J'appartiens à Snake désormais Ch. 04

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Une certaine routine s'installe.
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Partie 4 de la série de 7 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 10/19/2007
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I belong to Snake

Coulybaca / Vulgus

Chapitre 4 : Une certaine routine s'installe entre les tâches ménagères et les clients ou amis de Snake à éponger!

J'arrivais chez Snake à l'heure, il me cria d'entrer. Il déjeunait, je nettoyais la maison pendant ce temps, puis je fis la vaisselle.

Il me regardait travailler en costume d'Eve, puis il; m'emmena dans la chambre et me baisa rapidement. Je lui suçais la bite pour la nettoyer une fois qu'il en eut fini., il se redressa alors et saisit un petit paquet dans son armoire.

Il m'enjoignit de l'ouvrir, sachant très bien ce dont il s'agissait, je n'en avais aucune envie, mais je l'ouvris lentement.

Je ne saurai dire de quoi il s'agissait, une étrange bande d'étoffe. Je supposais immédiatement que ce devait être un vêtement, plutôt du genre pute, mais je ne me figurais absolument pas comment cela pouvait se porter.

- "Bordel... " siffla Snake alors qu'il me regardait

- "Tu me sembles parfois particulièrement stupide..... On dirait une sombre idiote! ..... Ne vois-tu pas ce que c'est? ..... C'est un simple maillot de bain! .... Regarde! ....." Il sortit une feuille de papier du paquet. C'était les instructions pour porter le maillot. En voyant les illustrations, je grinçais des dents.

- "Enfile ce foutu bikini, salope! .... Et fais bien attention de ne pas l'endommager, j'ai eu assez de mal à le trouver! .... Ils ne font plus que des bikinis, des magnifiques bikinis bien sur, peut-être bien que je t'en achèterais un bientôt......"

J'empoignais la bande de tissu et lus attentivement les instructions.

Je me redressais, la dépliais et l'enfilais, elle ne couvrait absolument rien, les deux fines bandelettes couraient sur mon buste et s'attachaient dans le cou, elles n'étaient pas plus larges que mes mamelons et étaient à demi-transparentes.

Pour le bas, les deux bandelettes se rejoignaient formant un étroit triangle de tissu qui descendait sur ma chatoune empruntait le chemin de ma raie du cul et se liait à la taille.

Mon cul était totalement dénudé, la partie qui était supposée dissimuler ma foufoune s'écartait à chaque pas exposant mes babines intimes.

Les sangles courant sur mes tétons ne me semblaient pas très stables non plus.

Visiblement Snake aimait ma tenue..

Il semblait particulièrement amusé de, constater la vitesse à laquelle le foutre s'écoulant de ma chatte avait détrempé les lanières me passant entre les cuisses.

Il me reluqua longuement, prit une paire de photos puis me dit :

- "Il y a une tondeuse à gazon derrière la maison, je veux que tu ailles couper les pelouses maintenant! .... Des quatre cotés... Commence par le devant de la maison! ....."

Je jetais un oeil sur ma tenue, j'étais quasiment nue, ne portant vraiment que des chaussures, ce n'était pas bien.

J'acquiesçais et sortis à l'extérieur.

Je trouvais la tondeuse à gazon derrière la maison comme il me l'avait indiqué, c'était une vielle tondeuse à main rouillée et lourde, et l'herbe n'avait pas été coupée depuis au moins deux semaines, la journée s'annonçait rude.

J'essayais la tondeuse en la poussant sur la pelouse de devant.

Une fois lancée, ce n'était plus aussi dur, mais cela restait tout de même une tâche très physique.

Je démarrais la taille de la pelouse devant la maison. Je devais arrêter de temps à autre pour réajuster le haut de mon maillot sur mes miches, les bretelles ne faisaient que descendre.

En une dizaine de minutes je remarquais que les voisins s'intéressaient à moi et s'agglutinaient autour de la pelouse.

Un homme sortit une chaise d'extérieur, traversa la rue et s'assit un verre à la main me regardant travailler.

Bientôt un autre voisin le rejoignit.

Le temps que je termine la pelouse de devant il y avait presque une douzaine d'hommes et plusieurs femmes qui me reluquaient en train de tondre la pelouse de Snake.

