J'appartiens à Snake désormais Ch. 03

Informations sur Récit
le dressage commence.
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00

Partie 3 de la série de 7 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 10/19/2007
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J'appartiens à Snake désormais Ch 3

I belong to Snake

Chapitre 3 : Le dressage commence, elle sert d'abord de femme de ménage à son tourmenteur puis de vide couille à ses amis!

Je rentrais rapidement chez moi, en approchant, je me rendis compte à quel point j'avais été stupide de me tracasser de ne pas avoir revêtu ma tenue habituelle.

Cela importait peu, je rentrais tout droit au garage et refermais la porte avant de sortir de la voiture, j'empoignais mon sac et me ruais dans la salle de bain, je me débarrassais de mes fringues putassières et prépa-rais une tenue ordinaire et prit une longue douche bien chaude.

Je me sentais toujours souillée, mais je pouvais maintenant prétendre que tout était normal, aucunes traces ne subsistaient des ignobles épreuves que j'avais endurées toute la journée.

Je m'habillais et préparais le souper.

Je n'avais pas à me tracasser d'avoir manqué un coup de fil ou un mes-sage de mon mari pendant la journée.....

Il n'appelait jamais, il détestait utiliser le téléphone, nous ne possédions pas de répondeur, nous n'avions ni le câble ni le satellite, nous n'avions qu'un poste de télé petit écran et il ne servait guère qu'à regarder les in-formations.

Nous avions un ordinateur pour la seule raison qu'il avait parfois besoin de travailler à la maison.

Une fois même je l'avais accusé d'être un véritable ermite, de ne vivre qu'à moitié, il répondait que les gens qui étaient trop insérés dans la so-ciété, trop dépendants de la société ne pouvaient jamais se relaxer, et encore mois regonfler les batteries.

Que par ailleurs les couples ne communiquaient plus, qu'ils rentraient chez eux, soupaient puis regardaient des séries télés idiotes mettant en scène des médecins ou des flics puis allaient se coucher avant de som-brer dans les bras de Morphée.

Aussi se refusait-il à ce que l'on vive ainsi, nous soupions légèrement, puis on lisait ensemble et discutions de nos lectures, ou de toutes choses intéressantes advenues pendant la journée ou entendues aux informations, de tout et de rien en quelque sorte.

Nous lisons souvent la bible et nous prions, nous formions un couple honnête, respectant la bonne morale.

Et voila que j'étais devenue une pute, une salope

-"Oh mon Dieu, qu'allais-je faire? ....."

Je n'avais aucune idée du nombre d'hommes qui avaient possédé mon corps aujourd'hui même, et j'ignorais totalement quand ce chantage prendrait fin! .....

Le souper était prêt comme d'ordinaire, la table était mise lorsque j'en-tendis mon mari garer sa voiture dans le garage. C'est alors que je pen-sais :

-"Oh mon Dieu, vais-je pouvoir l'embrasser alors que j'ai sucé au-tant d'hommes dans la journée? ...."

Je me débrouillais pourtant pour l'embrasser comme à l'ordinaire, avant de poser le souper sur la table et de me plonger dans une conversation vide de tout sens sans clamer qu'une bande de motards m'avaient vio-lée. Et que cela se reproduirait vraisemblablement dès le lendemain, ou dans un avenir très proche! ....

J'étais maintenant une bonne salope, une de ces putes capables de fournir des gorges profondes à leurs clients enthousiastes! .....

J'avais pris la résolution de ne pas m'effondrer en pleurant comme une petite fille! .....

Je devais me débrouiller pour que Jay ne remarque rien, que tout était normal ce soir.

Je lui dis que j'étais juste un peu fatiguée.

On regarda en chœur les informations, plus particulièrement avoir les infos météo, les autres infos ne l'intéressaient pas en fait.

Nous votions républicain quoi qu'il arrive! ....

C'était notre courtier qui gérait nos fonds, aussi les nouvelles financières ne nous intéressaient-elles pas

Les crimes, les guerres, les luttes de pouvoir, la pauvreté dans le monde ne nous concernaient pas! .....

La pollution était un mythe.

Jay sortit la bible vers 21 heures, mais je lui dis que j'étais trop fatiguée pour me concentrer correctement.

