Le gang des rangers se fait la mère

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Une mère et sa fille tombe sous la coupe d'un gang.
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Le gang des "Rangers" se fait la mère et la fille

(Gang does mother and daughter)

Coulybaca / Master of female slaves.

Deborah Henderson ne suspectait pas quoi que ce soit d'inhabituel en arrivant chez elle la journée de travail terminée, elle ouvrit la porte de devant et pénétra dans sa maison.

- "Whap ...." quelque chose venait de la frapper sur la joue l'envoyant dinguer au sol.

Après quelques secondes d'étourdissement, elle tenta de se relever et retomba sur le ventre alors qu'une chaussure s'écrasait sur son dos.

Elle ouvrit la bouche pour crier, mais quelqu'un plaqua sa main sur ses lèvres alors qu'une voix autoritaire lui disait :

- "J'enlève ma main de ta bouche et je te laisse te relever si tu te comportes calmement!......."

Le pied qui lui pesait sur le dos fut levé et il enleva sa main plaquée sur sa bouche.

Elle hocha frénétiquement la tête.

Avant même de se relever, elle constata avec effroi qu'une bande d'ados avait envahi son salon.

Elle fut encore plus effrayée en voyant Estelle, sa fille de 18 ans, aux mains de l'un d'entre eux.

Le gars la tenait par les cheveux.

Avalant sa salive, elle chercha à s'approcher de sa fille, mais l'ado qui la tenait par les cheveux l'attira en arrière d'une brusque et douloureuse saccade et lui secoua la tête avec violence.

Deborah se figea de terreur et d'une voix tremblante, elle demanda humblement :

- "Qui ... Qui êtes-vous?...... Que nous voulez vous?....."

Et sans même attendre la réponse, elle ajouta :

- "Prenez ce que vous voulez, mais ne nous faites pas de mal!....."

- "C'est bon la vieille, on fera ce qu'on veut!...." répliqua fermement le gars qui tenait Estelle.

- "Quant à savoir qui nous sommes, Je m'appelle Roland et ce sont mes potes ... On se fait appeler les Rangers et on a un petit compte à régler avec la gentille Estelle!....."

- "Un compte à régler?...." répéta Déborah avec incompréhension.

- "Oh que oui ...." reprit Roland

- "Tu sais que nous fréquentons le lycée ... Tu pourrais même dire qu'on y règne!..... Et aujourd'hui ....J'ai demandé à ta fille de me faire quelque chose qu'aucune des filles du collège ne me refuse!......" et s'adressant à Estelle il ajouta :

- "Raconte à ta mère!......"

Elle commença :

- "Maman, il m'a retenue dans les gradins couverts et m'a demandé de ..... De ....

- SMACK!

Raymond venait de la gifler de sa main libre lui intimant :

- "Raconte lui tout!...."

Déborah cria alors :

- "Laissez la tranquille! ....."

-

- "'Ferme ta gueule!...." lui cracha Roland énervé.

- "On ne t'as rien demandé!....." Incapable d'argumenter devant une telle arrogance, Deborah se tut.

L'ado se retourna vers sa fille.

- "Raconte petite salope!...."

- "Il ... Il ..... Il m'a dit ... De ... De ....Prendre son pénis dans ma bouche!......ET ... Et .... Et de lui faire une fellation ...." balbutia finalement la pauvre fille éperdue.

Deborah se mordit les lèvres s'interdisant de traiter ce salaud d'immonde bâtard ou même pire encore.

-

- "Elle n'avait pas le temps de me faire ça correctement .... On n'avait pas le temps ....Aussi l'a-t-on suivie déterminé à terminer notre petite discussion ici!....."

- "Mon Dieu!...." pensa Deborah au fond d'elle-même.

- "Ces monstres veulent violer ma petite chérie!......"

- "On avait pensé te ligoter ..." continua-t-il impavide,

- "Mais puisque t'es encore foutrement baisable pour une vieille, je pense qu'on va t'inviter à t'amuser avec nous!......"

- "Je vous en prie ...." les implora-t-elle

- "Je ferai tout ce que vous voudrez, mais je vous en prie laissez ma fille tranquille ... Ne lui faite pas de mal!....."

- "On n'est pas ici pour marchander!...." lui répliqua durement Ro-land, puis, s'adressant à ses comparses :.

- "Amusez-vous avec la vieille pendant que j'apprends les bonne manières à sa fille!....."

