La vengeance du scheik

BÊTA PUBLIQUE

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Ilsa les entraîna alors dans l'avion. elle se retrouvèrent dans un petit compartiment luxueux qu'elles ne se seraient jamais figurées trouver dans un avion. Il y avait six sièges le long des hublots. Le compartiment était orné d'or et d'argent, les coussins étaient luxueux et des iconographies onéreuses décoraient la carlingue. Il y avait même une petite fontaine, Ilsa leur expliquait ce qui allait suivre lorsque la porte claqua dans leur dos.

- "Ok vous étiez les dernières attendues, prenez place sur vos sièges et bouclez vos ceintures!... La fête commencera une fois qu'on aura décollé, je vous emmènerai l'une après l'autre rencontrer la vedette puis vous vous joindrez aux autres invités..... Il y a pas mal de stars Hollywoodienne, des célébrités, des producteurs, des metteurs en scène!..... La chaire est somptueuse ..... Il y a à boire à volonté!..... La musique est excellente!.... Je vous souhaite de bien vous divertir!...... Vous vous trouvez dans un immense avion présentant des possibilités de divertissement énormes!...."

Les quatre adorables jeunes femmes étaient profondément impression-nées, elles prirent place alors que l'avion roulait sur l'allée menant à la piste de décollage.

Chapitre 6 - Brandi rencontre une star.

Dès qu'ils eurent pris l'air, Ilsa sourit à Brandi. C'était la partie qu'elle ai-mait.

- "Prête à rencontrer notre hôte?......"

Brandi se trémoussait impatiemment sur son siège.

- "Tom Cruyise!... j'arrive!.... Nicole Kidman n'a qu'à, bien se tenir!...."

Ilsa l'escorta jusque dans un somptueux vestibule orné de statues et de tableaux, ils passèrent devant plusieurs portes, dont quelques unes affi-chaient des plaques gravées élégamment.

Brandi ouvrait des yeux émerveillés, c'était pas croyable, elle se croyait dans les mille et une nuits!

Ilsa sourit à l'idée du traquenard qui se refermait sur Brandi et ses amies, elle avait remarqué que Brandi croulait sous les émotions, et de fait tout se passait comme dans les mille et une nuits.

Le plan était machiavéliquement élaboré, Ilsa amena Brandi devant une porte délicatement ouvragée, Brandi s'avança la première, Ilsa claqua la porte dans son dos et la verrouilla.

Rashid la considérait l'oeil moqueur.

Il l'accueillit ironiquement :

- "Bienvenue à ma petite fête ma chère Brandi, j'espère que tu ne chercheras plus à me décocher des cous de pieds!..... Ces hom-mes armés de pistolets paralysants interviendront si tu tentais de le faire!....."

La mâchoire de Brandi tomba d'un seul coup, Rachid appréciait du re-gard sa jupe fendue haut sur les cuisses.

- "Magnifique tenue!...." gloussa-t-il adressant un geste vers la femme à ses cotés.

- "Te souviens-tu de Gretchen la fille de "Top Torture Now?..... J'ai fermé le site maintenant que vous l'avez visitée toutes trois pour vous faire une idée, les informations divulguées étaient créées de toutes pièces....."

Brandi toisa Gretchen du regard.

Vêtue de cuir noir, juchée sur des talons aiguilles, elle semblait très dif-férente de l'élégante assistante de direction de cet organisme entière-ment fictif qu'elle avait alors rencontrée.

Rachid gesticulait comme un client sur la chaise du dentiste.

- "Prends un siège!...."

Brandi hésitait. Elle jeta un oeil sur le garde armé de son paralyseur.

- "Je suppose que je n'ai pas le choix!...."

Rachid se contenta de sourire.

- "Tu n'as effectivement pas d'autre choix que de m'obéir!....."

Brandi s'assit sur la chaise. Instantanément ses poignets furent attachés aux bras de la chaise. Ses délicates petites chevilles furent liées aux pieds de la chaise. Un collier de cuir noir fut attaché autour de son cou.

- "Que me voulez-vous?...."

Rachid tenait un anneau de plastique noir.

- "Pour l'instant, je veux que tu ouvres la bouche en grand!...."

