quel coup lui fait-on?

-- Ben, on prend la jument et on la mène au mâle auquel on la réserve, pour maintenir la lignée...

-- Et le souffleur?

-- Ben, il se la met en bandoulière!

-- Et moi?

-- Mon pauvre chéri, je peux pas te donner beaucoup aujourd'hui, mais je peux peut-être te soulager...

-- Tu crois?

-- L'autre jour, quand je te goûtais, tu m'as dit d'arrêter car sinon tu allais jouir dans ma bouche...

-- C'est vrai.

-- Ben, aujourd'hui, ce serait pas bien grave...

-- Tu accepterais que je...

-- Que tu jouisses dans ma bouche? C'était pas si mauvais ce que j'ai pu goûter l'autre jour... C'était même tout toi... C'était bon... La liqueur de mon petit chéri!

-- Tu accepterais vraiment?

Je ne lui ai même pas répondu, et je me suis glissée vers sa bite. J'ai fait traîner les seins sur son ventre, jusqu'à ce qu'ils se retrouvent à enserrer sa queue. Je voyais le gland qui surgissait dans mon sillon. Alors j'ai pris mes nichons entre mes mains, et doucement je les ai pressés autour de son braquemard. Xavier s'est tendu et a fait glisser sa queue vers le haut... Cela m'a fait rire, et j'ai attrapé le bout tout rouge entre mes lèvres. Rien que ça, mon Xavier commençait à soupirer ferme! Encore une petite reptation, et j'admirai le cierge tendu devant mon nez, exhalant son odeur sauvage. Il fallait que je me surpasse. Il fallait que cela soit grandiose, que mon chéri soit heureux! Je me suis dit que le mieux était d'y aller à l'instinct, en recherchant ce qui pourrait être le plus jouissif. J'ai commencé à lécher. Posément. J'arrivais au sommet, juste sous la pointe, et lentement, en laissant traîner ma langue baveuse, je repartais vers ses couilles. Puis je remontais dans le même mouvement. Enduisant le sceptre d'une couche scintillante de salive. Je m'arrêtais parfois pour en faire le tour. J'appuyais le menton jusqu'à ce que la queue s'inclinât, je sortais la langue et laissais couler un filet de bave que j'étalais consciencieusement, inclinant la tête entre le ventre et l'organe, m'élevant jusqu'à la saillie du gland que je flattais subrepticement au passage. Puis je me suis abaissée jusqu'aux bourses, là où les senteurs musquées se font plus pénétrantes. Je lui ai fait comme un suçon. En tenant son chibre redressé, j'ai gobé une à une les rondeurs en tendant la peau tendre comme avec une ventouse. Je sentais sous la langue rouler ses olives, pendant que mon Xavier perdait peu à peu toute retenue et se concentrait sur les bontés que je lui prodiguais en fermant les yeux. Alors je suis revenue à l'essentiel. J'ai conservé ses couilles dans ma paume, en les faisant doucement rouler tout en les pressant entre mes doigts, pendant que je reprenais mes léchouilleries. Lorsque son manche échappait à ma langue, il s'appuyait contre ma joue en se calant à l'angle de mon nez, et glissait ainsi lubrifié tout le long de ma face dans un soubresaut du bassin de mon chéri accompagné d'une respiration retenue et comme contrainte.

Il me fallait maintenant goûter le produit de mes agaceries et procurer à mon chéri une extase dont il garderait le souvenir. J'avais ma petite idée sur le sujet. Je me suis hissée au sommet, surplombant le gland dont sourdait à présent une grosse goutte de liquide à la consistance huileuse dont je me suis bien vite emparée d'un air gourmand. Alors je l'ai gobé, sucé, aspiré, et j'ai décidé de me l'enfoncer du plus que je pourrais au fond de la bouche. Doucement, puis en accélérant progressivement, je l'ai traité comme un gros sucre d'orge, m'arrêtant pour déguster la saveur qui le gagnait, repartant de plus belle, guettant les réactions de mon chéri qui s'agitait de plus en plus. Bientôt nous luttions pour savoir qui de moi ou de lui forcerait l'autre au recul... Et moi je courbais la tête pendant que lui m'enfonçait son vit au fond de la gorge. Et l'échauffourée devenait de plus en plus chaude. Soudain, j'ai arrêté le supplice, ai relevé le visage vers lui. Il a rouvert les yeux d'un air interrogatif. Je lui ai alors balancé le regard le plus vicieux que j'estimai pouvoir lui lancer et j'ai lentement ramené la main dans notre champ de vision commun. J'ai replié tous les doigts dans ma paume, sauf le majeur et l'index, que j'ai joints en les courbant ensemble à plusieurs reprises d'un air de dire : « suivez-moi jeune homme! ». Puis, d'un air à la fois gourmand et salace, je me suis plongé les deux doigts dans la bouche et les ai sucés langoureusement, comme s'il s'était agi de sa bite, en les enduisant consciencieusement de salive. Xavier suivait ma démonstration d'un air hagard, appuyé sur ses coudes, le chibre au « présentez armes! » lorsque doucement, très très doucement, j'ai fait passer mes doigts gluants derrière ses couilles et que je les ai délibérément introduits dans son trou du cul! J'ai vu ses yeux se voiler et sa bite se raidir pendant qu'il lâchait un gémissement plaintif.

