La soumission de Morgane 02

Informations sur Récit
Un homme soumet violemment la fille de ses amis à ses désirs.
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1

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 04/18/2022
Créé 12/11/2010
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La soumission de Morgane 2

Morgane était une débutante complète en matière de sexe. Exiger d'elle une bonne fellation, ou même une simplement correcte était clairement trop en demander et je m'y attendais. Mais cela faisait parti du jeu. Elle m'avait prit en bouche mais elle ne savait pas trop quoi faire ensuite. Elle tenta de faire comme une masturbation avec ses lèvres mais elle ne les serrait pas assez pour que cela fonctionne.

Après avoir assisté à plusieurs de ses essais désespérés pour me satisfaire, je poussais sa tête subitement pour m'enfoncer dans sa bouche de plusieurs centimètres et je la maintenais avec force pour qu'elle ne se retire pas. Morgane se débattait pour échapper à mon emprise mais je la maintenais sans difficultés. Je laissais passer quelques secondes avant de la laisser se relever. Elle prit une grande bouffée d'air. Ses joues étaient rouge vif.

_ T'es pas une bonne suceuse. Je vais devoir jouir autrement.

_ Non! ... S'il vous plait...

Elle semblait vraiment effrayée à cette perspective. Mais je m'attendais à cette réaction aussi je pris un air de mansuétude pour lui dire :

_ OK, recommence! Mais maintenant tu vas t'appliquer. C'est ta dernière chance. T'as jamais sucé de sucettes? Ben tu fais pareil, c'est tout.

Pour ajouter à son humiliation, j'avais décidé de ne plus la tenir et de la laisser agir toute seule. Je lui fis un signe de tête pour lui ordonner de commencer et elle se pencha à nouveau sur moi. Elle me reprit entre ses lèvres et commenças une fellation un peu plus digne, aspirant mon gland entre ses joues.

_ Utilise aussi ta langue, petite suceuse.

Morgane s'exécuta avec un peu de difficultés de coordination. Je m'étonnais encore de sa docilité. C'était vraiment plus facile que je ne l'aurais cru de l'amener à me pomper le dard. On était encore loin des pipes de vraies pros comme les faisait Julie, mais le reste, elle devrait l'apprendre par la pratique. Je jugeais le moment opportun pour la gratifier d'une petite récompense et je tendis le bras pour caresser sa chatte, sans la pénétrer cette fois. Je me contentais de masser son clitoris et l'entrée de ses petites lèvres. J'allais au même rythme que sa bouche sur ma verge et, après quelques minutes, je la sentis devenir humide. Ce détail m'excita bien plus que la pauvre fellation qu'elle pratiquait. Je lui ai relevé la tête et lui ai montré mes doigts mouillés de ses sécrétions.

_ Tu commences à apprécier on dirait. Je veux voir comment tu te caresses pendant que tu me suces. Ne fais pas ta timorée, je suis sûr que tes doigts connaissent déjà le chemin.

Morgane ne réagit pas tout d'abord et me regardait d'un air effrayé. L'humiliation de se donner du plaisir devant moi la bloquait complètement. Sans plus attendre, je lui saisis la main et la porta sur son abricot juteux. Je gardais ma main sur la sienne pour m'assurer qu'elle ne tricherait pas.

_ Qu'est-ce que t'attends? Que je me mette en colère?

À cette dernière injonction, la jeune fille n'hésita plus et commença à se caresser doucement. Je la regardais gémir un peu fermant les yeux de honte pour ne pas voir mon visage pervers.

_ N'oublie pas ma bite, petite pute. Elle est à l'air depuis trop longtemps.

Elle sembla hésiter à nouveau.

_ Rappelle-toi que soit je jouis dans ta bouche, soit... ailleurs.