Toutes les maisons étaient proches les unes des autres et les bandes herbeuses étaient étroites aussi terminais-je rapidement l'avant et je pus me réfugier derrière la maison où personne ne me regardait travailler.

Cela me prit environ deux heures pour tout terminer, j'étais couverte de sueur lorsque j'arrêtais.

Je gagnais la porte, enlevais mes chaussures salies et les nettoyais, puis je me nettoyais les pieds et les jambes avant d'entrer.

Snake était assis dans le salon avec son voisin d'en face.

C'était un vieil homme tout ridé, je pense qu'il devait avoir 65 ans environ. Il était presque aussi large que grand, lorsque j'entrais dans la pièce, Snake me dit que le voisin se plaignaient de la tenue que je portais pour jardiner.

- "Très bien......" pensais-je fugacement.

- « " Peut-être que je n'aurai pas le refaire...... »

- "Je sais ce que tu penses stupide salope! ...."

- "Viens ici et excuse-toi auprès de monsieur Steadman de l'avoir offensé! ...."

Je m'approchais de monsieur Steadman, me plantant devant lui et je commençais mes excuses, Snake me coupa la parole.

- "Espèce d'idiote, mets-toi à genoux pour t'excuser! ....."

Je me laissais tomber à genoux et levais les yeux sur l'ignoble vieillard tout en m'excusant :

- "Je suis désolée de vous avoir offensé monsieur Steadman..... Y-a-t-il quelque chose que je puisse faire pour me faire pardonner? ......"

- "Je crois bien qu'oui...» me rétorqua-t-il hilare.... Pour commencer pourquoi n'écarterais-tu pas cette sangle qui dissimule tes tétons pour que je les voie mieux! ....."

Je tendais la main dans mon cou et dénouais les sangles qui tombèrent sur ma taille, puis je dénouais les liens à ma taille, le micro bikini chut à terre, je le repoussais du pied. De toute manière il ne servait à rien, j'étais aussi nue avec que sans. Son service était terminé.

Monsieur Steadman tendit la main empauma mes miches de ses petites mains grassouillettes, il les malaxa gentiment pendant quelques secondes.

Puis il se pencha en arrière et me demanda de lui descendre son pantalon.

J'obéis sans hésiter et bientôt je mis à l'air une bite d'une belle taille bien qu'encore molle.

- "Mes médicaments m'empêchent de bander! .... Mais je pourrais tout de même me vider dans ta bouche si tu me suces vraiment bien ma petite dame....."

Je me penchais vers lui et embouchais sa bite. Elle était très propre. Je le suçais pendant un long moment, je ne pouvais le prendre en pleine gorge, son chibre était bien trop mou pour cela.

Imaginez mon désappointement.

Mais je le suçais avec application et finalement il me saisit la tête à deux mains et la maintint en place tandis qu'il éjaculait un filet de foutre dans ma bouche.

J'avalais prestement sa maigre potion et lui nettoyais scrupuleusement la mentule.

Il me tapota la tête comme à une bonne petite chienne et me dit que j'étais une bonne fille.

Puis il ajouta :

- "C'est bien d'avoir de bons rapports avec les voisins, ainsi ils ne se plaignent pas trop quand on fait une petite fête! ....."

- "Tu vas te rendre dans la salle de bain et tu nettoieras les waters avant de prendre une douche rapide....."

- "Est-ce que tous ces hommes se comportaient comme des bêtes? ...."

- "Snake sûrement en tout cas....."

Je gloussais à cette idée. Je me rendais alors dans la salle de bain, nettoyais les toilettes souillées, prenais ma douche, puis revins au salon.

Monsieur Steadman me regardait regagner le salon entièrement nue, il s'esclaffa :

- "Mon Dieu ce que je donnerais pour être plus jeune! .... j'adorerais ce genre de fille! ....."

Snake me dit de remettre ma tenue, nous allions sortir pour nous écluser une bière.

Je retournais dan la chambre et retrouvais ma mini-jupe et mon micro soutien-gorge, je les enfilais séance tenante, sanglais mes chaussures, et retournais dans le salon.

Nous sommes partis vers la moto, je posais mes mains sur la taille de Snake et me tins serrée contre lui.