Aussi nous allâmes au lit, une petite prière de quelques minutes puis Jay s'endormit du sommeil du juste alors que je contemplais le plafond pendant une bonne partie de la nuit! ....

Je regardais l'horloge comptant les heures qui me restaient avant de re-tourner à la maison de Snake.

Je parvins tout de même à dormir quelques heures avant que ne sonne le réveil, j'arrêtais la sonnerie me levais et préparais le petit déjeuner de mon mari. et j'avalais une tasse de café.

C'est tout ce que je pus avaler, je craignais tant le jour qui arrivait, les épreuves que je devrais encore endurer! .....

Jay partit à 6 heures et demi, je dus alors me dépêcher : je chargeais mon équipement de lavage dans la voiture pris une douche rapide et en-filais ma tenue de salope.

Je n'avais que peu de choix, deux jupes, et quatre brassières.

Je choisis de ne pas porter le harnais de cuir, à la place j'enfilais une brassière extrémal courte qui exposait une large potion de mes miches.

Cela importait peu de toute manière, je devrai l'enlever rapidement.

Je grimpais dans ma voiture et me pressais de gagner la maison de Snake, il venait tout juste de rentrer chez lui, il mangeait son petit déjeu-ner lorsque je frappais à la porte, il me hurla d'entrer, je posais mon équipement de lavage et retournais à la voiture pour y prendre le reste des fournitures.

Lorsque j'eux descendu et rentré toutes les fournitures, j'enlevais ma te-nue de pute et jetais un coup d'œil circulaire pour déterminer par quoi commencer.

C'était, et de loin la maison la plus sale que j'ai jamais vu. Je supposais que ce par quoi j'allais commencer importait peu.

Je gagnais la cuisine pour demander à Snake ses instructions.

Il était toujours en train de déjeuner, je ne sais pas comment appeler son repas : était-ce un déjeuner tardif ou un dîner anticipé? .....

Il jeta un regard sur moi et sourit, ravi de ce qu'il voyait. Je lui demandais s'il avait des instructions particulières à me donner.

-"Ouais je vais aller me reposer un moment je veux que tu te re-mues ton petit cul, mais sans te crever! ..... Tu peux te servir de l'aspirateur pour nettoyer la cuisine et le salon, tu t'occuperas du hall plus tard! ...... Pendant que je serai dans la chambre, je compte bien que tu nettoies au moins la salle de bain, la cuisine, et le salon et que tout soit impeccable! ..... Si ce n'était pas le cas je m'amuserai avec tes charmes! ......"

Je lui demandais où je trouverai de quoi laver et sécher le sol, il ne dis-posait de rien qui m'aurait facilité la tâche.

Je commençais par passer un coup d'aspirateur dans le salon, cela me semblait étrange de m'occuper de ces tâches ménagères entièrement nue.

Snake se recula vers la chambre, puis il s'arrêta un instant et me sollicita :

-"Viens ici et suce ma bite avant que j'aille m'étendre... Je dors mieux les couilles vides! ....."

Je posais tout et le suivit dans la chambre, un seul coup d'œil à sa chambre suffit à me rendre malade.

Elle était pleine d'ordures, des vêtements sales surtout des jeans, des tee-shirts et des sous-vêtements, des serviettes sales et des piles de linge posées ça et là, des plats sales contenant de la nourriture moisie amoncelés autour du lit et dessous, seul un étroit passage permettait de gagner le lit.

Comment pouvait-on vivre dans une telle porcherie? ......

Il se déshabilla et les jeta au sol, puis il s'étendit sur les draps souillés.

J'étais incapable de discerner leur couleur originelle.

De plus l'odeur était de plus en plus infect alors que j'avançais dans sa piaule.

Je pensais tout d'abord :

-"Quel porc! ...." puis, je réalisais que je m'accoutumais rapidement à ce type de langage que je n'avais jamais employé deux jours plus tôt! ..... »

Je rampais sur le lit, me postant entre ses cuisses, mais il me fit me re-tourner, lui tendant ma croupe et il se mit à manipuler ma chatoune.

Le parfum qui se dégageait de son entrecuisse couvert de sueur était innommable.

J'hésitais un instant, m'efforçant de respirer avec la bouche, il me montra qu'il s'impatientait en tirant mes poils pubiens, je me penchais et entreprit de lécher ses balloches, je les pris tour à tour en bouche et les flattais de la langue.

