Le hangar 2

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Un enlèvement qui tourne au cauchemar.
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 09/07/2002
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La nuit est totale et pénible. Les liens d’Annie sont serrés sur ses poignets et lui font mal. Son premier réflexe est de les rendre plus lâche autour de ses mains, à force de contorsions et de volonté, Annie parvient à rendre ses liens plus supportables, mais elle n’arrive pas à s’en défaire, la méchante corde de chanvre, quoique usée est quand même solide et la retient à travers le barreau du lit. De toute façon elle n’y voit pas suffisamment pour tenter quelque chose pour sa délivrance. Annie a froid nue sur son bas flanc qui sent le chien mouillé, elle frissonne à l’idée de tout ces corps qui se sont succédés sur la couche. De ses pieds libres, elle explore le lit et fini par entrer en contact avec une couverture rugueuse que ses ravisseurs ont laissé là . Elle la ramène à elle et tant bien que mal elle essaie de trouver un peu de chaleur dans le tissus rèche et usé de la couverture.
Pas question de dormir dans ces conditions pénibles et si chargées de menaces pour le lendemain. Annie a tout le temps de réfléchir à sa situation. Ses fesses lui font mal, une douleur lancinante qui se rappelle à elle chaque fois qu’elle contracte son sphincter. Elle a peur du lendemain, que vont ils faire, mettre en application leur menace ? la livrer à tout un tas d’ouvriers immigrés, des hommes qui n’ont pas vu une femme depuis des mois et des mois ? Des hommes qui auront envie de reprendre leur revanche sur la race qui les asservi ? Des hommes réputés pour la grosseur de leur sexe, peut être pour une certaine sauvagerie ? Annie frissonna sur sa couche, elle sombrait dans le désespoir et elle se mit à pleurer doucement dans le noir en implorant sa maman. Tout en pleurant, il lui venait une envie pressante, cela faisait si longtemps qu’elle n’avait pas fait ses besoins. Elle fut paniquée tout à coup, comment faire ? allait elle faire sous elle ? Annie était désemparée et se mit à pleurer pour de bon.

Ces pleurs ne résolvaient rien et bientôt l’envie fut trop pressante, il lui fallait trouver une solution, vite !

Annie s’arrêta de pleurer, une idée venait de germer en sa tête, un espoir, une lueur. Elle allait pisser sur le lit, le rendre impropre à tout usage, ainsi demain elle gagnerait du temps. Elle s’éloigna comme elle put de l’endroit où elle s’était recroquevillée et le corps tendu aussi loin que possible, les cuisses bien écartées, se soulagea sur la paillasse, puis elle revint dans son coin, évitant ainsi la partie mouillée du bas flanc.

Elle fut satisfaite du tour qu’elle venait de jouer à ses tortionnaires, imaginant leur tête demain quand ils viendraient pour la tourmenter.

Cependant l’inquiétude revenait en elle tant son désespoir était grand. Il lui semblait que cette nuit serait sa dernière, elle pensa à Alain qui devait souffrir mille morts à n’avoir aucune nouvelle de sa femme, elle envisageait son inquiétude, son angoisse et son tourment.

Annie se désespérait dans le noir et c’est à peine si elle aperçut le petit matin qui pointait à travers la verrière sale qui servait de fenêtre. Le jour nouveau la trouva recroquevillée sur le lit, les yeux bouffis de larmes et transie de froid.

Il lui fallut attendre encore longtemps, un temps elle pensa qu’ils l’avaient oubliée.

Le jour était levé depuis longtemps déjà lorsque Annie sursauta en entendant une clé tourner dans la serrure, toute sa crainte revint et en animal traqué, elle fut instantanément sur ses gardes. Boubacar passa le nez dans l’ouverture de la porte avant de l’ouvrir complètement. Il entra et Ali le suivit dans la pièce.

« Alors bien dormi ? » lança-t-il joyeusement.

Annie le regardait venir avec inquiétude. Il avait un sac en plastique à la main et sans plus s’occuper de sa prisonnière il déballa son contenu sur la table. Elle fut surprise de voir apparaître une bouteille thermos et un sac de croissant. Boubacar vint vers le lit et défit les liens de Annie.

« Tu vois, j’ai pensé à toi ! » dit-t-il de sa voix douce au sourire charmeur.