Brandi jeta à nouveau un oeil sur le paralyseur et ouvrit docilement la bouche. L'anneau s'accrochait sur ses dents ce qui lui permettait de rester en pace, une lamelle s'allongeait dans sa bouche immobilisant sa langue contre son palais, des pinces de métal encerclaient sa tête pour lui maintenir la tête immobile.

Le scheik Rachid applaudit à cette vue. Gretchen roula une servante au-près de la chaise.

Des petites bougies maintenaient le contenu de deux plats couverts au chaud.

Avec un sourire éclatant Gretchen enleva le premier couvercle. L'odeur dégoûtante, épaisse la renseigna immédiatement sur son contenu : une substance marron pleine de grumeaux, Rachid sourit en voyant Brandi grimacer de peur.

- "Une soupe de lavement sortant du cul des vieilles salopes les plus dégoûtantes que l'on ait pu trouver!..."

Gretchen découvrit l'autre plat, l'odeur acre lui souleva l'estomac, Rachid lui confirma ce que ses narines avaient identifié.

- "De la bonne vieille urine pour faire passer la soupe!...."

Il appuya sur un contacteur et la chaise se renversa en arrière.

- "Nous allons te disposer de façon à te faire savourer ta délicieuse soupe.

Brandi se démenait frénétiquement.

Sa poitrine avait jailli de son corsage et se balançait fort agréablement sous les yeux de ses admirateurs. Ils applaudirent tous, à l'exception de la pauvre Brandi bien entendu.

- "C'es exquis!.... Quel touchant tableau!...."

Lorsque la chaise se retrouva en bonne position, Rachid glissa la main dans la fente de sa robe et la caressa intimement.

- "J'aime cette étroite bande de tissu sépare tes bons gros globes culiers!......"

- Après l'avoir intensément pelotée, il se redressa.

- "J'ai demandé à un médecin de m'aider à parfaire ma technique, et l'une des choses qu'il m'a enseignée est de toujours laisser à un prisonnier la possibilité de mijoter, aussi je te quitte un instant pour accueillir mes autres invitées!...... Ne te tracasse pas pour autant, Gretchen va prendre soin de toi .... Lorsque je reviendrai, elle te fera avaler ta bonne sousoupe jusqu'à la dernière goutte!.... Sur ces entrefaites Gretchen, va te divertir de ses doigts merveilleuse-ment intrusifs et quelques mots sages....."

Ils sortirent tous à l'exception de Gretchen.

La vicieuse Gretchen s'assit sur un tabouret. Elle se pencha en avant pinça le mamelon dénudé de Brandi et le tordit méchamment. Brandi avala sa salive.

Gretchen adorait torturer les nouvelles. Elle se pencha à nouveau, mordilla le lobe de l'oreille de Brandi qu'elle trempa de salive et com-mença à lui siffler son avenir d'une langue venimeuse.

- "Ecoute moi bien salope ..... Comme tu as assailli le scheik, puis tu lui as fait une publicité qui l'a humilié, ta punition sera longue et sévère!...... Laisse moi t'annoncer ce qui va t'arriver lorsque tu auras avalé ta bonne sousoupe de lavement et la pisse de ces ignobles pu-tains!....."

Profondément désespérée, Brandi l'écoutait attentivement. Les doigts de Gretchen exploraient son corps impitoyablement tâtant et pinçant selon son humeur. La pauvre Brandi gémissait sa peur. Gretchen se mit à lui caresser la face interne des cuisses.

Brandi écarquilla ses adorables yeux et elle se mit à transpirer lorsque les doigts montèrent alors que Gretchen se montrait plus explicite ....."

Dans la salle d'attente ses amies grignotaient des délicats amuse-gueules, les plus délicieux toasts qu'elles aient jamais goûtés, et toujours présenté par un serveur au petits soins, Ilsa les interpela de la porte.

- "Melody, la langue de vipère, c'est votre tour de rencontrer le pa-tron avant de rejoindre la fête!....."

Chapitre 7 - Melody prend une leçon de chant.

Melody se figea d'horreur lorsque le scheik Rachid prit place à son coté, elle regardait avec terreur les paralyseurs dans la main des gardes.

L'électricité, elle en avait une peur panique, elle se résolut à faire tout ce qui était nécessaire pour éviter cette menace.

- "A poil!..."