Se rappelant ce qui l'attendait en cas de refus, Morgane se pencha pour reprendre sa fellation, espérant me finir vite dans sa bouche. Elle ignorait encore qu'après avoir déjà jouis une fois, il serait beaucoup plus long de me faire juter à nouveau, surtout avec une pipe aussi malhabile. Evidemment, je comptais là-dessus.

La mignonne s'acharna de longues minutes sur ma bite et commençait à craindre le pire. Elle accéléra d'elle-même la cadence de ses sucions et je sentis que, sans y penser, elle augmenta également la cadence de ses doigts sur sa chatte. Mais rien n'y fit.

_ Tu traines, salope. Je crois que je vais devoir me servir de ta petite chatte une fois de plus.

_ Non...

Morgane ne savait plus quoi faire. Elle était totalement à ma merci. Encore une fois, je jouais la carte de la compréhension, ce qui m'arrangeais également puisque je craignais que quelqu'un ne finisse par arriver.

_ Bon, on va se rendre dans un endroit plus discret pour que tu puisses prendre ton temps. Ramasse tes affaires.

Sans dire un mot, la tête basse, la jeune fille se leva pour ramasser son tee shirt et sa petite culotte. Puis je l'emmenais au premier étage, sans me priver de lui caresser ses petites fesses dans l'escalier. Je la fis entrer dans la première salle de bain qui avait l'avantage de se trouver presque à mi chemin entre sa chambre et la mienne. Ainsi, en cas de retour de sa famille, j'aurai le temps de m'éclipser et il ne paraitra pas anormal qu'elle se trouve là. Evidemment, ceci dans l'éventualité où elle ne se ruerait pas sur ses parents pour tout leur dire. Mais ça, je préférais ne pas y penser pour le moment.

Dans la salle de bain, je laissais la porte ouverte pour entendre des bruits qui viendraient d'en bas et je fis agenouiller Morgane au centre de la pièce. Je pris mon sexe en main et me branlais face à son joli minois.

_ Alors? Où en étions-nous?

Elle me regarda d'un air désespéré, espérant peut être un peu de clémence, mais je n'en avais pas encore finit avec elle. Elle dut le voir dans mes yeux car elle abdiqua et s'approcha de mon bas ventre. Toutefois, à peine avait-elle pris mon gland entre ses lèvres que j'immobilisais sa tête avec mes mains.

_ On va essayer une autre méthode.

Sans plus attendre, je me mis à faire de grands vas et viens dans sa bouche. Elle fut surprise et tenta de se dégager mais je la tenais fermement. Elle attrapa mes poignets pour essayer de me faire lâcher prise mais elle était loin d'être assez forte. Je stoppais un instant.

_ Ecoute pétasse. Je vais jouir dans ta bouche que ça te plaise ou non. Et n'oublie pas que je pourrais tout à fait te baiser encore. Alors laisse-toi faire et ça ira beaucoup mieux.

Je repris aussitôt mes coups de reins en ignorant ses gémissements de protestations. Finalement, comprenant qu'elle n'aurait pas le dessus, Morgane décida de se tenir à mes hanches et d'essayer de suivre la cadence.

Avec ce nouveau traitement, je n'ai plus tardé à jouir. Au moment où j'éjaculais, je lui ai maintenu la tête par l'arrière d'une main, pendant que de l'autre je lui pinçais le nez. Ainsi privée d'air, elle dut boire ma semence avant de pouvoir respirer. Mais je l'ai relâchée un peu trop tôt. Morgane eut un haut le coeur et se pencha vivement au dessus de la baignoire en recrachant une partie de mon sperme. Mes derniers jets s'étalèrent sur le carrelage. Je constatais qu'avec tout ce temps qui lui avait été consacrée, ma verge était encore bien dure.

J'attendis un peu que Morgane reprenne son souffle puis je la saisis par les cheveux et la fis se tourner. Je lui désignais les tâches opaques sur le carrelage.

_ Tu n'as pas honte de gaspiller? Nettoie-moi ça!