- "Maman!...." hurla Estelle alors que Roland la traînait par les che-veux vers une chambre.

- "Estelle!...." s'époumona à son tour Deborah paniquée par la tour-nure que prenait les événements.

Elle voulut se ruer au secours de sa fille, mais deux solides ados l'em-poignèrent la forçant à demeurer en place.

Bien qu'elle se débatte, ils l'allongèrent de force au sol, ils lui déchirèrent son corsage et l'en dépouillèrent rudement, puis ils lui enlevèrent ses chaussures et roulèrent son pantalon sur ses chevilles.

Bien que ne portant plus que son soutien-gorge de dentelle et une petite culotte assortie, elle se défendait toujours. Ils lui maintenaient bras et jambes au sol, cuisses grandes écartées.

Un des ados lui arracha son soutien gorge, un autre son affriolant cache sexe.

Un troisième l'enfourcha sa grosse bite en main, la gifla sévèrement, lui intimant de se taire, de se calmer et de cesser de se débattre.

Etourdie, la joue la brûlant elle obéit misérablement.

- "Et maintenant ma salope, on va voir si tu vas goûter à nos bites, te faire ramoner par de vrais hommes!....."

Dans la chambre, Roland avait jeté Estelle sur le lit et avait fondu sur elle. Elle avait bien tenté de résister, mais d'une main, il lui avait immobilisé les poignets au dessus de la tête tout en la giflant de l'autre jusqu'à ce qu'elle cesse de se démener.

- "Petite pute .... " lui cracha-t-il à l'oreille

- "Quelle idée t-as t'il prit de me dire non?......Pas une des chiennes de ce lycée n'ignore qu'on ne doit jamais me dire non!....."

- "Je ...Je suis désolée ....." pleurnicha Estelle alors que, le gars al-longé sur elle remontait son sweat-shirt sous les aisselles, et sor-tant un couteau de sa poche coupait son soutien-gorge l'en dé-pouillant ensuite.

- "Je vais faire ce que tu veux!...... Je vais te faire une fellation!..... Je le jure!...."

- "Par l'enfer ... Tu vas me faire bien plus que ça!....." et il saisit un de ses tendres tétons entre ses dents le mordant cruellement, elle hurla sa douleur.

Alors que Roland mâchouillait avec rudesse les mamelons de sa fille, Deborah se faisait labourer impitoyablement la chatte.

L'ado allongé sur elle la ramonait comme un étalon honore une jument, s'enfouissant si puissamment en elle qu'à chaque coup de boutoir il s'engouffrait jusqu'aux couilles dans son ventre tressautant de douleur.

Personne ne l'avait jamais baisée aussi brutalement que ces ados.

Un second ado glissa sa bite dans la paume de sa main droite, il lui inti-ma :

- "Branle moi la vieille!...."

Un autre lui mit sa mentule dans son autre main et ajouta

- "Branle moi aussi!...." et la pauvre femme sans défense se retrouva à branler simultanément deux épaisses mentules alors qu'une troisième lui labourait frénétiquement la chatte.

Enfin le gars allongé sur elle éjacula dans sa fentine, les deux autres qu'elle branlait firent de même lui aspergeant le visage et la poitrine d'un épais foutre bien gras.

Elle resta étendue sur le sol dans une sorte de stupeur, sa chatte brû-lante traversée de spasmes convulsifs.

- "Hey salope ... Viens ici ..." l'interpella soudain une voix dans son dos

- "Viens me sucer!.....".

Lentement, péniblement, elle se releva, et comme ses jambes étaient trop faibles pour la porter, elle se traîna sur les genoux jusqu'à la chaise où était assis le gars qui venait de l'apostropher.

- "Sors ma bite et grouille toi!...." "lui intima-t-il rudement.

Puis comme elle descendait sa fermeture éclaire et empoignait sa virilité, il poursuivit :

- "Et si l'idée te venait de me mordre la queue, je découperai les té-tons de ta fille!....."

Deborah emboucha la grosse bite, la plupart de leurs agresseurs étaient des noirs où des latinos, tous très bien montés, et entama des va et viens lascifs sur la hampe raidie.

Alors qu'elle s'exécutait servilement, un des ados se posta dans son dos et lui écarta douloureusement les fesses.

Elle grimaça, sachant ce qui allait lui arriver, sachant par ailleurs qu'elle ne pourrait se soustraire à cet acte dégradant.