Je cajolais alors sa bite sur toute sa longueur avant de l'emboucher.

Pendant que je m'occupais de ses couilles et de sa queue il me doigtait la foufoune et le trou du cul mais mécaniquement, comme si cela ne l'in-téressait pas vraiment.

J'ai attendu qu'il soit plus dur pour lui faire une gorge profonde.

Ma gorge était encore douloureuse suite aux exploits de la veille j'avais pris un cachet de Tylenol avant de quitter mon appart et j'avais pulvérisé un spray dans ma gorge, je ne peux pas dire que je n'avais plus mal, mais cela m'avait fait du bien, et j'allais mieux.

D'autre part, il est, et de beaucoup, préférable de faire ces choses de sa propre initiative plutôt qu d'y être forcé.

Ma pipe dura une bonne dizaine de minutes, je ne chronométrais pas le temps passé à le cajoler.

Une fois qu'il eut éjaculé dans ma bouche, j'avalais le foutre tiède et lui nettoyais minutieusement la bite.

J'avais beaucoup de travail à faire et je n'avais aucune idée du temps que je devrai y consacrer.

Finalement il retira sa main qui me pelotait la chatte et me donna une bonne claque sur les fesses et me dit d'arrêter de le mignoter et d'aller travailler! ....

Je me glissais dehors et fermais la porte et m'empressais de m'exécuter avant qu'il ne me punisse.

Je décidais de commencer par la minuscule cuisine, elle était répu-gnante, mais si petite que j'espérais que cela ne me prendrait pas beau-coup de temps pour la nettoyer.

D'autant plus que vu j'avais les piles d'assiettes salles dans sa chambre.

Le nettoyage de la cuisine me demanda 2 heures, et bien que je n'aurai pas aimé y rester ni y manger sur le col, comparé à ce que c'était aupa-ravant on aurait pu se croire dans un nouvel environnement stérile.

Je passais au salon. Je ne trouvais pas les poubelles extérieures, je ne savais d'ailleurs même pas s'il y en avait.

Je remplis plusieurs sacs de déchets et je rangeai toutes mes fournitures d'un coté de la salle, je passais l'aspirateur du coté que j'avais éclairci remplissant deux fois le sac à poussière.

Puis, je me préparais un seau de lessive et me mis à quatre pattes pour frotter énergiquement la moquette.

J'étais épuisée, mais je n'osais pas m'arrêter! ...

Je transportais mes fournitures de l'autre coté de la salle et nettoyais ce-lui-ci à son tour.

J'évitais de regarder l'horloge. Je me foutais de savoir quelle heure il pouvait être et je n'avais pas besoin de le savoir.

Je sortais l'aspirateur par la porte de devant et le rangeais hors de mon chemin, rassemblais mes produits de décrassage et gagnais la salle de bain.

Je commençais par nettoyer la baignoire noire et grise, je frottais et frot-tais avant que la baignoire ne redevienne blanche, débarrassée de l'épaisse couche de crasse qui la recouvrait.

Je nettoyais les toilettes, je vous ferai la faveur de ne pas décrire dans quel état je les trouvais, ainsi que l'état du sol environnant.

Puis l'évier et finalement, je me mis à genoux, et frottais le sol à plu-sieurs reprises avant de le cirer.

J'en terminais finalement.

J'étais sereine en sueur et éreintée, lorsque Snake revint dans ma pièce.

Il leva la lunette des toilettes se tint en face, sortit sa grosse bite et proje-ta un jet d'urine dans la direction générale du bassin.

Je n'avais jamais vu un homme uriner auparavant, excusez-moi : pisser auparavant, j'étais fascinée et écœurée, ne voyait-il pas ce qu'il faisait? ..... Bordel de merde! .....

J'attendais qu'il en eut fini et je revenais vers cet endroit qu'il souillait.

Le flot de son urine finit par se tarir, il secoua sa queue laissant encore tomber quelques gouttes sur le sol.

Puis il se retourna et sans broncher repartit au lit.

En chemin il s'arrêta à ma hauteur me projeta sa bite au visage m'ordon-nant :

-"Fais-moi une petite pipe ma chérie! ..."

Je frémis à cette idée.

