La plage

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Attentat à la pudeur.
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romane
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La plage

C’était la fin de journée. Nous avions passé, mon compagnon du moment et moi, une bonne après-midi à la plage de la Baule. Bien que je ne sois pas une passionnée de cette station, on y trouve tout de même de bien belles jeunes filles.

Le soleil était moins brûlant et beaucoup plus agréable sur la peau. J’étais bien, détendue.

Les gens pliaient leur parasol et quittaient la plage pour retrouver leurs pénates.

J’étais sur le ventre. J’ouvris les yeux et vis mon compagnon, dormant tranquillement sur le dos. Cela faisait quatre mois que nous étions ensemble. Cela faisait longtemps que je n’avais vécu aussi longtemps avec un homme. Avais je trouvé une part de féminité en lui? Je ne le sais pas.

Mon regard descendit le long de son ventre jusqu’à son boxer-short. Je remarquais alors l’indécence de la situation. Son rêve devait être très agréable.

Je levais la tête et regardais autour de moi. Nous étions presque seuls. Il restait des gens à environs 200 mètres de nous et la plupart remballaient leurs affaires.

Je retournais alors à la contemplation de son boxer-short. Le fait de voir son sexe en érection sous le vêtement me troubla. Je sentis mes sens fondrent petit à petit.

Sans réfléchir, j’avançais ma main vers la protubérance du maillot. Il sursauta lorsque je touchais le bout de son pénis. Je le caressais doucement avant de la masser à pleine main. Il gémit.

Je regardais encore autour de moi. Personne ne fit attention à mon manège.

C’est alors que je fis la chose la plus folle de ma vie. Je me déplaçais vers lui, m’installais, toujours à plat ventre, entre ses jambes. Je continuais à le masser avant de caresser son sexe sous le boxer-short avec mes lèvres et ma bouche. Il gémissait de plus belle.

J’étais très excitée. Ma cyprine inondait mon maillot.

Je fis glisser alors le boxer-short et posais ma bouche sur le gland tuméfié. Il ne dormait plus. Après quelques petits baisers sur le gland, j’ouvris la bouche et avalais tout son pénis.

Il grogna. Je me mis à le sucer avec gourmandise. Je léchais la hampe, la picorais de petit baisers et de petites coup de langues avant de gober tout l’ensemble jusqu’au fond de ma bouche.

Alors que je levais les yeux afin de voir ses réactions, je constatais que j’avais complètement oublié la proximité du remblais.

J’étais en train de prodiguer une superbe pipe devant touts les promeneurs.

Je vis des femmes dégoûtés, d’autres éloignant leur progéniture loin de ce couple pervers.

La plupart des hommes, eux, semblaient ravis du spectacle. Leur femmes les fusillaient du regard. Quelque femmes, quand même, appréciait le spectacle.

J’étais trop excitée pour arrêter mon travail. Je crachais son pénis et tout en le masturbant, je souris au gens, complice, leur signifiant de se taire.

Le fait d’être l’attraction de touts ces gens, je retournais à mon office le désir encore plus décuplé.

Mon compagnon m’avouera le soir même que jamais une femme ne l’avait sucer avec autant d’entrain et de gourmandise.

Alors que je flattais ses adorables bourses, je sentis la sève monter. Je m’appétais alors à recevoir son sperme. Il éclata dans ma bouche, lâchant à grande saccade son liquide chaud et gluant. Je l’avalais du mieux que je ne le pouvais. Quelques gouttes perlèrent à la commissure de mes lèvres.

Je nettoyais tranquillement son oiseau avant de le réintroduire dans le boxer-short.

Alors que je remontais pour embrasser mon compagnon, j’entendis mes spectateurs applaudirent ma performance. Après un long baiser, je me levais et saluais comme au théâtre.

C’est la première et la dernière fois que je me suis exhibée en public à une heure aussi peu tardive.

Une fois dans notre chambre et dans le lit, mon compagnon me remercia de l’attention que je lui avais porté sur la plage.

Il ne me fit pas l’amour.

Il me baisa longuement avec passion et me sodomisa pour couronner le tout.

Deux ans plus tard, j’étais à nouveau en couple avec une ravissante jeune femme. On était à nouveau à la Baule. Je me souvins de cette fameuse fin d’après-midi à la Baule, deux ans plus tôt. On se connaissait depuis 6 jours et on était très attachée.

Je voulais retenter l’expérience, mais plus tard dans la nuit cette fois.

On alla faire une promenade en amoureuse sur le remblais un soir. Je portais un long manteau à la Colombo sans rien dessous. J’étais nue comme un ver et cela elle ne le savait pas.

Trouvant que l’on était bien à l’abri de regards indiscrets, je pris sa main et on descendit sur la plage. Je la pris dans mes bras et on échangea un long baiser.

Je finis par m’écarter d’elle et ouvris mon manteau. Je vis ses yeux s’agrandirent en voyant ma nudité. Elle regarda autour d’elle de peur d’être découverte.

Je m’allongeais alors sur le sable, écartais les jambes et lui montrait ce que j’attendais d’elle en massant mon pubis.

Elle s’installa alors entre mes cuisses et commença à butiner ma fleur. Elle était très douée et savait aire durer le plaisir. J’étais aux anges, le sexe délicieusement brouté par ma compagne.

Je m’étais installée de sorte à voir le remblais en cas de danger. Entre deux râles, je découvris un couple qui nous regardait visiblement très intéressé par notre affaire.

Je n’interrompis pas le travail de ma compagne. Je refermais les yeux. Lorsque je les ouvris à nouveau, le couple n’était plus là. Enfin, il n’était plus sur le remblais. Je vis deux formes bouger contre le mur du remblais sur la plage.

Je me dressais sur mes coudes et découvris le couple de tout à l’heure, lui debout, adossé au mur et elle a genoux lui prodiguant une superbe caresse buccale. Cela m’excita encore plus.

Après un long moment, elle se redressa. Je la vis retirer sa culotte et elle s’adossa à son tour au mur. Elle passa ses bras autour du cou de son compagnon. Il y eu une impulsion et elle croisa ses jambes autour des hanches de son homme. Ils la baisa ainsi devant moi.

Je jouis plusieurs fois sous la langue de mon amie tout en les regardant faire l’amour.

Je les vis jouir à leur tour. Leurs corps étaient agités de soubresaut. Elle étouffait ses cris de plaisirs sur l’épaule de compagnon.

Elle décroisa ses jambes. Ils remirent de l’ordre dans leur vêtement.

Elle s’approcha de moi, déposa un petit baiser sur ma bouche et me donna sa culotte humide de ses liqueurs en me disant merci. Ils reprirent leur chemin.

Je finis par jouir une dernière fois, le nez sur la culotte, reniflant la douce fragrance de l’intimité de cette femme.

romane
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