Annie considéra la thermos et les croissants, l’idée de manger et de faim ne l’avait pas effleuré tant son désespoir était grand.
« Tu dois prendre des forces ! » lui lança Ali, tu vas avoir besoin de force, et joignant le geste à la parole, il défit le bouchon de la thermos qui faisait aussi tasse et versa une rasade de café chaud dans le récipient avant de le tendre à Annie.

Craintivement, Annie prie la tasse et la porta à ses lèvres. Le café était bon, elle sentit la gorgée chaude descendre le long de son œsophage, et se répandre en son estomac. Elle apprécia l’instant. Les deux hommes la regardaient sans rien dire, elle les regarda à son tour. Boubacar souriait toujours et Ali lui jetait ce regard de maquignon appréciant la valeur d’un cheval. Annie frissonna en pensant à ce qu’ils avaient fait la veille. La nausée lui vint et elle reposa la tasse de café.
« Bois et mange ! » dit fermement Ali, « Tu ne peux pas rester sans manger ! »

Annie fit non de la tête et se butta.

« Elle fait la gueule ! » Ce fut sa seule appréciation.

« On va arranger ça « dis doucement Boubacar, et s’approchant d’Annie, il s’assit sur le lit à coté d’elle. Il se releva bien vite.

« La salope elle a pissé au lit ! » s’écria le sénégalais.

« Un peu normal non ? » répondit Ali on s’en est pas occupé hier soir.

« Ouais, à moins que… »

« Quoi ? » demanda Ali.

« Qu’elle a fait ça pour nous emmerder, qu’on puisse pas se servir du plumard.

« Tu crois ? »

« Possible, mais c’est raté, on va aller chercher un autre matelas et elle l’aura dans le cul ! »

« Ah !ah ! c’est le cas de le dire mon frère ! » Ali se tapait sur les cuisses.

« En attendant ça mérite une punition non ? »

« T’as raison mon frère on va se laisser baiser par cette gonzesse. »

« Viens ici poulette » appela Boubacar.

Annie le regarda terrifiée, qu’allait il encore inventer ?

« Viens j’te dis n’aies pas peur viens là ». Son doigt pointait ses pieds.

Peureusement Annie se leva et s’avança vers le grand noir, il faisait trois têtes de plus qu’elle et quand elle fut à ses pieds elle dut lever la tête pour suivre ses yeux.

« Mets toi à genoux » ordonna-t-il.

Annie tomba d’elle même à bout de résistance, avait elle envie de résister ? Sa raison semblait la trahir et quand le noir sortit son sexe elle ouvrit la bouche pour le prendre. Elle suça mécaniquement cette verge sombre et dilatée qui envahissait sa bouche. Boubacar une main derrière sa tête imprimait le rythme de la caresse et de temps en temps, appuyant plus fort, il lui enfonçait son membre dans la gorge. Elle acceptait la queue qui violait sa bouche, l’homme lui imposait cette fellation sans souci de son confort ou de son envie. Soudain il lui sortit le sexe de la bouche.

« Tu vas sucer Ali maintenant ! allez vas-y ! »

Ali qui se masturbait depuis le début de la scène s’approcha et offrit sa bite aux lèvres d’Annie. Elle happa la chair gorgée de sang et suça avec le même mouvement mécanique.

« elle suce comme une vraie pute maintenant ! » s’écria Ali.

« Oui, elle a la technique mais elle me fait pas jouir comme ça ! Elle a pas les sentiments quand elle suce. »

« T’entends ? tu ne suces pas comme il faut ! fais un effort ! »

Annie s’appliqua pour éviter un tourment plus grand encore et de concentra sur la bite en sa bouche. Elle n’eut pas longtemps à attendre et bientôt de longs traits de sperme giclèrent de la verge palpitante et lui emplirent la bouche. Annie ferma les yeux, une main l’empêchait de reculer et elle déglutit le liquide visqueux qui coulait en elle.

« Tiens lui dit Ali reprend du café, ça fait passer ! » et il accompagna son geste d’un rire gras et satisfait.

Annie ne voulut pas prendre le café mais les hommes la forcèrent à boire un peu. Ils la forcèrent aussi à manger un croissant bien que la nausée lui coupa tout appétit. Ce fut un exercice pénible, Annie avait trop peur pour refuser quoi que ce fut, à plusieurs reprises, elle crut qu’elle allait vomir, mais finalement elle tint le coup.

