La revanche de Sarah

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Sarah la sulfureuse nous aura donné une bonne leçon.
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Sarah avait réussi une performance assez incroyable à l'université. En quelques mois elle avait réussi à se faire une réputation sulfureuse de salope saute au paf. Toutes sortes de rumeurs couraient sur elle, qu'elle l'avait déjà fait à trois, quatre et plus, qu'elle se tapait tout ce qui bouge, homme et femme. Pourquoi ça? On l'avait semble t'il vue trainer avec des hommes plus agés, sortir d'un sex shop ou d'autrs trucs dans le genre. Franchement, je m'en fichait de savoir que ce n'était que des rumeurs, ce qui m'importait à ce moment là, c'est que Sarah sortait avec mon meilleur pote Jérémy et que nous allions pouvoir réaliser notre fantasme.

Il datait d'un soir où nous avions regarder un porno en nous masturbant mutuellement. Sur l'écran la fille se prenait deux grosses queues, une dans la bouche et une en levrette et ça avait réveillé nos bites pourtant blaser de la débauche de porno que nous mattions. Après avoir juter mutuellement, nous nous étions promis de trouver une fille pour rejouer la scène plusieurs fois. On avait même décidé des places. Sarah, vu sa réputation, semblait la candidate idéale. Quand elle passait main dans la main avec Jérémy, je ne pouvais m'empécher de matter ses cuisses et son cul en pensant que j'y serais bientôt chez moi, à l'aise, peinard.

Mais celà ne s'avérait pas aussi simple. Au bout de 15 jours, Jérémy vint me voir un peu déçu.

"En fait c'est trop bizarre, je suis pas sur que ça va le faire

- Ha bon? Vous avez fait des choses quand même.

- Ouais, enfin vaguement. On s'embrasse, on se pelote, elle me mets la main au paf, mais quand je lui demande de me sucer elle souris en secouant la tête et me fait jouir de ses doigts. Après elle se fout de moi, comme quoi je tiens pas la durée.

- Ouais enfin ça c'est vrai, t'es pas un pro.

- C'est toi l'amateur. Et puis après elle me fout la tête entre ses jambes pour que je la lèches.

- Berk.

- Ouais exact. Du coup on a pas encore baiser.

- C'est que tu sais pas y faire mon gars. Ce genre de salope faut les mater d'office. Je te propose un plan".

J'avais tout prévu, ce soir là Jérémy inviterait Sarah dans sa chambre, moi je serais cacher dans son placard. Quand il serait bien en train de s'embrasser, discrétement je m'approcherais puis rapidement j'attacherais les poignets de Sarah avec des menottes et je lui déchiererais son string avant de la prendre en levrette. Pendant ce temps Jérémy lui présenterais sa queue et lui forcerais la bouche. La chienne y prendrais un max de plaisir et deviendrais notre esclave sexuelle, c'était clair, c'était comme ça que ça se passait dans les films.

Le plan était parfait, et globalement s'est passé comme je l'avais prévu. J'ai réussi sans trop de soucis à lui attacher les mains dans le dos. Elle s'est retournée étonnée mais Jérémy lui a tirer les cheveux et a réussi à lui fourrer sa queue entre les lèvres. J'eu plus de mal à lui arracher son string, elle remuait fort la garce. Je lui assénait deux claques bien fortes sur les fesses et réussi à la maintenir par les hanches avant de pousser ma queue bien fort. Sur la bite de Jérémy elle hurla mais il arrivait bien à la maintenir. Elle était bien serré la chienne, je fermais les yeux, j'étais sur le point de jouir quand j'entendis mon pote crier "Aïe putain mais merdes". Elle venait de le mordre, il se tenait le pénis entre les mains la mine déconfite. "Tiens c'est pour toi connard, et toi dégage de là". D'un mouvement des hanches elle se dégagea ce qui me fit juter, je remarquai aussi à ce moment là que dans la précipitation je lui avait fourrer l'anus. Ce que c'était bon, si j'avais su je l'aurais fait avant avec mes ex. Elle se retourna vers moi, et m'hurla de la détacher. J'optempérais "Ouais c'est bon grosse chienne, voilà". Elle se retourna vers Jérémy et lui dit "C'est fini petite bite" puis à nous deux "j'en ai pas fini avec vous". Elle parti en claquant la porte. Je regardait mon pote, la queue entre les mains et me mit à pouffer. On se mit à se marrer en se disant qu'elle reviendrait bien vite.

Quelques jours passèrent. J'étais chez moi ce soir là quand j'entendit frapper à la porte, c'était Jérémy, il avait pas l'air bien, je lui ouvrit. J'entendit une voix derrière lui "vas y entre gros batard et désappe toi". C'était Sarah qui portait un sac à dos. Je voulu protester mais elle sortie un flingue de son manteau "Toi tu la boucles et tu fait comme ton pote".

