Joli Papa

Joli Papa.

Fantasme ou réalité?

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Auteur amateur: BMC - BforbeMformyCforcunt

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-Allez, espèce de pétasse, rampe vers ton gentil, joli papa!

-Allez salope, traverse la cuisine, frotte toi bien sur le carrelage morue!

-Une vrai limace, on peut te suivre à la trace avec tout le jus qui s'échappe de ta moule!

-Et garde les yeux toujours fixés sur ma queue!

-Tu la veux "hein" sale pute ma grosse bite bien raide!

-Tu la veux où dis-moi dans ta petite moule, dans ton cul de pouliche ou bien au fond de ta gueule?

-Avec ta bouche de vide couilles et tes lèvres à tailler des pipes!

-Arrête de chialer grognasse, tu vas l'avoir, bien au fond de la gorge, tu l'auras ta dose de vitamines!

-Mais tu connais les règles de joli papa. Ma grosse pine de cheval, tu dois la mériter et faire tout ce qu'il faut bien comme il faut pour y avoir droit.

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-Allez, rampe pour me montrer le respect que tu dois à cette grosse bitte bien raide qui t'attend pour te ramoner les conduits.

-Viens chercher ta récompense avec humilité et dévotion et rappelle toi bien ce que je t'ai appris:

-Tu rampes en écrasant bien tes grosses mamelles par terre.

-Rien à foutre si les carreaux de la cuisine sont râpeux et crade.

-C'est ton boulot de les faire briller maintenant que ta vache à lait de mère n'est plus là.

-Paix à son âme, elle ne rechignait pas comme toi quand il fallait donner de sa personne.

-Mais ça va venir ma chatte gluante, tu vas apprendre vite et bien.

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-Tes grosses loches sont à moi maintenant elles sont encore fermes, malgré leur taille, ça va être un délice d'en faire des pis de vache, des outres flasques et tombantes faciles à traire ou à cogner avec de longues tétines pour jouer avec.

-Et cambre ton cul! montre bien ta chatte, sale pute! tu dois donner envie de t'enfiler par tous tes trous à ceux qui te font l'honneur de te regarder.

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-souris au lieu de chialer, grognasse! tu dois faire voir à ton joli papa et à ses amis, que tu es heureuse de te consacrer à eux.

-A ce propos, mes amis vont venir ce soir, pour fêter ton troisième mois.

-Je leur ai promis que tu serais très très gentille avec eux et que tu étais impatiente qu'ils s'occupent bien de toi.

-Il ont demandé quelles étaient tes limites, mais je les ai rassurés en leur disant que tout était permis.

-J'espère que tu seras à la hauteur et que tu me rendras bien fier de toi, ils étaient si content qu'ils ont tenu à me filer un bon paquet de pognon chacun et ils ont promis de te faire de la pub gratis.

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-Continue à te consacrer exclusivement à ma bitte et arrête de chialer. Tu fous de la morve partout en plus de ton jus.

-Quand je me serais bien vidé les burnes tu me nettoieras tout ça avec ta langue.

-Tu pleures on dirait une chatte en chaleur!

-Si tu veux pas que je te travaille la chatte avec quelques décharges de l'aiguillon a bestiaux comme la dernière fois, arrête et souris joyeusement.

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-Voilà, c'est mieux comme ça, tu es arrivée à destination.

-Maintenant, tu te mets à quatre pattes tu ouvre la bouche bien en grand et tu gobe mon gland bien profond.

-Si tu fais du bon travail, je ne te flanquerai pas trop de baffes mais fais gaffe, si par malheur je sens tes dents, je te les arrache toutes à la tenaille.

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-Ouais c'est bon comme ça! Arrête de régurgiter, t'as rien bouffé que du foutre depuis deux jours tu n'as rien à dégobiller ça ne te servira à rien.

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-Quand je pense que tout ça c'est toi qui l'a voulu.

-Dire que j'étais le plus attentionné des beaux pères et que je te considérais comme une princesse immaculée.