Pensiez vous qu'après avoir travaillé au milieu de ses ordures toute la matinée cela ne m'affecterait pas? .....

Je venais juste de le voir se servir de sa bite pour pisser, je n'avais pas envie de goûter l'âcreté des dernières gouttes de sa mixture.

Mais par ailleurs je ne voulais pas non plus être battue.

Aussi ouvrais-je misérablement la bouche qu'il se glisse entre mes lè-vres.

Une goutte de pisse tremblait suintait encore de son méat, mais cela n'avait pas vraiment de goût, Dieu merci.

Il me tapota la tête puis regagna son lit.

Je nettoyais à nouveau l'endroit qu'il venait de vicier, puis je pris mes fournitures et les sortis de la salle de bain.

Je ne pouvais pas passer l'aspirateur dans le hall, aussi le balayais-je soigneusement, le lavais et l'épongeais.

Pour finir j'époussetais et cirais le salon.

Il ne restait plus que la chambre, les fenêtres à nettoyer, et la lessive.

Je ne pouvais pas m'occuper de la chambre, il était toujours au lit, de plus la plupart de ses vêtements se trouvaient empilés dedans.

Aussi nettoyais-je les vitres de l'intérieur en cherchant à ne pas déranger Snake, finalement j'en terminais et pris une profonde respiration.

Je pensais que j'avais bien mérité un peu de repos.

Mais je pensais qu'il valait mieux que je vérifie une dernière fois les en-droits que je venais de nettoyer.

Je gagnais la cuisine et je vis des choses qui restaient à faire : comme ranger et nettoyer les tiroirs de la commode.

Mais je ne pouvais pas deviner comment il rangeait ses affaires, sinon je l'aurai fait.

Je regardais l'horloge, et à ma grande surprise je constatais que cela fai-sait 7 bonnes heures que je travaillais sans relâche.

Il était maintenant 14 heures, mais si je comparais hier et aujourd'hui, je préférais nettement ce que j'avais du faire ce jour.

Je terminais mon coup d'œil circulaire alors que Snake revenait dans la pièce.

Il regarda autour de lui, je croyais qu'il cherchait un motif de me punir. Mais en fait il était impressionné.

Il me fit pencher sur le dosseret de sa chaise longue et cracha sur ses doigts, qu'il utilisa ensuite pour lubrifier mon fourreau vaginal, il me baisa ensuite avec furie Lorsqu'il eut fini de me baiser je nettoyais sa bite à pleine bouche, puis il constata :

- Je suis désappointé, c'est vraiment du bon boulot! ..... Demain tu t'oc-cuperas de la chambre et de la lessive! ..... Reviens à la même heure...... Et maintenant rhabille toi et vas-t'en! ...."

Je ne comptais pas m'en tirer à si bon compte, je le quittais après avoir seulement été obligée de lui faire une pipe et de me faire baiser une fois.

Et il semblait qu'il en serait de même le lendemain! .....

En fait si je rassemblais sa lessive et l'emmenais chez moi de toute ma-nière j'y étais en sûreté et seule une grande partie de la journée.

Je suppose que je réagissais comme une petite idiote.

Le lendemain j'arrivais à l'heure convenue, Snake déjeunait à mon arri-vée.

Il me dit qu'il allait dormir sur le canapé, je n'avais qu'à faire la lessive et nettoyer sa chambre.

Il me tendit un grand sac de pièces et je lui dis :

-"Bien monsieur, mais je peux emmener votre lessive chez moi et la laver pour rien......"

-"Oui tu pourrais stupide connasse! .... Mais tu vas te rendre à la la-verie automatique de Dorchester... Pour cela tu vas enfiler ta tenue de salope, et pendant que tu seras là bas tu ne pourras rien refu-ser à qui que ce soit! ..... Si un gugusse te met la main au cul, ou te tate les nichons, tu lui souris... S'il te dit de le sucer ou de te pen-cher en avant pour qu'il te baise, tu fais ce qu'il te dit! .... Je me suis arrangé pour que ta prestations soit surveillée par un bon ami... Je pense que tu sais que tu ne dois en aucun me décevoir! ..... C'est bon? ...."