Melody se dépouilla facilement de sa tenue, dessous, elle était nue, elle se tenait devant lui, entièrement nue, juchée sur ses talons aiguilles, Ra-chid tapotait la surface de la table.

- "Allonge toi sur le dos!...."

Elle obtempéra docilement, des menottes encerclèrent ses chevilles et ses poignets. Ses chaînes furent brutalement tirées lui écartant les cuis-ses en grand.

- "Ouvre la bouche!...."

Un anneau de plastique noir fut placé entre ses dents lui maintenant la bouche grande ouverte.

A la différence de celui de Brandi, celui-ci ne comportait pas de lamelle pressant la langue contre le palais, et sa langue restait visible, elle l'agitait frénétiquement dans sa bouche, Rachid lui présenta un svelte gentleman oriental qui portait des lunettes aux verres épais.

- "Le Docteur Li, un éminent spécialiste des électrochocs. Lorsque je reviendrai après avoir salué tes amies, il attachera des électrodes sur les parties les plus sensibles de ton corps et l'on verra à quel point il arrivera à te faire hurler!..."

Le docteur Li roula le tableau de contrôle à ses cotés, elle put ainsi y je-ter un coup d'oeil affolé.

Elle se débattait désespérément sur la table alors que le docteur Li ôtait sa tenue blanche de laboratoire et ses caleçons blancs révélant une bite érigée, des plus impressionnantes. Rachid sourit ironiquement.

- "Pendant ce temps, le docteur Li va s'amuser avec toi, il souffre d'une maladie connue sous le nom de priapisme, il se trouve de fa-çon permanente en érection, amuse toi bien!...."

Il grimpa sur la table et brutalement il pénétra sa chatte desséchée. Melody s'arc-bouta sur les talons et hurla de douleur alors qu'il entamait de rudes vas et viens.

De retour dans la salle d'attente, Ilsa s'adressait à Sheryl :

- "A votre tour Sheryl!...."

Chapitre 8 -- Bobbi fait montre de ses capacités

Sheryl était partie depuis quelques instants, Bobbi feuilletait distraitement un magazine féminin, jetant un oeil inters sur un article concernant le sexe.

- "Ton amie Sheryl est maintenant en train d'écarter les cuisses pour accueillir mon escouade de violeurs ... Ce ne sont pas les plus beaux hommes au monde, mais ils ont tous deux principales ca-ractéristiques : une longue et épaisse bite entre les jambes et les couilles bourrées de foutre......"

Bobbi frémit d'horreur à cette annonce. Lentement elle le leva les yeux vers le scheik Rachid.

Elle le regardait fixement comme un petit animal pris dans les phares d'une puissante voiture.

Ilsa s'approcha d'elle souriant haineusement. Elle tenait une paire de bas, des hauts talons noirs et des gants à mi bras.

- "Que me voulez-vous?...."

Ce qui intéressait surtout le scheik Rachid c'était de constater les effets de la préparation du docteur Heinrich.

- "Ilsa a un charmant petite tenue à te proposer. Je veux que tu enlèves tous tes vêtements et que tu enfiles ces bas, ces talons ai-guilles et les gants noirs!.... Dorénavant ta seule tâche sera de me complaire!.... Enlève moi tout ça pour montrer à tout le monde ce que tu as à offrir!..... Puis on ira visiter tes amies ...."

Le docteur Heinrich avait bien travaillé, sans aucune hésitation, Bobbi s'éxécuta.

Le docteur Heinrich lui avait expliqué en détail ce qui lui arriverait si elle ne faisait pas de son mieux pour lui plaire. Elle se livra à un suggestif strip-tease, exposant aux yeux de tous sa somptueuse beauté, puis elle enfila la tenue de pute, tendant élégamment les cuisses alors qu'elle en-filait les bas.

Rachid lui fouilla l'ente cuisses, elle tendit effrontément sa chatte contre la paume de sa main, haletant de plaisir alors qu'il introduisait un doigt curieux dans sa chatte.

Tout le monde se délectait de ce spectacle érotique, comme le docteur l'en avait averti, Bobbi s'avérait une délicieuse salope.

Chapitre 9 - Melody atteint les notes les plus aiguës

Le scheik fit signe à Ilsa qui encercla le cou de Bobbi d'un large collier de cuir noir relié à une laisse de chien, puis elle emprisonna ses bras dans un fourreau de cuir sur son ventre, les sangles du fourreau assuraient l'ancrage des deux bras l'un contre l'autre du coude au poignet.