Dans la chambre, Estelle était maintenant entièrement nue, il avait dé-chiré le reste de ses vêtements et Roland la baisait aussi férocement que l'avait été sa malheureuse mère.

Estelle gémissait, pleurnichait, mais n'esquissait aucun geste de révolte.

Elle restait étendue sur le dos subissant ses violents assauts qu'elle sa-vait ne pas pouvoir éviter.

Lorsqu'il se fut vidé en elle, il se releva et lui ordonna de se redresser.

Elle obéit et, sans rien dire, l'empoignant par les cheveux, il l'a ramena dans le salon.

La scène qui se présenta sous ses yeux la choqua encore plus que son propre viol. Sa mère à quatre pattes, sanglotante et tremblante comme une feuille suçait un des ados alors qu'un autre l'enculait sauvagement.

Lorsqu'ils eurent tous deux satisfaits leurs appétits, Roland les fit s'agenouiller cote à cote dans le centre de la pièce et tourna autour d'elle.

- "Hey la vieille ....." apostropha-t-il Deborah

- "Savais-tu que ta petite chérie n'était plus vierge!...."

La mère ne pipa pas un mot et Estelle riva ses yeux au sol, très gênée.

Soudain il la saisit par les cheveux et lui rabattit la tête en arrière. Puis il lui balança une sévère gifle sur les joues lui rappelant :

- "Je t'ai posé une question salope!......"

- "Non, non ....." soupira-t-elle "Je ne le savais pas!....."

Se tournant vers ses comparses, il demanda :

- "Que va-t-on faire de ces deux salopes?...."

- "Je vous en prie ...... Vous nous en avez déjà assez fait .... "pleur-nicha Deborah.

SMACK.

Roland venait de coller à Estelle une gifle si violente qu'elle en tomba sur le dos.

Puis se tournant vers la mère, il l'informa :

- "Alors chienne, tu vas apprendre rapidement les règles?...... On ne t'a rien demandé!.... Alors tu fermes ta gueule!....Tu me com-prends bien?....."

- "Oui, oui ..... Je suis désolée ..... Mais je vous en prie ne faite plus de mal à ma petite fille ...."

L'un de ses comparses interrogea alors Roland :

- "L'as tu enculée dans la chambre?....."

Estelle horrifiée écarquilla les yeux comme des soucoupes, alors que Roland répondait que non il ne l'avait pas encore enculée.

- "Je suppose qu'elle est encore pucelle du trou du cul!...."

Soudain terrifiée par ce qui attendait sa fille, Deborah enlaça les chevil-les de Roland, lui embrassant les pieds,le suppliant :

- "S'il vous plait ne lui faite pas ça ....... Je vous en prie ... Servez vous encore de moi ...... Je ferai tout ce que vous voudrez!..... Vous pourrez me prendre à plusieurs ... En bouche, dans mon trou du cul ... Comme vous voudrez!....."

WHOP!

Une nouvelle claque venait de terrasser à nouveau Estelle.

- "Quand comptes tu apprendre les règles la vieille?...." l'interrogea-t-il ironiquement.

- "Personne ne t'as parlé!...... Pour nous tu n'es qu'une chatte qu'on utilise à notre gré!...... Juste un peu moins stupide qu'une pierre à ce que je vois!...... Mais il y a des règles que t dois observer dé-sormais!...... Chaque fois que tu diras ou que tu feras quelque chose qui me déplait, on cognera sur ta fille ... Et maintenant re-mets toi à genoux et reste calme!......"

En pleine déconfiture, Deborah s'exécuta misérablement.

Roland se retourna alors vers Estelle et lui intima :

- "A quatre pattes ..."

Tremblante comme une feuille elle obtempéra sans dire un mot.

- "Qui veut passer en premier?....."

- "Hey ..... Crois tu qu'elle se nettoie correctement le cul? ..... Je ne veux pas tremper ma bite dans un con merdeux!..... Dis à sa mère de lui nettoyer le trou du cul!...."

- "C'est une bonne idée ...." approuva Roland hilare. Et se tournant vers Deborah, il lui ordonna :

- "Lèche lui le trou du cul pour le nettoyer!...."

Secouée de hauts le coeur, larmoyante, elle rampa vers sa fille et par-courut servilement de la langue sa raie culière.

