Le Joeut Sexuel du Patron Ch. 10

Informations sur Récit
L'esclavage sexuel de nos deux héros se poursuit.
1.2k mots
3.58
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Partie 10 de la série de 10 pièces

Actualisé 05/06/2022
Créé 10/12/2007
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Le jouet sexuel du patron Ch. 10

Coulybaca / wifelvrman

Récit de Georges:

Déborah est maintenant devenue officiellement une prostituée.

Elle m'a dit qu'elle avait gagné ses premiers 250 $ sous la houlette d'Amy.

Elle a sucé et a baisé avec son premier client dans sa voiture alors qu'ils stationnaient derrière un bâtiment vers de la ville, il lui a donné 100 $. Il l'a donné $100.

Elle l'avait sucé pendant qu'il conduisait lentement dans le quartier.

Sa bite avait gonflé, gonflé, jusqu'au moment où il avait largué quelques gouttes de pré-semence dans la bouche de Déborah, c'est alors qu'il s'était garé derrière le bâtiment et qu'il l'avait enfourchée allongée sur le siège arrière, il lui avait peloté les nichons à nu tout le temps de sa per-formance, n'importe quel passant aurait pu se rendre compte qu'elle se faisait baiser à l'arrière d'une voiture.

Puis elle avait de nouveau arpenté la rue et s'était entendue avec une paire de jeunes gaillards qui se firent sucer, elle dut avaler la fumée.

L'un des deux la doigta la durée de la pipe (elle ne s'attendait pas à cela) qu'elle accordait à l'autre. Il lui commanda de fermer étroitement sa bou-che alors qu'il déversait des torrents de foutre dans son arrière gorge.

Le second gicla tout de suite et couvrit son visage de foutre chaud et gluant avant de retourner dans sa bouche pour qu'elle lui tarisse les bur-nes.

Puis elle appartint à un petit vieux bedonnant, il n'avait que 60 $ elle le suça pourtant et se fit baiser à sa convenance sachant qu'elle pourrait retourner chez elle ensuite.

Sa bite était courte et grasse, il ne l'avait pas lavée depuis longtemps.

Elle eut du mal à guider sa queue dans sa chatte dans l'étroite voiture, elle avait bien du mal à le garder en elle, il la prit à la taille la serrant contre son ventre tandis qu'il la possédait.

Sa bouche était juste à hauteur de ses nibards qu'il suçait et mordillait frénétiquement, il lui laissa des marques rouges sur les aréoles.

Amy l'emmenait travailler en ville au moins une fois par semaine, géné-ralement le vendredi soir. Plusieurs fois elle m'emmena avec elle.

Elle faisait descendre Déborah et elle se garait la voiture et on la regar-dait assurer ses passes.

La première fois que je la vis grimper dans la voiture d'un étranger, cela me tracassa réellement. J'étais extrêmement gêné.

Rien que de la voir déambuler le long de la rue les nibards et les fesses bien à l'air me choquait profondément.

Lorsqu'elle se penchait par la vitre des voitures, je savais que ses ni-bards étaient libres de toute entrave et je voyais ses futurs clients les empoigner comme pour estimer la marchandise.

Amy me fit acheter des préservatifs pour Déborah.

Elle a utilisé 12 capotes vendredi dernier, c'est le maximum de clients qu'elle se soit fait en une nuit.

Elle rapporta environ 800 $ cette nuit là.

Amy lui prend tout l'argent, elle en donne une partie à un maquereau lo-cal qui autorise Déborah à arpenter "ses rues".

Ce souteneur, un véritable colosse noir, se tape Déborah lorsqu'il le dé-sire.

Une paire de semaines plus tôt il l'a baisée sur le siège arrière de sa voi-ture alors qu'Amy et moi étions stationné à quelques mètres.

Il possède une bite très épaisse, très longue et très noire.

Déborah rejoignit la voiture d'Amy une fois qu'il en eut fini avec elle, il ne s'était pas servi de capote, c'est un des rares à ne pas en employer.

Mercredi dernier, une nuit que Déborah allait à l'église habituellement, Amy la convoqua à sa maison.

Tout ce que je savais c'est qu'elle organisait une partie lesbienne, Débo-rah suça, lécha, baisa des femmes et fut baisée par elles?

Elle revint à la maison sa chatte et son trou du cul très enflés, rouges et béants.

Elle me dit que les femmes étaient bien pires que les hommes! ......