Dès que la moto démarra, les vibrations découvraient mes nibards et brise releva ma courte jupe.

Mais je m'efforçais d'ignorer ces faits et de tenir bon.

En parlant de vibrations, tous ceux qui ont chevauché des Harley saurant de quoi je parle.

Une fois que je sus que ne tomberais pas, alors que je n'étais plus aussi terrifiée que la veille, les vibrations me semblaient moins violentes.

Nous sommes retournés au bar où nous étions allés la dernière fois, à peine étions nous entrés dans le bar que Larry appela Snake, nous l'avons alors rejoint dans la partie magasin de fringues où il dit à Snake qu'il avait reçu de nouveaux articles.

Nous y jetâmes un coup d'œil.

Il y avait une nouvelle jupe, de la même longueur que la mienne sauf qu'on aurait dit un pagne, les deux cotés étaient fendus jusqu'à la taille et il y avait un écart de presque 5 centimètres entre les pans.

Snake aima tout de suite cette jupe.

J'ôtais celui que je portais et enfilais le nouveau.

- "Les gars vont drôlement aimer ça! ..." pensais-je fugitivement.

Les cotés de mes cuisses étaient nus sous l'élastique qui ceignait ma taille. Il acheta deux autres articles.

L'un des deux nouveaux hauts pendait à mon cou et s'arrêtait juste sous mes nibards, par un lien se nouant dans le dos.

Mes miches étaient couvertes par un mince filet qui permettait de tout voir au travers.

L'autre était taillé dans le même style que le pagne, un trou permettait de passer la tête alors qu'un voile pendait sur les nibards juste assez pour couvrir les mamelons, une espèce de ficelle pendait à chaque coin permettant de le nouer dans le dos.

Mais déjà lorsqu'il restait en place les cotés de mes nibards prenaient l'air.

J'étais tournée de profil et je voyais dans le miroir que l'ion pouvait aisément profiter de la vue de mes nichons sous cet angle.

Puis Larry ajouta :

- "Une chose encore...... Je sais que tu vas aimer Snake! ....." il nous emmena dans un autre endroit et nous tendit une minuscule combinaison.

Un calicot, le tissu et l'aspect étaient magnifiques, il comportait un lacet, les cotés étaient transparents laissant les cotés des nibards bien visibles, c'était vraiment adorable.

Mais c'était le type de parure à porter sur un sous-vêtement, bien sur ce n'était pas le cas pour qui appartenait à Snake.

J'enlevais ma brassière et enfilais précautionneusement le calicot, il semblait si fragile! .... Je jetais un coup d'œil dans le miroir, le spectacle était ravissant.

- "C'est d'accord..." accepta Snake

- "On prend le tout! ..... Peut-on passer aux choses sérieuses maintenant? ...."

Larry répliqua :

- "Ils sont tous d'accord pour payer la passe 100 $, laisse moi disposer de sa foufoune pendant quelques minutes ainsi que la prochaine fois que vous viendrez et nous serons quittes! ....."

Snake n'hésita pas.

Larry emballa les articles dans un sac, à l'exception du calicot que je portais., il me le fit enlever et me tendit la main.

Il me dit de faire ce que Larry me demanderait jusqu'à ce qu'il en ait fini avec moi, puis de me rendre dans les toilettes pour femmes pour me nettoyer et de revenir pour renfiler mon calicot.

Dès qu'il nous laissa, Larry me prit dans ses bras et me roula une pelle passionnée.

Ses mains se promenaient sur tous mes appâts alors que sa bite enflait contre mes cuisses.

Il posa une affichette "De retour dans 15 minutes" sur la poignée de la porte et m'emmena dans une resserre au fond du magasin.

Il descendit son pantalon sur ses chevilles et me poussa à me mettre à genoux.

Je le pris en bouche, il me dit alors que j'étais une fantastique suceuse de bite et combien il avait apprécié ma chaude foufoune lors de ma première visite.

Tandis que suçais sa bite il palpait et malaxait mes nibards avec vigueur, puis il me retourna et me courba en avant.

Il me caressa la croupe pendant une bonne minute puis il écarta mes globes fessiers et entreprit de me lécher le trou du cul.