En dépit de cet handicap, Bobbi souriait de son mieux, elle regardait le scheik avec curiosité et joie, elle secouait ses nichons dénudés et faisait chalouper sa croupe d'une adorable façon.

Le docteur Li s'était retiré de la chatte de Melody et était descendu de la table. Les babines de sa chatte étaient rouges vifs et fortement enflées, il l'avait chevauchée avec rudesse.

Le docteur Li se préparait à disposer lui même les électrodes aux en-droits les plus sensibles de son corps.

Melody couina comme il insérait le spéculum pour ouvrir en grand sa foufoune. En véritable maître il localisa rapidement son point G et y clipsa un électrode, se servant d'une longue pince, il en clipsa un autre sur le col de son utérus.

L'électrode en forme de tire bouchon qu'il lui vissa dan le fion la fit grima-cer au fin fond de sa détresse.

Un plus petit fut inséré dans son urètre alors que les larmes ruisselaient sur son visage. Elle pleurnichait de façon pathétique lorsqu'il clipsa son clito décapuchonné. Il se servit d'une pince pour attraper sa langue et l'équiper elle aussi d'un électrode. Il lui enleva ses boucles d'oreille et les remplaça par des électrodes. Ses tétons, ses aisselles, l'arrière de ses genoux, ses doigts, ses orteils, ses sensibles plantes de pied, tous ces points sensibles furent équipés d'électrodes.

Elle sentait la morsure douloureuse de tous ses électrodes clipsés sur ses terminaisons nerveuses, c'était déjà très douloureux.

Le docteur Li prétendait jouir de ses victimes pendant de longues heures, Le visage de Melody était rouge écarlate et sa respiration dif-ficile.

Il s'approcha du tableau de commandes, contrôla l'intensité du courant, et sa fréquence puis envoya une petite secousse histoire de tester les connexions.

Le corps dénudé de Melody luisait de sueur alors qu'elle tressautait à chaque secousse électrique.

Elle poussa une série de couinements lorsqu'il connecta les électrodes entre ses cuisses, ses fesses se crispèrent brusquement alors qu'elle hurlait de douleur. Les muscles de ses cuisses tressautaient spasmodi-quement.

Rachid applaudit à deux mains.

- "Merveilleux!... " poursuivit-il à l'adresse de Bobbi.

- "Il va la faire hurler jusqu'à paralyser ses cordes vocales, la morve va couler de son nez .... Sa bouche va écumer comme celle d'un chien enragé ..... Mais cela n'arrivera pas avant plusieurs heures ..... Nous reviendrons périodiquement pour voir les progrès ..... Pour l'instant laissons là aux mains habiles du docteur Li et allons voir la pauvre Brandi aux mains de Gretchen ..... "

Amarrée à la table, Melody tambourinait follement des talons alors qu'ils quittaient la salle.

Ses cris aigus s'interrompirent subitement alors que la porte se refermait dans leur dos.

Chapitre 10 - Jusqu'à la dernière cuillère.

La douillette petite Gretchen chantonnait avec entrain en constatant que ses doigts avaient fait leur oeuvre.

La peau de Brandi luisait couverte d'une épaisse couche de sueur bien grasse, elle respirait par petits coups soulevant sa poitrine au rythme des battements saccadés de son coeur. Ses tétons maltraités étaient dardés, elle avait perdu tout contrôle de son corps et avait uriné sous elle, elle baignait dans une mare de pisse.

Rachid la regarda avec satisfaction et félicita Gretchen.

- "C'est excellent!.... Tu nous l'as superbement préparée!..... Il est temps de passer aux choses sérieuses maintenant...."

Gretchen souriait de satisfaction. Elle enfila une paire de gants en caout-chouc et s'adressa suavement à sa victime :

- "Assez joué, on va passer au plat de résistance!..."

Brandi tentait désespérément des les supplier de l'épargner, mais l'anneau lui maintenait la bouche ouverte et la langue collé au palais ce qui lui interdisait d'émettre des sons audibles, transformant misérable supplique en un babil enfantin. Gretchen lui parlait comme à un gros bébé.

- "Prépare toi ma petite Brandi chérie, que c'est bon ...du nanan ...."