En enlevant mes fringues, je vis rapidement pourquoi Jérémy n'avait pas l'air au top, une espère de ceinture était passé autour de ses couilles, le lui serrant très fort. "Ha ça à l'air de te plaire mon pote, me dit Sarah, j'en ai également une pour toi". Elle agrippa ma bite et d'un geste habile vien me placer cette ceinture atour de mes testicules. Une douleur aigue coupa mon souffle et me fit me pencher en avant. Jérémy pleunichait à coté, "putain la salope, elle est venue tout à l'heure toute chaude et elle veut nous piéger..." Une claque magistrale de Sarah le fit taire. "Toi couché, lui hurla t'elle, et toi bouge pas, tu es super comme ça". J'étais en effet à quatre pattes, le cul tourné vers elle, ma queue pendouillait entre mes jambes. Sarah continua à nous engueuler. "Les gars, profiter de votre liberté, car je vais vous faire coffré pour viol, mais avant oeil pour oeil et bite pour bite, je vais m'amuser un peu avec vous. Qui sait vous aurez peut-être des circonstances atténuantes."

Elle ordonna à Jérémy, puisqu'il aimait tant ça, de prendre ma bite en bouche. Il refusa au début, mais une pression bien placé de la main de sarah sur sa verge lui fit changer d'avis. Je sentis sa langue timidement me lécher puis sa bouche prendre mon gland en bouche. Involontairement je bandais. D'une claque Sarah me fis lui enfoncer mon sexe entièrement dans sa gorge. C'était bon, je savais pas qu'un mec pouvais me faire bander comme ça. A ce moment là je me suis dit que je m'en sortais pas mal, mis à part les couilles douloureuses, je profitais de la bouche de mon pote, mais visiblement elle n'en avais pas fini avec moi. D'une claque sur les fesses elle se rappela à moi. "Toi l'enculeur, je vais te préparer à ce qui t'attends en prison". Elle sortie de son sac un gode ceinture noire. Je me tordis le cou pour apercevoir ce qu'elle en faisait. Bizarrement, la voir avec une longue queue tendu m'excita, je tenter de chasser ces pensées, putain j'étais hétéro merde, un bon hétéro à grosse bite qui niquait des pouffiasses. Mais il fallait avouer que cette situation, jérémy me suçant, Sarah et sa bite de plastique me faisait quand même quelque chose.

Perdu dans mes pensées, je ne sentit d'abord pas Sarah se placer derrière moi, puis, tout à coup, je sentis mon cul se faire envahir. Je suffoquais face à cette douleur fulgurante et commençait à haleter. "Tiens tu as le souffle court maintenant, ça te plais pas?". Je voulais protester que non que je voulais juste la prendre en levrette, que je m'en fichais de son cul, mais aucun mot ne sortais. Une fois bien en place elle m'encula de plus en plus fort, me tirant des cris et halétement mais aussi, bizarrement, quelques murmures de plaisir. Putain, la salope, elle m'avait complétement retourné. Je murmurais, non je suis pas gay, non je suis pas gay, mais putain que c'était bon. Je sentais qu'elle aussi jouissait de ce rapport de domination.

Le seul qui ne semblait pas y trouver son compte c'était Jérémy qui peinait ma bite en bouche. Sarah senti effectivement qu'il se relachait, dans un élan pervers et l'insulta lui asséna une pichenette sur la queue. La réaction fut immédiate, il referma la bouche sur ma queue, me redonnant la parole : "putain mec, je sens tes dents". L'incongruïté de ma remarque me sauta à l'esprit et je me mis à me marrer tout seul. Sarah s'énerva et repris le flingue, elle me posa lecanon sur la tête et arma la gachette. Jérémy et moi n'osèrent plus bouger et Sarah se mis à gueuler. "Alors c'est comme ça que tu le prends, tu crois que tu peux violer comme ça une nana et te marrer comme un connard. Tu crois que j'ai pris mon pied à me prendre vos queues? Vous allez me promettre de plus recommencer que ce soit avec moi ou d'autres nanas, compris?" Nous avons hoché la tête de concert. Elle ne bougeait pourtant pas le flingue et appuya sur la gachette.

Du liquide s'étala sur mon cou. J'étais mort et c'était mon sang? que se passait il? Je n'avais rien entendu? Si, j'entendais un rire profond, c'était Sarah. Le flingue ce n'était qu'un vulgaire pistolet à eau, elle nous avait eu bien profond c'était le cas de le dire. Elle se retira de mon cul je pus enfin respirer, en enlevant le gode je remarquais que son pantalon était humide, elle suivit mon regard et m'avoua que oui elle avait pris son pied. Je lui répondis que probablement moi aussi. Jérémy nous regarda un peu dégouté.

Ensuite nous nous sommes perdus un peu de vue au cours de nos études, préférant sans doute ne pas revivre cette expérience. J'ai continué à explorer les perspectives que Sarah avait ouvert avec sa grosse queue de plastique et j'ai vécu ouvertement ma bi sexualité. J'ai revu ensuite Sarah qui avait brillamment réussi son cursus et vivait avec un de ses collégues une relation perverse et très élaborée. Enfin j'ai repris contact avec Jérémy qui s'est mariée à eu des enfants. Je n'ai pu m'empécher de sourire quand sa femme me confia qu'il était le plus adorable et le plus tendre des amants qu'elle ai jamais connu. Je ne pouvais bien entenu pas lui avoué que quelques minutes auparavant son mec avait avalé ma bite et mon sperme et était en train de se rincer la bouche.

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