Bien que Roland estima que son trou du cul était propre, il lui saisit les cheveux et lui pressa le visage dans la raie culière de sa fille lui com-mandant :

- "Introduis la pointe de ta langue dans son trou du cul et nettoie lui le goulot!....."

Une fois de plus elle obtempéra enfonçant sa langue aussi profondément qu'elle le put dans le rectum de sa fille, le léchant et le détrempant de sa salive.

Quelques minutes plus tard, l'un des ados prit place dans son dos :

- "Ca suffit maintenant ..... " il la poussa de coté, s'approcha de la jouvencelle pleurant hystériquement et planta profondément son gros braquemart dans son anus récalcitrant.

Deborah, impuissante regardait sa fille se faire dépuceler brutalement le trou du cul.

Estelle hurla et gémit au grand amusement des ses agresseurs, son assaillant se mit à l'enculer sauvagement tenant des mèches de ses che-veux en main comme les rênes d'un cheval.

Lorsqu'il en eut terminé et se retira, Estelle s'effondra en avant, sanglo-tant misérablement alors que du foutre et du sang s'écoulait de son anus palpitant.

- "A mon tour ..." dit l'un d'eux.

Mais Roland le stoppa dans son élan.

- "Plus tard ....." lui dit-il ".... Avant on va reluquer un bon broutage de gazon entre femmes!..... Allez la vieille allonge toi sur le sofa et écartes tes cuisses en grand!..... La gamine va te bouffer la chatte de tout son coeur!.......".

Docilement, Deborah s'installa sur le sofa, cuisses grandes ouvertes, Roland se dirigea vers Estelle et lui colla un bon coup de pied aux fesses lui intimant :

- "Allez debout et va lécher la fente de ta mère!....."

Sur ces mots il la saisit par les cheveux et la traîna jusqu'à sa mère, puis il lui pressa le visage dans le compas poila de sa génitrice et commanda :

- "Léche!...."

Les yeux d'Estelle s'emplirent de grosses larmes elle tendit la langue et commença à parcourir la fentine de sa mère de la langue. Roland lui pressa encore plus le visage dans le buisson touffu de sa mère lui or-donnant :

- "Fouille sa chatte dans tous ses replis ...... Ouvre lui la chatte ..... Savoure son jus intime!..... Mâchonne lui le clito ....."

A l'arrière plan ses comparses chantonnaient en choeur :

- "Plus profond ... Plus profond ... Plus vite ... Plus vite ....."

Deborah allongée sur le dos mêlait ses pleurs à ceux d'Estelle.

L'un des ados remarqua :

- "C'est pas la peine de laisser de belles grosses miches inem-ployées ..." il s'approcha et se mit à jouer avec ses gros nibards et ses tétons dardés.

Un autre lui faisant tourner le visage sur le coté engouffra sa bite dans sa gorge et se mit à la baiser en bouche.

Peut être était ce la combinaison des caresses linguales de sa fille, de son pelotage de nichons et la pipe qu'elle pratiquait avec luxure, ou sim-plement le fait qu'elle soit très excitée, toujours est-il cela la rendit folle d'excitation et bientôt elle sentit qu'un intense orgasme allait la terrasser d'ici peu.

- "Oh mon Dieu non ...... " se dit-elle au fond d'elle même.

- "Je vous en prie mon Dieu ne me faites pas jouir sous les yeux de ces porcs!..... Je vous en prie ....." mais rien n'y fit.

Elle se mit à se tordre et à gémir, puis son corps se tétanisa, elle écrasa son pubis contre les élèves de sa fille et enfin elle explosa submergée par un fulgurant orgasme.

Les ados se marraient comme des brutes à la vue du visage d'Estelle couvert de cyprine, les deux femmes pleuraient à gros sanglots, entiè-rement soumises au gré de leurs agresseurs.

Puis ils les disposèrent cote à cote sur le plancher puis un gang bang qui dura des heures commença alors.

Elles furent baisées à la chaîne de toutes les façons imaginables, elles avalèrent des litres de foutre, furent giflées, cognées à coups de poings, de pieds, leurs tétons furent torturés, et elles endurèrent encore bien d'autres sévices.

Plusieurs fois elles durent se mettre en 69 l'une sur l'autre, et à chaque fois, sous les commentaires salaces des assistants, Déborah jouit sous les caresses de la langue de sa fille.