Quand elle eut fini son semblant de petit déjeuner, il lui fut permis de passer dans la pièce attenante où il y avait un lavabo et elle put se faire une toilette sommaire en se passant de l’eau sur le visage. L’eau froide lui fit du bien, son front chaud et fiévreux se détendit au contact de l’eau froide. Elle se nettoya aussi entre ses cuisses poisseuses des violences d’hier soir. Elle frissonna mais les ablutions lui firent du bien et elle retrouva un semblant de moral et de lucidité. Les deux hommes étaient restés là et la regardaient faire sans un mot, elle devinait le regard fiévreux qu’ils posaient sur chaque parcelle de son corps pendant qu’elle tentait de se redonner une apparence un peu normale.

Quand elle eut fini, ils la raccompagnèrent dans la pièce principale et la rattachèrent au lit. Elle les supplia de ne pas serrer ses liens et dans un effort d’humanité ils consentirent à ses suppliques tout en vérifiant la solidité des nœuds.

Quand ils furent partis, Annie considéra ses poignets et tenta une fois encore de se libérer. L’eau froide lui avait redonné de la combativité et elle regarda mieux ses liens.

Hélas toutes ses tentatives furent veines, elle eut beau se tordre les poignets en tout sens, rien n’y fit et elle demeura liée à son bas flanc. En partant, les deux hommes lui avait laissé un seau qu’elle pouvait atteindre pour faire ses besoins ; Elle regarda le seau en plastique jaune et se mit doucement à pleurer.

Elle demeura seule toute la journée, ce ne fut que vers le milieu de l’après midi qu’elle perçut un remue ménage en provenance du bas. Le bruit de voix se répercutait sous la voûte métallique du hangar et lui parvenait déformée et inquiétante. La clé tourna dans la serrure et Ali réapparut avec Marco et charly. Ceux-ci portaient un matelas de mousse et des draps. Rapidement ils retirèrent celui qu’elle avait souillé la veille et replacèrent leur matelas qu’ils recouvrirent sommairement des draps et couverture. Ensuite Ali lui tendit un sac de plastique en lui disant « Tiens mets ça ! ».

Annie jeta un regard rapide dans le sac, il contenait des dessous féminins d’un rouge criard. Elle releva la tête et regarda les hommes, incrédule.

« Je ne vais mettre ça quand même ! » balbutia-t-elle.

Charly s’approcha d’elle lui saisit les cheveux et se pencha si près de son visage qu’elle eut dans la figure son halène fétide chargée de bière.

« tu vas mettre ce qu’on t’a amené et vite fait encore ! sinon je te promets un sale quart d’heure ! »

Il était si menaçant que Annie se recroquevilla d’un coup sur sa couche ? Elle avait une chair de poule incontrôlable et semblait désemparée. Charly plongea la main dans le sac et sortit une culotte qu’il lui tendit de façon impérative.

« Allez enfile ta culotte salope ! » Peureusement, Annie tendit la main et enfila le frêle vêtement. Ce ne fut qu’une fois qu’elle l’eut enfilée qu’elle s’aperçut de la particularité de l’objet : la culotte était fendue, laissant une large ouverture à l’endroit du sexe.

Elle n’eut pas le temps d’y penser davantage, Charly lui présentait un soutien gorge assortit qu’elle prit en tremblant. Comme elle n’arrivait pas à l’agrafer, le blond rasé lui prêta ses mains pour lui mettre en place. Elle s ‘aperçut vite que le vêtement lui aussi était particulier, lui soutenant les seins il laissait libre les pointes.

Charly recula d’un pas pour juger de l’effet des dessous affriolants qu’elle venait de passer.

« Bandant ! »

Ce fut son seul commentaire et à nouveau il tendait quelque chose à Annie. Celle-ci découvrit un porte jarretelles également rouge. Elle regarda Charly, hébétée.

« Allez ! on ne va y passer la nuit » et il tendit le petit bout de tissus à sa prisonnière. Elle s’exécuta machinalement, fixant le ruban à sa taille. Ensuite elle enfila des bas noirs et ce fut tout.

Boubacar avait assisté à la fin de l’habillage pendant qu’Ali s’éclipsait à son tour. Dehors on entendait enfler le brouhaha des voix, Annie frissonna, prise au piège, incapable de réaction.