Gretchen adapta un entonnoir à l'anneau et lui plaça une pince sur le nez lui bouchant les narines, Brandi ne pouvait plus respirer qu'au tra-vers de l'entonnoir.

- "Tu devras avaler le contenu de ta bouche pour pouvoir respirer, Brandi ma petite chérie ...."

Elle plongea une louche dans la dégoûtante substance composée d'excréments grumeleux marrons dans une soupe brunâtre, et joyeu-sement elle la vida dans l'entonnoir.

Le corps de Brandi s'arqua sur la chaise, elle secouait sauvagement ses nichons crachotant et toussant, l'estomac soulevé de nausées.

Gretchen lui massa habilement le cou pour aider la petite salope à avaler sa lampée diarrhéeuse.

Bien que profondément choquée, tremblante de toutes ses fibres, Brandi dut choisir, avaler ou s'étouffer!

Gretchen la félicita en l'embrassant sur le front.

- "C'est très bien ma chérie ... la première cuillerée de soupe est toujours la plus dure à avaler ..... Faisons la poussée avec une bonne goulée de cette urine brune ...Peut-être bien qu'elle est brune parce qu'enrichie de sang de menstrues!....."

Elle versa une bonne louche dans l'entonnoir, Brandi s'étrangla à nouveau désespérément, elle tressautait le cul baignant dans son urine, mais elle dut avaler la chaude lampée qu'on la forçait à ingurgiter. Gret-chen lui sourit railleusement.

- "C'est vraiment une bonne fille!..... T'en as encore pas mal à in-gurgiter .... On va bien te remplir l'estomac!...."

Doucement, précautionneusement, amoureusement Gretchen lui massait la gorge l'aidant à engloutir cuillerée après cuillerée l'infâme soupe aux excréments accompagnée de son urine réchauffée.

Rachid hochait la tête approbatif, il avait craint un instant que Brandi ne se vomisse dessus, mais Gretchen, en vieille routière de ces pratiques avait adroitement évité cet écueil.

- "Allons donc voir ce que fait Sheryl!...." gloussa-t-il à l'égard d'Ilsa.

Chapitre 11 - Une overdose de sperme.

Nue comme un ver, maintenue par moult mains impatientes sur un lit souillé, Sheryl grognait et gémissait, elle leur servait de jouet sexuel.

Son visage était pressé conte les draps imprégnés de foutre tandis qu'un épais mandrin lui écartelait le trou du cul.

Un anneau maintenait tous ses orifices béants, prêts à servir à la horde "des chiens d'Allah", l'escouade de violeurs du scheik Rachid.

La horde était formée de violeurs expérimentés impatients de visiter tous ses orifices, ce qui expliquait pourquoi Sheryl était aussi couverte de sperme.

Ses cheveux, son visage et son pubis étaient gras d'une épaisse crème spermatique, des flots de foutre gluant s'écoulaient de ses orifices, elle était littéralement enrobée de la tête aux pieds de leur semence cré-meuse.

En femme athlétique dotée d'une excellente endurance, aiguillée par une farouche révulsion, la capitaine des pom-pom girls résistait fermement, ignorant que son attitude réjouissait d'autant plus ses infâmes violeurs.

Elle étouffa presque lorsqu'un autre membre de la bande inséra son épaisse mentule dans l'anneau lui maintenant la bouche grande ouverte jusqu'à lui chatouiller les amygdales.

La face rubiconde, haletante, elle ne put respirer librement qu'une fois qu'il se retira après avoir projeté son épaisse purée au tréfonds de sa gorge et qu'elle l'eut vivement avalée.

Totalement satisfait Rachid complimenta le meneur des "chiens d'Allah".

Rien de tel qu'un bon gang bang pour briser une jeune morveuse dou-blée d'une arrogante pute, et de plus voir une femme se faire violer par une bande d'excités était toujours un plaisir en soi.

Il observa attentivement les brutes épaisses de son escouade de vio-leurs qui baisaient Shéryl par tous ses trous, c'était un spectacle d'une lubricité inimaginable.

Il était sûr que Shéryl se refuserait à de telles brutes en des temps nor-maux.

Elle écarterait sûrement les cuisses pour se faire avorter si par un mal-heureux hasard ils l'engrossaient.