-Voilà que je rentre plus tôt que d'habitude de mon travail, après m'être fait licencier, pour constater à ma grande tristesse que mon petit ange blond tout juste majeure, est en fait une putain.

-Tu embrassais à bouche que veux tu un godelureau qui te pelotait les nichons d'une main et qui te frottait le clito de l'autre pendant que tu lui massais l' haricot maigrelet qui lui sert de bitte au travers de son jean.

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-Continue à pomper salope dévergondée et n'essaie pas de me faire croire que tu es une bonne fille.

-J'ai tout vu, merde, tu est une chienne en chaleur dotée d'une paire de nibards à damner un saint.

-Dire que je n'ai rien vu venir. deux heures de plus et tu perdais ton pucelage avec un petit con monté comme un asticot.

-Heureusement je suis arrivé à temps.

-Je n'en veux pas au salaud d'avoir tenté sa chance, il a eu sa correction, mais B.. D... de M....! comment as tu pu tomber dans le vice aussi jeune.

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-Par chance, j'en ai une bien grosse qui a bien fait sauter ton pucelage et qui t'a bien remplie pour ta première fois.

-Tu as de la chance, tu sais. Avec l'autre tu n'aurais rien senti.

-Dire que tu croyais que mon gros boudin de chair ne pourrait jamais rentrer.

-Tu vois joli papa avait encore raison.

-Bon tu as gueulé un peu fort, mais c'est normal la première fois, ça fait toujours mal.

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-Comme pour ton cul de jument. J'ai du te bâillonner pour ne pas ameuter les voisin tellement tu as hurlé.

-Un coup de pot que la maison soit loin de tout.

-Tu vois une fois de plus, joli papa avait raison, tu as tout pris, plus de 25 cm par 5.

-Putain que c'était bon!

-N'est ce pas?

-Tu vois pour ça t'es meilleure que ta maman qui n'a jamais réussi à s'y faire.

-Toi, maintenant tu prends tout sans te plaindre et à sec.

-J'aurais du fister ta mère aussi, cela l'aurait sans doute assouplie, comme pour toi.

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-Continue de fixer ton attention sur ma bitte et passe ta langue sur ma tige quand mon gland est au fond.

-On appelle ça une gorge profonde du nom d'un vieux film dans lequel une salope a monté au mode entier ses capacités.

-Dire que tu savais pas ça.

-Une chienne en chaleur comme toi, aussi peu instruite.

-On ne vous apprends donc rien dans vos écoles qui coûtent portant la peau des fesses.

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-Enfin, pour toi l'école c'est fini.

-Je vais m'occuper de toi et t'apprendre les choses de la vie.

-Comme je me suis fait virer du boulot, j'aurais tout le temps nécessaire pour parfaire ton éducation.

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-En plus, j'ai calculé vite fait, qu'avec quelques soirées par moi comme celle que j'ai prévu ce soir, pas la peine de chercher du taff, La belle vie nous attend.

-Pour moi, plus besoin de mettre le réveil à 5 plombes pour aller me casser le cul à assembler des pièces détachées pour payer ton éducation tes fringues et ta bouffe, mais un réveil en douceur, avec mon vide burnes qui s'occupe de moi.

-Pour toi des queues du sexe le plaisir de satisfaire beau papa, ses amis et tout un tas d'autre types prêts à nous donner du pognon pour évacuer leurs frustrations.

-J'ai même prévu de faire payer plus chers ceux qui voudraient t'attendrir un peu la couenne à coup de ceinture et ceux qui font dans le sado-maso.

-Tu vois que je m'occupe bien de toi. Je ne voudrais pas qu'ils abîment ma grosse salope à moi.

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-Pour ce soir par contre je n'y ai pas pensé à temps et je leur ai donné toute latitude pour s'amuser avec tes nichons, ta chatte, ton cul et ta gueule de poupée.

-Les salopards vont s'en donner à cœur joie.

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-Enfin ce sont des hommes, tu leur doit le respect, l'obéissance et la soumission totale à tout leurs désirs.