Personne ne m'avait jamais dispensé cette caresse et j'étais ébahie de ressentir un tel émoi.

J'étais trop stupide pour comprendre ses intentions! .....

Il me bouffa le cul pendant quelques minutes puis il se recula quelques instants et soudain je sentis ses doigts se presser sur mon oeillet, ils étaient froids et graisseux.

Il introduisit son index dans mon trou du cul et le fit coulisser quelques instants dans mon étroit goulot, puis il répéta le même processus avec deux doigts.

Tandis qu'il plongeait et retirait ses doigts de mon fondement il me questionna :

- "Est-ce ton premier enculage ma salope? ....." je ne comprenais pas ce qu'il disait, ce n'est alors que tout devint clair dans mon esprit.

- "Vais-je être le premier à t'enculer? ....."

Ces mots retinrent mon attention.

- "Quoi... Non je ne veux pas..... Vous ne pouvez pas me faire cela! ...... Je ne l'ai jamais fait! ..... Oh mon Dieu non! ...."

Je me débattais bien un peu mais il me maintenait fermement et me prévint :

- "Veux-tu que j'appelle Snake pour lui dire que tu te refuses à moi! ...."

- "Non....." soupirais-je déjà résignée à mon triste sort.

Sur ces mots je m'efforçais de me décontracter attendant que la douleur survienne.

Larry extirpa ses doigts de mon trou du cul et les essuya sur mes fesses.

Puis il aligna son épaisse mentule sur mon délicat troufignon et força.

Il poussa, poussa et finalement le gland pénétra mon sphincter.

Je couinais de douleur alors que Larry grognait son plaisir.

Une fois la tête de sa bite enfouie dans mon boyau, il se mit à me forcer imparablement s'enfonçant impitoyablement dans mes reins rétifs.

Dieu que cela faisait mal! ......

Ses grognements de plaisir me rendaient encore les choses plus sinistres.

Enfin je sentis son épieu entièrement enfoui dans mon intestin. Son estomac me frappait les fesses alors qu'il entreprenait de me ramoner le cul en profondeur.

Il avait tendu la main en avant et me malaxait rudement les nibards d'une main tandis que de l'autre il triturait ma cramouille.

Sa bite coulissait avec âpreté dans mon anus asservi.

La douleur devenait insupportable, quelques instants plus tard il me saisit fermement les hanches et se mit à grogner et à mugir tout en me labourant sauvagement, j'avais peur qu'il ait une attaque tant il se démenait en grognant comme un porc.

Enfin je le sentis trembler de tous ses membres alors qu'il crachait son épais venin dans mon intestin distendu.

Il se pressa contre moi, enfoui en moi pendant quelques instants, puis il relâcha mes hanches et je tombais en avant.

Il me saisit alors les cheveux et me força à me retourner et mme roula un patin passionné me confiant que c'était le meilleur coup qu'il ait jamais tiré.

Il m'embrassa à nouveau puis me força, à m'agenouiller pour que je nettoie sa bite des traces excrémentielles qui la souillait.

Sale trou du cul! ... Je dus lui nettoyer la bite malgré mes hauts le cœur! .....

Cela n'était pas si mauvais que je le craignais, sa bite goûtait surtout le lubrifiant qu'il avait employé, un lubrifiant aromatisé à la vanille.

Il se releva et se rhabilla, je me dirigeais vers la porte et bandais mon esprit pour affronter le chemin qui menait du bar aux toilettes alors que j'étais entièrement nue, je serrais les fesses à chaque pas pour éviter que trop de foutre s'écoulant de mon anus ne révèle ma triste épreuve, et ma nouvelle condition d'enculée.

Dès que je franchissais la porte de communication, les sifflets et les commentaires salaces débutèrent, ils accompagnèrent tout le long du chemin menant aux toilettes pour dames.

Je m'assis sur le bidet et expulsais la plus grande part de la semence de Larry, comme je le pouvais, puis je gagnais l'évier et me nettoyais avec du papier toilette.

Pendant que je me nettoyais la chatte, une femme entra dans les toilettes, Elle me fixa des yeux, me sourit et hocha la tête comme si cela arrivait tous les jours, comme si c'était ma destinée.