Marco vint vers elle, il tenait une seringue à la main. Elle fit un bond en arrière en hurlant « non !!! » mais déjà Boubacar et Charly la tenait fermement. On lui passa un garrot autour du bras, ses veines se mirent à saillir et une froide angoisse l’envahit quand l’aiguille se planta en sa chair. Les yeux exorbités elle suivait le piston qui instillait en elle le poison.

Presque aussitôt, elle ressentit les même symptômes que la veille et le monde réel se déroba. Elle sentit qu’on la couchait en travers du lit, on lui écartait les jambes, mais elle ne pouvait se défendre, son corps était si lourd. Il lui parvenait en écho des bruits de plus en plus présents, des mots qui lui étaient étrangers, tout une bouillie de paroles qu’elle ne déchiffrait plus.

Et puis elle sentit une masse sur elle, vivement on fouilla son entrecuisses et l’on s’insinua dans son ventre. Il y eut des battements contre son pubis, rapides et violents. Tout son corps refusait le contact mais elle n’y pouvait rien. Elle percevait le halètement de celui qui la chevauchait mais ne le voyait pas, perdue dans son brouillard lointain. Ce fut assez bref, une rapide chaleur dans son bas ventre et la masse se retira. Elle eut à peine le temps d’apprécier le soulagement qu’une autre masse l’écrasait et recommençait son manège. Encore cette présence en son ventre, ses vas et viens et cette chaleur soudaine qui se répand en elle. La masse se retire à nouveau, c’est une autre masse qui arrive, recommence, la chaleur en elle, repart. Encore une fois, la même chose, elle perd le fil, ne sait plus ni où ni quand ni combien. Cela se succède, elle n’a plus la notion du temps, ne ressent rien, flotte au milieu de nulle part, juste ces poids qui pèsent sur son ventre et l’empêchent de respirer normalement. Elle s’y fait, rien ne la gène, elle s’abstrait de toute cette horreur.

Elle ouvre les yeux, la nuit est tombée, elle entend des voix près d’elle mais elle ne bouge pas. Elle a mal partout, il lui semble que son corps est cassé en mille morceaux. Ses reins lui font un mal terrible et son sexe tout à coup se réveille comme si elle avait un couteau planté entre les cuisses. Cela la brûle, elle gémit et se tord sur le lit, en position fœtale pour minimiser la douleur. Elle grimace de douleur et porte sa main là où elle a mal. Son ventre est trempé, ses cuisses sont trempées et le drap en dessous est trempé lui aussi. La mal lui coupe la respiration , son ventre est en feu et elle serre les dents sous la douleur qui la taraude.

Les autres ont arrêté de parler et la regardent, elle perçoit leur regard ironiques à travers le brouillard de ses yeux. Charly fume et le regard noyé dans la nicotine, il suit les contorsions d’Annie sur le lit. Ali semble s’amuser de ses douleurs tandis que Marco et Boubacar comptent et recomptent une pile de billets devant eux.

« Elle a bien bossé la bourgeoise ! » lance Marco

« Ouais, mais on en pourra pas tout le temps demander autant aux gars ! aujourd’hui elle était fraîche mais après c’est plus pareil ! »

Boubacar venait de s’exprimer.

« T’as raison mec, faut faire vite avec elle. Elle va vite se défraîchir. »

Marco jeta un regard au lit où Annie reprenait conscience.

« elle a pas mal morflé déjà ! »

Boubacar se leva et vint vers le lit. Il se pencha vers Annie.

« Ca va ? »

« Non, j’ai mal ! » finit elle par articuler.

« Attends, je vais te donner de l’eau. »

Il disparut avec le seau jaune et revint avec de l’eau et une éponge. Il commença lui même à nettoyer le sexe de sa prisonnière,
l’eau froide une fois de plus fit du bien à la femme torturée. Elle trouva assez de force pour se soulever un peu et continua elle même à se nettoyer sous le regard intéressé des quatre compères.

Quand elle eut fini, elle se redressa tout à fait, ils étaient debout devant elle, près à partir.

« On t’a laissé de quoi bouffer et boire. » lança Boubacar tout en l’attachant au lit.

« Là, tu vas pouvoir aller jusqu’au pot comme ça, mais fais pas de connerie. A demain. »

« Fais de beaux rêves !! » lâcha Charly en refermant la porte sur elle.

Fin de la seconde nuit.

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