Finalement elles se tinrent face au gang en entier qui venait de large-ment profiter de leurs charmes, Roland les informa alors :

- "Vous allez toutes deux avoir des contusions qui vont durer quelques jours, dans ton cas la vieille, tu peux prendre un congé maladie, mais quant à toi ma petite chérie, je veux te voir demain matin, en pleine forme à l'entrée du lycée, tu comprends ce que je te dis?.....".

- "Oui ...." soupira-t-elle d'une voix misérable, hochant la tête en si-gne d'accord.

- "Personne ne doit entendre parler de votre aventure ...... On re-viendra faire la fête vendredi .... Vous vous préparerez toutes deux en conséquence!...."

Ils les quittèrent sur ces mots, dès qu'ils furent partis, Deborah se rua sur le téléphone, mais Estelle la stoppa dans son mouvement.

- "Que veux-tu faire maman?...... N'as tu pas entendu ce qu'ils ont dit!....

- "Ils sont loin maintenant ...." répliqua sa mère décidée à appeler la police.

Estelle secoua énergiquement sa tête

- "Non ...... Tu n'as pas bien compris ...... C'est eux qui dirigent le lycée ..... Même la principale, madame Morton a peur d'eux ...... Elle et toutes les autres profs les paient chaque semaine pour être protégées et ils ont sauté la plupart des femmes du bahut ...... Les rares femmes qui se sont plaintes de concert avec les membres de leurs familles ont eu de très graves accidents ..... Parfois même mortels!......"

- "Mais tu peux quitter le ville ... "suggéra la pauvre mère atterrée.

- "Je vais t'envoyer vivre chez ton père!...."

Estelle secoua à nouveau la tête :

- "Leur bande a des contact avec tous les gangs du pays!..... On ne peut pas leur échapper ..."

- "Si on ne peut pas leur échapper .... Que va-t-on faire?...."

Estelle baissa la tête :

- "On ne peut faire que ce qu'ils nous ont ordonné, il faut rester calme et faire la fête avec eux chaque vendredi soir......"

Et toutes deux entièrement nues, enlacées, elles se laissèrent aller à leur désespoir.

Deborah resta chez elle quelques jours, alors que servilement Estelle se rendait chaque jour au lycée.

A la vue de ses contusions, un de ses profs suspectant un abus sexuel parental l'envoya au bureau de madame Morton, la principale.

Avant même que la principale lui ait posé une première question, Roland débarqua sans frapper dans le bureau, il ne frappait à aucune porte dans le lycée, aucune ne lui était fermée au nez.

D'un mouvement du pouce il intima à Estelle de quitter la pièce. Madame Morton opina du chef et la lycéenne s'en alla.

Lorsqu'elle fut partie, il lui flanqua une sévère gifle au travers du visage et éructa :

- "N'aurais-tu pas oubliée de payer une partie de ton écot la semaine dernière!....."

- "Je ferai mieux cette semaine ... Je le jure!....." l'assura-t-elle trem-blante.

- "Tu ferais mieux!...." la menaça-t-il impitoyablement.

- "Sinon tu auras droit à une nouvelle session dans le vestiaire des filles!..."

Lorsqu'il partit, la pauvre femme frémit se rappelant le gang bang qu'elle avait subi entre leurs mains.

Les semaines suivantes, Deborah et Estelle offrirent leurs charmes aux "rangers" chaque vendredi soir.

Elles n'avaient même pas à se déshabiller, la mère et la fille les atten-daient entièrement nues selon leurs ordres.

Un vendredi en fin d'après midi, en arrivant chez elle, Deborah ne trouva pas Estelle, seul Roland l'attendait.

- "Ta petite salope de fille ne rentrera pas avant dimanche, su tu y mets du tien bien sûr!...."

- "Que .. Que veux tu dire?....." demanda-t-elle profondément in-quiète.

- "Jusqu'ici tu t'es fait baiser gratuitement chaque vendredi soir, il est temps maintenant de gagner ta croûte, à partir de ce soir, chaque vendredi tu mettras des vêtements sexy et tu arpenteras le bitume tout le week-end ..... Dimanche matin, si tu me rapportes assez d'argent, tu reverras ta petite chérie ...... Bien baisée bien sûr!..... A toi de te montrer une bonne gagneuse .... Si tu ne me rapportes pas assez, tu ne la reverras jamais plus!..... Et maintenant enfile cette tenue!...." lui dit il.

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