J'ai recoiffé son vit de ma bouche baveuse. Et j'ai repris le calvaire, mais maintenant, d'une main je serrais ses couilles en les faisant rouler voluptueusement entre mes doigts, et de l'autre je lui branlais le cul en lui massant tout l'intérieur, derrière la bite. Il gémissait aux rythmes de mes différentes caresses et sa respiration se hachait de plus en plus. Je me régalais à chaque sucée du nectar qui se répandait de l'orifice de son vit, que j'absorbais à nouveau du plus profond que je pouvais. Brusquement, le goût à changé, la texture du liquide que je recueillais est devenue plus épaisse, plus grumeleuse. C'était comme la goutte que j'avais recueillie trois jours plus tôt. Mon volcan favori commençait à rentrer en éruption, et j'attendais que la coulée de lave soit projetée du cratère. Alors je me suis tenue coite, attendant que le dard qui me baisait maintenant la bouche ne se répande irrépressiblement. Et soudain, dans un râle creux, mon chéri s'est laissé aller. Ma bouche s'est soudain emplie d'un sirop âcre et amer dont les quantités impressionnantes s'accroissaient à chaque jaillissement de son vit qui s'épanchait en se propulsant contre mon palais... Et comme sa bite occupait, du fait de sa bandaison, l'essentiel de ma bouche, ce sirop s'accumulait et coulait par les commissures de mes lèvres, alors que j'en rejetais en toussant la partie qui s'était immiscée dans mon arrière gorge. Je me suis vivement retirée, laissant la queue bavante osciller devant mon menton, pour reprendre mon souffle, rassembler sur ma langue le divin liquide et lentement déglutir ce breuvage providentiel.

Lorsque Xavier a pu voir que j'avais tout avalé, il m'a prise sous les aisselles, a attiré ma bouche vers la sienne, et à partagé avec moi le goût que j'avais conservé de sa jouissance.

-- Tu es une insupportable coquine! me dit-il avec un sourire grave et tendre, une insupportable coquine qui aime avaler « le foutre »... a-t-il ajouté.

J'ai retenu le mot que je n'avais jamais entendu prononcer avec ce sens si particulier. Nous sommes descendus tous les deux dans l'état de nature où nous nous trouvions déguster à la cuisine une bonne citronnade qui a mis fin à nos - ou plutôt à ses - effusions.

J'étais définitivement encore plus fière de moi lorsque je suis revenue le soir dans ma chambre. Non seulement j'étais femme, non seulement je savais faire jouir mon homme, et en plus j'avais réussi à le faire avec ma bouche! Mais cela n'était pour moi qu'une sorte de « solution de secours » que j'avais utilisée faute de pouvoir lui en donner davantage. Rien ne me paraissait donner plus de plaisir que de lui donner mon plus intime, lui permettre de s'enfoncer en moi, que nous nous fondions ensemble pour jouir ensemble. Pour l'instant, et pour quelques jours encore, il fallait attendre.

Je ne me lassais pas de voir et parler avec Xavier. Même si nous étions contraints à cette attente, je me rendais chaque jour à la Soulane, rien que pour être à son contact, échanger des touts et des riens avec lui. J'ai profité d'un jour où je n'avais pas la mère ou le frérot sur le dos, comme ils devaient aller à Châteauneuf faire quelques achats, pour déjeuner avec Xavier. A chaque instant, je lui prenais la main, je me frottais à lui, je lui picorai un bisou dans le cou alors que je tournais et virais autour de lui pour lui mettre son couvert ou encore lui servir le plat que je lui avais préparé. Il observait toutes ces manifestations avec un sourire tendre et amusé. Ce jour là, après le café, il s'est levé, s'est saisi d'un papier dans le tiroir du buffet de la salle à manger et l'a posé devant moi. Il s'agissait du résultat d'analyses qu'il avait faites la veille et qui montraient que tout était clair. Quel chou! On pourrait maintenant se livrer à toutes les débauches sans arrière-pensées!