-"Oui monsieur....." soupirais-je cherchant désespérément à cacher ma déception. Je me dépêchais de gagner sa chambre et je rangeais les assiettes sales dans l'évier, puis je triais le linge à la-ver, il me semblait impossible que je puisse tout laver en une jour-née! .....

Je nettoyais la chambre, balayais le plancher, époussetais, ouvrais le lit, retournais le matelas, mais il était aussi dégoûtant que l'envers que sur l'endroit.

Puis je chargeais le linge sale dans ma voiture, j'en avais 3 paniers et 4 sacs de blanchisseurs.

Je me dirigeais vers ma voiture lorsqu'il m'arrêta dans mon élan.

-"Tu aimerais que je dorme bien? .... Tu sais ce qu'il faut faire pour cela! ....."

-"Oui monsieur, que dois je faire pour vous être agréable? ....."

-"Je suis fatigué de te baiser aussi mets toi à genoux et fais moi une pipe! ....."

-"Oui monsieur! ...."

Je fis de mon mieux et ne tardais pas à partir pour la blanchisserie, le goût de son foutre m'imprégnant la bouche et la gorge.

Je me garais et jetais un coup d'œil circulaire, ce n'était vraiment pas le quartier de la ville ou j'aurai choisi de me rendre! .....

Je décidais que le moyen de m'en sortir au plus vite était de prendre plu-sieurs paniers et sacs à chaque voyage, je savais déjà que j'allais être le principal objet de distractions des chalands.

Si les choses se passaient bien, je pourrais utiliser plusieurs machines en même temps ce qui me permettrait de quitter au plus vite ce lieu.

Je déchargeais le plus grand panier et réussis à remplir 3 machines à laver avec le linge, j'avais amené ma propre lessive, les sels blanchissants et l'adoucisseur j'en chargeais les différentes machines.

Je mis les pièces de monnaies dans le monnayeur et lançais les lava-ges.

Il y avait 4 personnes dans la laverie, 4 hommes, ils m'observaient atten-tivement, mais j'étais trop prise par mon boulot pour m'en soucier.

Je m'assis et cherchais à lire un magazine, mais après avoir lu la même phrase à plusieurs reprises, je restais les yeux braqués sur la page at-tendant la fin du lavage.

Je suppose que c'était inévitable, le quartier où je me trouvais, ma tenue vestimentaire, je me demandais su l'un de ces 4 hommes était le copain de Snake.

Je n'étais sur de rien, j'avais le sentiment d'être testée.

Du coin de l'œil je vis un des hommes s'approcher de moi, il prit place sur la chaise à cote de moi et me demanda :

- "Hey chérie que lis-tu? ......"

Jusqu'ici rien d'extraordinaire, un gars qui entamait la conversation, juste une question innocente.

-"Ta peau semble douce! ...." me dit-il.

-" T'as de beaux cheveux..... Un joli corps... Une véritable perfec-tion... " et, tendis qu'il me complimentait sa main s'approchait de mes jambes, je ne pouvais que lui sourire.

Pire encore, les trois autres noirs m'entouraient et regardaient leur co-pain aborder la séduisante rouquine qu'ils se feraient bien.

Et je ne pouvais toujours que leur sourire.

Lorsque la main qui me caressait la jambe atteignit l'ourlet de ma jupe, l'un des spectateurs s'assit de l'autre cote de moi.

Je ne dis rien. Au début il ne faisait que regarder agir son pote qui me caressait la peau nue sous ma jupe, à quelques centimètres de ma cha-toune.

Et je ne pouvais toujours que sourire.

Puisque cela paraissait aussi facile, l'homme posté de l'autre coté posa sa main sur mes nibards.

Lorsque je lui souris, il releva ma brassière dénudant mes nichons qu'il entreprit de pincer, de malaxer me meurtrissant les tétons sans vergogne......

Les deux qui ne me molestaient pas encore faisait des commentaires salaces sur mon physique et mon comportement laxiste.

Et je souriais toujours.

Le premier qui s'était occupé de moi me prit mon magazine des mains, puis il releva ma courte jupe, ils poussèrent des oohhh et des aaaah d'enthousiasme à la vue de ma rutilante toison rousse.

Je ne pouvais plus rien feindre, ils savaient tous qu'ils allaient se faire cette salope de rouquine blanche.

Ils m'enlevèrent ma jupe et ma brassière en un clin d'œil.

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