Je sortais des toilettes et jetais un oeil vers Snake accroché au bar.

Je me dirigeais vers lui, sans même cherche à essuyer les mains baladeuses qui testaient mes appâts. Cela n'avait aucune importance.

Je me postais à coté de Snake au bar, il interrompit sa conversation avec la femme qui m'avait aidé à me nettoyer la dernière fois que j'étais venue, et me demanda comment ça s'était passé.

- "Aussi bien que possible... " lui répondis-je servilement " il m'a défoncé le trou du cul! .... C'était la première fois que je me faisais enculer! ...... Il m'a fait un peu mal! ....."

Ils sourirent en chœur et reprirent leur conversation, m'ignorant totalement.

J'aurais aimé boire un coup, mais j'avais peur de le demander, j'avais peur de ce que je devrais faire pour obtenir une boisson.

Par ailleurs il se faisait tard, il faudrait que nous retournions rapidement chez Snake, je devais être chez moi d'ici peu.

Tandis que j'attendais Snake j'aurais aimé ne plus être nue, c'était vraiment très gênant d'être la seule personne nue dans cette foule. D'autant plus que chaque fois que quelqu'un passait à coté de moi, il me pelotait avidement le cul.

Finalement Snake me donna ma combinaison que j'enfilais prestement, c'était mieux que rien.

Mes tétons étaient couverts et ce n'était pas plus court que ce qu'il m'avait déjà forcée à porter pour son grand plaisir.

On sortit pour rejoindre la moto, je posais le sac entre nous et priait pour rester en vie alors qu'on retournait chez lui.

En entrant dans sa maison j'ôtais ma combinaison.

Snake jeta un oeil; sur mon trou du cul et commenta :

- "Il va s'élargir peu à peu... Je vais le laisser t'enculer encore une paire de fois pour t'élargir le goulot, puis ce sera mon tour! ...."

- "Oui maître... " lui répondis-je docilement.

- "Vous ai-je déjà dit que Snake avait une bite énorme? ..... C'est pour cela que je comprenais sa démarche! ...."

Snake me courba sur une chaise et me baisa à nouveau.

Puis il me laissa ma rajuster. Il me tendit le sac de vêtements et le laissa retourner chez moi, je devais revenir à la même heure le lendemain.

Je me pointais à l'heure dite le lendemain, et comme d"habitude il m'avait fait venir pour travailler, je dus le sucer, puis je nettoyais la maison il me dit alors que cela suffisait pour aujourd'hui.

C'était une grande nouvelle je pouvais vraiment retourner chez moi m'occuper de mes travaux domestiques.

J'étais chez moi vers 10 heures et je passais la journée à m'occuper de la lessive et à nettoyer la maison, puis j'allais faire des courses à l'épicerie du coin.

Je me sentais fatiguée en début de soirée, mais j'étais contente d'avoir pu m'occuper de mon chez-moi.

Le lendemain ce ne fut pas du tout le même tabac, Snake semblait fort mécontent, il n'avait pas assez dormi, aussi jusqu'au moment où il se fut correctement reposé, je dus m'acquitter des travaux ménagers, il ne me réclama qu'une pipe qui sembla le réjouir.

Lorsque je terminais les travaux ménagers ce vendredi j'étais libre pour le week-end.

Ces deux derniers jours avaient été franchement supportables comparés aux jours précédents.

Et maintenant je pouvais passer mon week-end à m'occuper de Jay.

Il était tout excité en rentrant à la maison, il devait passer semaine suivante à Atlanta pour y représenter sa compagnie, c'était une grande opportunité de monter en grade et j'étais contente pour lui.

Je le priais de m'emmener avec lui, si Snake se rendait compte que j'étais seule à la maison pendant toute la semaine, en fait pendant 9 jours consécutifs, ma vie deviendrait u véritable enfer.

Mais en fait, il ne pouvait pas m'emmener et je n'avais aucune raison valable d'insister, je ne pouvais tout de même pas lui dire pourquoi je voulais l'accompagner.

Le week-end se passa vite.

Après nous être rendus à l'église, comme j'étais assise dans la voiture sur le chemin de la maison, il me vint à l'esprit que j'étais la seule consciente des énormes changements qui survenaient dans ma vie.

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