Morgane voulut se relever pour aller prendre une serpillère, mais je lui pris à nouveau la tignasse et la força à s'abaisser à quatre pattes, le visage près du sol.

_ Avec ta langue, salope. Au moins, elle aura servit à quelque chose ce matin.

Cette fois-ci elle résista avec entêtement et gardait la bouche bien fermée. Je considérais son corps de nymphette, le torse presque au sol et son petit cul bien relevé. Tout en tenant toujours sa tête, je fis pénétrer deux doigts dans son con. Il était trempé.

_ Tu fais ce que je te dis sinon tu sais ce qui t'attends.

À nouveau, elle s'avoua vaincue. Avec dégout elle lécha mon foutre sur le carrelage froid. Je la regardais faire tout en la masturbant. Je contrôlais presque totalement cette fille et ça continuait de m'exciter terriblement. Mon érection ne faiblissait toujours pas. Je ne voulais pas encore arrêter.

Je me plaçais derrière elle et pelotais sans vergogne ses petites fesses rondes et fermes. Morgane terminait de laper les dernières gouttes perdues de ma semence.

_ Beau travail petite pute. Tu m'as fais jouir et tu as tout nettoyé. Tu es prête pour la suite.

_ Quoi? Fit-elle éberluée. Mais vous aviez dit...

_ Je sais ce que j'ai dit, la coupais-je sur un ton sans réplique, mais je vais te baiser quand même.

_ Noooon!

Elle tenta de s'enfuir mais je tenais déjà ses hanches et ne fit que glisser sur le carrelage. Je la maintenais fermement en entourant sa taille d'un bras tandis que je saisissais mon pieu d'une main. Sans plus attendre, je la pénétrais à nouveau tandis qu'elle poussait un hurlement de douleur. Je commençais mes coups de butoir tandis qu'elle se résignait à subir mes assauts encore une fois.

_ Ta chatte est toute trempée. Même si tu es encore très serrée, ça passe plus facilement. Tiens, prends ça!

D'un coup violent je lui enfonçais toute ma tige dans le con. Elle eut un hoquet de surprise et se mit à gémir lorsque j'accélérais la cadence. Je l'attrapais par les épaules pour avoir une position qui me donnait encore plus de force et je la pilonnais avec toute ma vigueur. Ma bite sortait presque complètement d'elle avant de s'y enfoncer brusquement jusqu'à la garde. Elle poussait un cri à chaque fois et le tremblement de son corps me surexcitait. Je m'approchais de son oreille.

_ Alors? Haletais-je. Est-ce... que ça te... plait... d'être saillie... comme une chienne?

Morgane ne répondit pas, criant sa douleur.

Moi j'étais aux anges. De multiples sensations de plaisir m'assaillaient. Le plaisir de l'étroitesse de sa petite chatte de vierge défoncée par ma queue, le plaisir de transgresser l'interdit, et surtout le plaisir de dominer, de faire de cette fille ma chose, mon jouet, dont je me sers comme d'un outil de jouissance, pouvant lui infliger douleur ou plaisir.

Je sens que la jouissance arrive et je vais pour me lâcher tranquillement dans son ventre quand je me dis que ce n'est pas une bonne idée. Aussitôt je me retire et tente de retenir l'explosion. Sans ménagement, je retourne Morgane sur le dos et j'approche ma queue de sa tête. Ses lèvres restent closes mais ce n'est pas ce que je visais. En me masturbant j'éjacule sur son visage d'ange, le recouvrant de mon foutre.

Cette fois, je crois que je suis bel et bien vidé. Je regardais Morgane allongée au sol, haletante, la tête tournée. Je la saisie d'une main par les joues et lui fit tourner le visage vers ma bite toujours au-dessus d'elle.

_ Nettoie!