Déborah avait été parfois partousée lorsque Dan où Amy en avait déci-dé ainsi.

Elle participa à une partouse avec 8 hommes et à une autre avec 6 femmes.

Dan lui a dit qu'il lui préparait un énorme gang-bang sans rien lui préciser de plus.

J'ai assisté au gang bang avec 8 homes, bien sur je n'ai pas profité des charmes de ma femme, je devais regarder et sucer les mecs pour leur rendre leur vigueur. Les sucer où les branler à la main pour leur conser-ver une vigueur de bon aloi.

Déborah avait démarré le gang bang en dansant pour eux tout en s'ef-feuillant, puis à genoux elle les avait tous sucés alors qu'ils s'étaient mis en cercle l'encerclant de bites impatientes.

Puis elle s'était étendue sur un matelas, avait écarté ses cuisses, ouvert sa foufoune et avait demandé

-"A qui le tour? ...."

Puis ils s'étaient succédé en elle au minimum un en chatte et un en bou-che.

Elle commença par s'allonger sur un homme étendu au sol, ainsi son trou était facilement utilisable.

Elle parvint même à recevoir en même temps, deux bites dans sa cra-mouille et plus tard, deux dans son trou du cul.

Je n'aurai jamais pu croire qu'elle y parvienne, mais étant là je les voyais faire.

Certain de mes collègues participaient à cette partouze, quelques uns me firent sucer leurs queues après qu'ils aient pris Déborah en cul, j'avalais tout, cela donnait un peu de répit à Déborah tout en diminuant le volume de foutre qu'elle devrait avaler.

Presque chaque nuit, un membre de la boite l'appelait pour la baiser, elle se rendait parfois chez eux, le plus souvent ils venaient chez nous.

Ils aimaient baiser ma femme dans notre lit conjugal alors que j'attendais au salon qu'ils en aient fini avec elle.

Ils étaient très déçus lorsque Dan ou Amy l'emmenait en virée.

Déborah me demandait à chaque fois de lui bouffer le minou lorsque ses "amants" nous quittaient, parfois même devais lui brouter le minou sous leurs yeux égrillards.

Je pense que ces hommes adoraient me voir avaler la semence d'un tiers engorgeant la chatoune de Déborah.

Déborah reprend le récit :

J'étais joliment fatiguée après ces exploits, la nuit dernière, deux collè-gues de Georges ne partirent que bien après minuit.

Ils ne partirent qu'une fois que je leur ai totalement vidé les burnes en les suçant et en les accueillant dans mon con et mon cul.

Non seulement je me faisais baiser à tour de bras par de grosses bites et d'épais vibromasseurs, mais de plus je passe beaucoup de temps à leur lécher le cul.

Au début cela me révulsait, mais maintenant cela fait partie de mes pra-tiques ordinaires.

Je me fais ensuite copieusement lécher par Georges puis je tombe épui-sée dans les bras de Morphée une fois que j'ai joui.

Je suis tout aussi capable de faire jouir rapidement une femme mainte-nant, et je peux avaler la cyprine d'une femme qui me lèche.

Amy me fait porter un plug anal tous les jours, elle m'en fait porter de plus en plus gros, elle dit qu'elle veut que mon trou du cul bée en permanence, ce qui facilitera facile l'enculage par une énorme bite ou un monumental godemiché.

Très souvent j'ai aussi un leurre enfoncé dans la chatte, la combinaison des deux rend ma démarche aléatoire alors que je bande mes sphincters pour les garder en moi.

Les hommes semblent aimer me voir évoluer ainsi harnachée, Amy et ses amies aussi.

Samedi prochain doit avoir lieu le gang bang avec de nombreux partici-pants, Dan m'a dit qu'il avait invité 40 participants qui voulaient tous jouir de tous mes trous......

Ah oui, et ce soir je reprends mon boulot en arpentant de nouveau les rues à la recherche de clients! .....

22 novembre 2007

Traduction en français de Coulybaca,

avec l'autorisation de l'auteur wifelvrman (Literotica)

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

L’auteur est décédé. Il n’y aura donc pas de suite.

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Bravo mai dommage qu' il y a pas eu de suite !

J espère que sa viendra bientôt ?

AnonymousAnonymeil y a environ 8 ans

trop répètitif ,l'idée de départ est bonne,le style aussi, mais il aurai tfallu davantage de variété et aussi raccourcir le récit .

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