Gardes de nuit.

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Torments d'une aide soignante de nuit..
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Comment en suis-je arrivée là? A partir de quand tout à basculé? Et surtout que faire maintenant?

Pourtant, durant les premiers mois de travail avec Mathieu, rien dans son comportement n'avait laissé présager la suite.. Je dois même avouer que c'était mon collègue préféré. Depuis que j'avais commencé ces gardes d'aide soignante de nuit, je n'avait eu comme binôme infirmier que des machos arrogants et fainéants. Tandis qu'avec Mathieu c'était tout le contraire, il était drôle, très cool et ses histoires de nouveau père de famille étaient toujours sympa à écouter. Il me parlait souvent de sa femme, sa petite fille, et pourtant je ne sentais pas nos 20 ans d'écart..

Et puis une nuit, sans savoir pourquoi, il a changé du tout au tout.. Je m'en souviens comme si c'était hier : Nous étions dans la chambre de Mme Plassman, petite mamie tombée sous le charme de Mathieu qui n'essayait même pas de s'en cacher. A la fin du soin elle s'était exclamée "Je crois que la meilleure façon de vous remercier Mathieu est de vous embrasser". Nous étions partis en fou rire et l'avions laissée pour prendre notre pause. Sur le chemin de la salle de repos, nous rigolions encore de son aplomb en plaisantant sur le "charme légendaire" de Mathieu. C'est, arrivés dans la salle, qu'il m'attrapa le bras pour me mettre face à lui et me dit:

"honnêtement Lia.. j'aurai préféré que se soit toi qui me demande un baiser"

Surprise je lui souris

"le fantasme de la minette en blouse ça fera toujours vendre" et essayai de reculer, mais c'est là que sa poigne devint plus forte :

"Juste un baiser s'il te plaît Lia, ça restera ente nous"

J'ai lu dans ses yeux un mélange d'excitation et de peur, et c'est là que j'ai compris qu'il était sérieux. J'eu un rire nerveux

"Arrête tes bêtises, qu'est-ce que tu me fais? On est juste des collègues, de très bons collègues certes, mais il n'y aura rien de plus"

A ces mots je vis son regard s'assombrir, la peur le quitter pour laisser la place à une sorte de froideur qui me fila des frissons. Il resta quelques secondes à me fixer calmement tout en me tenant toujours le bras et moi je restais là sans savoir comment réagir. Il relâcha peu à peu son étreinte pour finir par me caresser le bras

"ta peau est si douce.. S'il te plaît, ça fait tellement longtemps que j'en ai envie..

_S'il te plaît quoi? Tu crois qu'il suffit de supplier une fille pour qu'elle t'embrasse? Arrête un peu, ça devient n'importe quoi!

_Ah ouai t'es plutôt du genre à aimer quand ça se passe de force, c'et ça?"

Sa question déclencha en moi une angoisse qui me paralysa sur place. Avait il fait une allusion au viol? Qu'est ce qui lui prenait?

Il se colla contre moi sans que je sois capable de reculer, j'étais hébétée, comme figée sur place. C'est là qu'il m'embrassa. Le contact de sa langue humide et visqueuse qui se baladait sur mes lèvres ainsi que l'odeur de son parfum trop musqué m'écœurèrent et me ramenèrent à moi-même. J'essayais de le repousser, mais je l'avais déjà trop laissé m'approcher. J'étais maintenant coincée entre le mur et son imposante carrure. Il continuait à me fouiller la bouche pendant que je tentais vainement de le repousser. Déjà, je sentais ses mains descendre, remonter, pour mieux palper mes formes au travers de mes vêtements et avant même que je pus réagir il glissa sa main sous ma blouse.

"Lache moi maintenant s'il te plait, tu vas trop loin! ça ne m'amuse plus!

_ Qui a parlé de s'amuser? J'ai tellement envie de toi.. laisse toi faire et tout ira bien.

_Si tu ne me lache pas je cris!"

Il rit :

"Et qui viendra? Un de nos patients paralysés?! Essaye un peu.."

J'ouvris la bouche bien décidée à me faire entendre, mais avant même qu'un son puisse en sortir je sentis son poing s'abattre sur ma joue. A terre, sonnée, je restais immobile tentant de comprendre ce qu'il m'arrivait. Il m'attrapa et me retourna sur le dos, vint s'installer à califourchon sur moi et d'un coup sec, tira sur ma blouse ce qui fit sauter les pressions et lui dévoila ma poitrine offerte dans son soutien gorge. D'un geste sur et habile il l'abaissa afin de dévoiler mes tétons et se mit à les sucer chacun leur tour en commentent de temps à autres :

" J'adore tes seins.. Les lécher ça m'excite grave.. Surtout qu'ils sont tous durs.. C'est que t'es chaude ma salope"..

Son poids m'écrasait, j'avais envie de vomir. j'essayais tant bien que mal de me dégager mais c'était peine perdue et il continuait à se faire plaisir sans se soucier de mes plaintes. Il semblait dans un état second, je ne le reconnaissait pas et c'est bien ce qui m'inquiétais.. Seule, à sa merci, comment allais-je m'en sortir? Jusqu'où comptait il allait?

Bien que le contact de son sexe en érection contre ma cuisse ne me laissait que peu de doutes.. Il plaqua son torse contre le mien et suréleva son bassin de manière à laisser mon entrejambe libre tout en me maintenant immobile sous son poids. Je sentis sa main glisser sous ma lingerie et fouiller mon intimité. Il me caressait maintenant le sexe en me regardant dans les yeux. D'un seul coups il enfonça deux doigts dans mon vagin et commença à faire des allers et venues brutaux. Je n'étais pas assez lubrifiée et je senti une vive brulure dans mon bas ventre. C'était comme s'il me déchirait de l'intérieur et plus j'étais terrorisée, plus je me desséchais, plus ça l'excitait et plus il y mettait de vigueur. Peu à peu il chercha à introduire de plus en plus de doigts, pour finir par se servir de toute sa main. Je sentais mon sexe distendu et pleurais de douleur tout en le suppliant de me laisser maintenant, mais il se contentait de me répéter que si je me laissait faire tout se passerait bien en me dévorant du regard..

C'est là qu'il sorti sa main de mon sexe meurtri, força sur les élastiques de mon pantalon et de ma culotte afin d'en dégager l'accès et approcha sa bite toute dure de ma fente.

Je réunissait mes dernières forces pour me débattre :

"Arrête, je t'en supplie!!

_ Chuuut.. J'ai pas fini, le meilleur reste à venir ma belle!"

Je sentais son gland humide glisser tout le long, remontant de mon anus jusqu'à mon pubis et au détours d'un de ses vas et viens il me pénétra d'un brutal coups de rein. Sous ses violents coups de butoir, ma poitrine dansait en rythme ce qui ne manquait pas d'attiser encore plus son désir, tandis que la brûlure qui me consumait le vagin depuis ses rudes va et viens, me poussait à émettre des gémissements qui au lieu de l'émouvoir, l'émoustillaient également. Il ne lui fallut pas longtemps avant que ces râles se transforment en gémissements.. Après cinq minutes qui me parurent une éternité, dans le dernier et le plus violent coups de bassin qu'il m'ait administré, il cracha son sperme en moi.

"Et bah! Quand je te disait que tu m'excite trop!"

A ces mots il se releva l'air satisfait et le plus naturellement du monde se rhabilla et sorti de la pièce sans me jeter un regard. Me laissant à moitié nue, en état de choc sur le carrelage glacé de l'hôpital...

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 10 ans
Excitante histoire...

Un sujet intéressant

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