Peut être parce qu'elle sentait que s'en était finit, elle ne fut pas aussi docile cette fois et refusa d'ouvrir les lèvres. Mais en fait, tout ne faisait que commencer. Ses parents rentreraient bientôt et si je ne voulais pas qu'elle raconte tout, je devais la garder sous mon emprise, lui montrer que je comptais toujours l'utiliser sans que la présence de sa famille n'y change quoi que ce soit.

_ Nettoie, ou je serais obligé de te punir.

Morgane refusait encore. Son courage n'était que façade, je voyais bien ses yeux terrifiés. Elle ignorait que je pouvais encore être exigeant après avoir fait d'elle ce que je voulais. Elle espérait vraiment que cela sonnait la fin de cette histoire. Il fallait qu'elle comprenne que ce n'était pas le cas.

Je cherchais un objet adéquat pour exprimer ma colère et mon regard tomba sur une brosse à cheveux. Je me levais pour la prendre puis j'attrapais Morgane par le bras, la soulevais et l'obligeais à s'agenouiller face à la baignoire. Là, je la fis se pencher en avant, ses bras à l'intérieur, son ventre reposant sur le bord et les genoux sur le carrelage. Je la maintenais ainsi en posant une jambe sur son dos.

Avec le dos de la brosse, je lui donnait une claque magistrale sur les fesses et elle cria de douleur. Elle tenta évidemment de se dégager mais je me laissais aller un peu plus sur elle et le poids de mon corps l'immobilisa. Le bord de la baignoire lui rentrait dans le ventre et elle en eut le souffle coupé. Je lui donnais une bonne dizaine de coups avant de relâcher un peu la pression. Elle prit une grande bouffée d'air avant de sangloter.

_ Alors? On va nettoyer gentiment la queue de son maître maintenant?

_ Ou... oui...

Je lui donnais un autre coup sur les fesses.

_ Oui qui?

_ Oui... maître!

Je m'assis à côté d'elle, les jambes dans la baignoire. Sans attendre, Morgane se pencha sur moi et se mit à lécher mon membre. Je la retrouvais à nouveau incroyablement docile. Cette fois, elle avait compris que je ne permettais pas qu'elle me dise non.

Avec zèle, Morgane prit carrément mon sexe en bouche, ce qui lui fut facile maintenant qu'il était mou. Elle fit jouer sa langue si bien qu'un début d'érection commença à se faire sentir à nouveau lorsque le bruit de la voiture se fit entendre dans l'allée. Je me relevais et me rajustais rapidement. Morgane resta agenouillée au sol, perdue.

_ Retourne dans ta chambre et habille-toi. Et ne lambine pas!

Je pensais qu'elle ferait plus de difficultés mais lle se leva alors, ramassa sa petite culotte, son tee-shirt et s'enfuit presque de la salle de bain. Je compris qu'elle avait eu besoin de suivre mes ordres, que je lui dise quoi faire. Jusqu'ici, elle se soumettait sans restrictions, mais les choses allaient se compliquer.

Moi, je remontais dans ma chambre, pris quelques affaires de toilettes et les rangeais dans la salle de bains. À bien y regarder, cette salle de bains m'était pratiquement réservée puisqu'elle était la plus près de ma chambre. La seule autre personne qui pouvait l'utiliser était Morgane, dont la chambre se trouvait à équidistance entre les deux salles de bain de la villa. D'ailleurs, les rares autres affaires qui se trouvaient là lui appartenaient.

Je me rasais rapidement tandis que j'entendais le reste de la famille rentrer. Avec une allure un peu plus fraiche, je descendis. Michel et Loïc ramenaient les derniers sacs de commissions tandis que Clotilde rangeait les provisions qu'ils avaient déjà amenées.

_ Oups, désolé, dis-je. J'aurais dû vous donner un coup de main mais je terminais de me raser.

_ C'est rien, répondit Michel. On avait pas grand chose.

Pour participer néanmoins, je me mis à aider Clotilde pour le rangement.