Enfin le flux s'est arrêté! Je me suis empressée de prendre ma pilule et d'échafauder des plans pour la suite. Une question me préoccupait. A chaque fois qu'il avait pris son pied, j'avais accentué la jouissance de Xavier en le sodomisant. Visiblement, l'excitation de cette partie de son individu accroissait ses sensations, et je le voyais alors quasiment défaillir, en demander encore davantage et sombrer dans une sorte de nirvana sensuel dont il ressortait dans une hébétude bienheureuse. Je n'ai compris que bien plus tard que le bienfait des caresses que je lui prodiguais venait du massage que j'effectuais sur sa prostate. Ne le sachant pas au moment où je me suis posé la question, je me suis demandée si, moi aussi, je pourrais accroître mes sensations en sollicitant ma rondelle. Il fallait que je m'en convainque, et j'ai donc décidé de me livrer à quelques expériences pour trancher. Lorsque j'ai pu constater que je pouvais reprendre mes manipulations intimes sans trop de désagrément, je me suis enfermée dans ma chambre en bloquant la porte comme la fois précédente avec ma chaise. Je m'étais à nouveau munie du manche de truelle qui m'avait permis la fois précédente de tester la pose du préservatif. Comme ce manche était assez usé et sali, je m'étais décidée à l'utiliser avec un préservatif qui de toute façon était devenu inutile pour les relations que j'envisageai avec Xavier. Restaient deux détails pratiques : le premier tenait à l'usage naturel de cet orifice. Si je ne voulais pas me retrouver dans une situation « délicate », il fallait que je veille autant que possible à ce que mon rectum soit vide. Ce n'était pas difficile. Il fallait également que cet endroit soit le plus propre possible. Je me suis donc isolée dans la douche pour me passer un jet assez puissant susceptible de dégager toute « particule » indésirable. En l'appliquant fermement à la sortie de mon intestin, le jet rentrait à l'intérieur, et je me vidais ensuite. Le second se rapportait à la lubrification. Xavier m'avait fait remarquer que l'anus enduit de savon mouillé n'opposait qu'une faible résistance à la pénétration. La première fois que je m'étais aventurée à enculer Xavier, j'avais dû enduire sa rondelle de ma mouille pour surmonter la résistance du muscle. La seconde fois, inspirée par la lubrification de sa bite avec ma salive, j'en avais fait de même avec mes doigts. Le succès avait été entier. Mais cette fois ci, l'excitation pourrait ne pas être au rendez-vous et pourvoir suffisamment à la lubrification de cet endroit. Après un bref moment de réflexion, il m'a paru que la solution la plus pratique serait de détourner une noix de beurre que je pourrais enfermer dans un morceau de film aluminium ménager. Je n'ai appris que bien plus tard que cela avait également été la recette utilisée par Marlon Brando dans le « Dernier Tango à Paris », que je n'avais encore jamais vu.

Comme la dernière fois, en sortant de la douche, me voilà nue à genoux sur mon lit découvert, le miroir à main en position, le manche de truelle revêtu de sa capote à disposition immédiate... Je ne me suis pas « échauffée ». Je veux procéder directement à mon expérimentation. Je me saisis donc de la noix de beurre que je commence à faire fondre dans la paume de ma main. De deux doigts, je passe le lubrifiant abondamment sur ma rondelle, et procède à un long assouplissement, dont je vérifie le résultat du bout de l'index, m'aidant du miroir pour vérifier la bonne fin de l'opération. Puis, j'enduis le préservatif de la même composition. Je présente l'extrémité arrondie du manche devant la cible. Je cale le manche à la verticale et, doucement, je commence à m'asseoir dessus, en guidant l'extrémité au centre de la rondelle. Le manche pénètre petit à petit, avec une impression de dilatation et d'écartèlement. En allant ainsi très progressivement, la douleur se maîtrise parfaitement. Lorsque le manche a pénétré au plus large de son diamètre, je constate que l'impression est tout à fait supportable, mais que cela ne déclenche pas de sensation de plaisir particulière. Je sens simplement cette présence qui pèse sur mon muscle. Me rappelant la façon dont j'avais littéralement branlé le cul de mon chéri, je me dis qu'il faut que j'essaye une variation des sensations. D'une main, je sollicite alors mes trésors favoris, et de l'autre, je commence à simuler le va et vient d'une bite dans mon cul. Alors que le plaisir commence à sourdre de ma vulve, je perçois les tiraillements alternés vers l'intérieur puis l'extérieur de mon anneau culier, et suis peu à peu envahie par l'amplification des mes sensations habituelles... Quelques minutes de ce traitement et voilà que je commence à ressentir d'intenses contractions jouissives, bien plus prononcées que celles auxquelles je me suis habituée, tout mon entrejambe me paraissant alors participer, de l'arrière à l'avant, à la montée de mon orgasme. Je poursuis la manœuvre, avec plus de détermination et de rapidité maintenant. Après quelques instants, j'en suis à me plier complètement en avant, ma tête reposant désormais sur mon traversin, en me fourrant le manche dans l'anus en me figurant que mon chéri était en train de m'enculer par l'arrière, moi à genoux devant lui. Je venais de découvrir la levrette. L'impression fut si forte que je ne dus qu'à l'étouffement de mon cri dans le traversin de n'avoir pas prévenu toute la maisonnée que Charlotte venait de « se faire » enculer et de prendre un pied mémorable. L'expérience était concluante. Restait à savoir si mon manche de truelle pouvait rivaliser en diamètre avec une bonne et belle bite bien vivante enfilée par un Xavier amoureux!