-Mieux encore, je compte sur toi pour être enjouée, pour satisfaire leurs désirs les plus inavoués, même s'ils n'osent pas aller trop loin.

-C'est bien compris j'espère!

-Je sais que tu peux prendre dans tes trois trous les plus grosses et les plus longues queues, que tu ne rechigne pas trop à lécher un trou du cul merdeux, à boire de la pisse et à nettoyer le foutre qui traîne.

-Tes nichons résistent bien aux étirements et aux morsures, comme ton clito et tes tétines.

-Tu es résistante aux coups, aux gifles et au fouet.

-Ils devraient être content si tu te donnes bien à fond.

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-Je regrette un peu de n'avoir pas eu le temps de t'entraîner aux brûlures de cigarettes, aux piques à brochettes, à la zoo avec des bestioles, mais normalement, pour une première séance ils ne devraient pas en arriver jusque là.

-Et puis, je serais là pour veiller sur toi et ton entraînement n'est pas fini.

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-Ce soir, pour toi, c'est comme une audition.

-Si mes amis sont satisfaits, je serais content et je t'accorderais une semaine de répit.

-Tu pourras manger tous les jours, ton éducation se fera en "douceur" tu n'auras qu'a t'occuper de moi, du ménage et des repas.

-Si par malheur tu les déçois, je serais très désappointé.

-Tu passeras la semaine à la cave.

-Tu te souviens, quand tu n'a pas voulu me faire une pipe, ou quand tu refusais que je t'encule et les autres fois ou tu m'as obligé à t'apprendre ton nouveau rôle dans la vie.

-Oui, je sais que tu te le rappelle, pourtant les séances étaient courtes et il suffit que j'en parle pour te mettre à trembler de partout.

-Te voir comme ça, ça m'excite.

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-Oh putain! je décharge! prend bien tout, ne bouge pas, avale sans respirer tant que je me vide et que je ne débande pas, c'est bon...

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-Ah, ça soulage et ça me donne envie d'être gentil, vas-y tu peux te branler sur ma godasse, c'est ta récompense, mais magne toi tu n'a pas que ça à foutre.

-Où en étais-je?

-Ah oui la cave. Je te travaillerai si bien pendant toute une semaine qu'à la fin...

-Ne panique pas j'ai confiance en toi tout le monde sera content.

-N'est-ce-pas?

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AHHHH! Oui papa c'est promis, merci de m'avoir laissé jouir.

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-Bon, assez rigolé nettoie le carrelage, je vais me taper une bière devant la télé.

-Quand tu auras fini, vas pendre une douche lave toi bien partout et met ta tenue d'écolière sans culotte ni sous-tiff, tes admirateurs ne vont pas tarder.

BMC

Si vous avez aimé, même un peu, je vous raconterai comment tout a commencé.

Si c'est bon pour vous, je vous raconterai la suite.

J'ai commencé mon histoire par le milieu.

Ce n'est pas logique, mais sachez que je n'avais pas l'intention d'en écrire plus.

J'ai pris plaisir à écrire ce texte court, alors je crois que je vous raconterais plus tard ce qui s'est passé avant et après, dans Joli Papa prélude 1 à .?. et dans Joli Papa suite 1 à .?.

Ouais je sais, c'est un peu brouillon, mais je ne suis pas prof de français non plus.

Je vous balance ça comme ça vient.

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Toujours est il qu'aujourd'hui (quelques années plus tard), la chose pathétique est prostrée à mes pieds tandis que je vous fais ce récit.

Son histoire est loin d'être terminée.

Voir son avilissement ravive mes souvenirs.

Tant que j'écris, elle n'a pas le droit d'avoir d'orgasme. Si je suis satisfait de ce que j'ai fait, elle peut se laisser aller.

Lorsque j'aurais terminé, j'étendrais la jambe et elle pourra s'enfoncer sur mon godillot. Croyez le, ou non, mais elle va s'éclater.

Fini.