Morgane descendit peu après. Lorsque je la vis, j'eus l'impression que mon coeur s'arrêta. Nos regards se croisèrent et je compris que le sentiment était réciproque. La tension de nous deux entourés de sa famille arrêta le temps.

Je remarquais quand même qu'elle s'était habillée de manière plutôt sexy. Ou du moins à la manière dont les adolescentes peuvent être sexy avec des vêtements qui les dévoilent un peu, découvrant également une certaine innocence dans leur rapport au corps. En l'occurrence, Morgane portait un tee shirt qui ne couvrait pas son ventre et un short. Elle semblait assez gênée d'apparaître ainsi devant moi. Nul doute qu'elle n'avait pas prévue dans ses affaires de vacances au soleil des tenues plus couvrantes.

_ Tu arrives seulement maintenant? Fit Michel à sa fille sur un ton de reproches. T'es vraiment trop feignante, on s'est tapé les courses sans toi. Est-ce que tu as au moins débarrassé la salle de bain pour notre invité?

_ Euh... non, répondit-elle apeurée.

_ C'est pas vrai! Mais qu'est-ce que tu as fais ce matin? Rien, comme d'habitude. Mais ça ne va pas se passer comme ça. Tu as 5 minutes pour débarrasser ton chantier et tout ranger correctement dans l'autre salle de bain. Et ensuite on reparlera de ta fainéantise.

Morgane baissait la tête devant les remontrances de son père et je commençais à comprendre pourquoi elle avait été si docile à mon égard. Michel menait apparemment l'éducation de ses enfants à la dure et elle était tout simplement habituée à obéir. Et de toute évidence, elle ne pouvait pas obtenir la moindre aide de son père. Après avoir été dépucelée, violée, humiliée et frappée en une seule matinée, voilà maintenant qu'elle se faisait engueuler.

Elle remonta fissa vers la salle de bains pour suivre les ordres de son père. Je laissais alors Clotilde en m'excusant et fila voir mon ami.

_ Ecoute, c'est de ma faute si elle n'a pas fait ce que tu lui as dit. J'ai occupé la salle de bain une bonne partie de la matinée et elle ne pouvait pas y aller.

_ Non, non, ne lui cherche pas d'excuses. De toute façon, elle aurait déjà dû le faire hier.

_ D'un autre côté, est-ce bien nécessaire? Je veux dire, je ne veux pas vous déranger et vous allez être plus embêtés avec une seule salle de bain pour quatre alors que moi j'en aurai une tout seul.

_ Ne t'en fais pas pour ça.

_ J'insiste. On peut parfaitement partager cette salle de bain. Avec le verrou à la porte, on ne peut pas entrer quand quelqu'un est déjà dedans et avec un peut d'organisation on ne se gênera pas. Je t'assure.

Michel avait bien quelques scrupules à laisser sa fille adolescente partager une salle de bain avec un homme inconnu d'elle. Mais il devait reconnaître qu'il ne voyait pas comment nous ne pourrions pas conserver notre intimité mutuelle avec la porte fermée. De plus, il avait confiance en moi, mon pauvre ami. Aussi autorisa-t-il Morgane à rester dans la salle de bain.

Sous prétexte de commencer à nous organiser un peu, je lui dis que j'allais lui en parler. Je remontais donc vers la salle de bain où je trouvais la jeune fille face à l'évier, fourrant vivement ses affaires de toilettes dans un petit sac. Je refermais la porte derrière moi et elle se figea, m'observant dans le miroir. Je m'avançais dans son dos et posais sans vergogne ma main sur ses petites fesses.

_ Ton père a dit que tu n'étais pas obligée de changer de salle de bain. Sauf bien sûr si cela t'embêtait que je l'occupe aussi malgré le verrou. Je lui ai dis qu'il n'y aurait sûrement pas de problème. Donc, il n'y a pas de problème. Tu vas pouvoir reposer tous tes trucs. Je pense que les vacances vont vraiment être excellentes cette année.

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