Famille Vendue

BÊTA PUBLIQUE

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La première fois eut lieu une nuit qu'Evelyne et Charlene avaient été appelées ensemble pour servir le maître en sa chambre. Allongé sur son lit, il se faisait administrer, comme plusieurs fois déjà dans le passée, une fellation à deux bouches par la fille et la mère. Mais, alors que la fille l'avait en bouche et travaillait le gland d'un mouvement tournant de sa langue, et tandis qu'Evelyne, le nez dans la toison pubienne du vieux, léchait les bourses poilues, le maître se redressa et leur ordonna :

« Kiss! Kiss yourself! Play with each other in front me! »

[Embrassez-vous! Faites l'amour devant moi!]

Les deux femmes, qui comprenaient toutes les deux parfaitement l'anglais, surent instantanément qu'un nouvel instant de vérité était arrivé. Se redressant lentement, elles se regardèrent l'une l'autre, désemparées, perdues. Il n'y avait pas d'alternative. Il fallait obéir. Mais Charlene vit dans les yeux de sa mère que celle-ci ne pouvait pas, que ce qu'on exigeait d'elle était au-delà de la force de sa volonté. C'est alors la fille qui prit les choses en main et qui guida sa mère à la dérive.

C'est elle qui approcha ses lèvres de celles de sa mère, qui joignit leurs deux corps en un baiser d'abord très doux, puis de plus en plus sexuellement chargé. Elle l'enlaça, mimant d'abord les caresses avant de rendre ses gestes plus précis et plus appuyés, glissant ses mains vers les lourds seins maternels et leurs tétines qu'elle sut tendrement faire durcir, puis enfin vers l'entrejambe humide. Evelyne perdue se laissait dominer et conduire. L'habileté de sa fille la surprit. L'excitation de ses lèvres par la fine langue agile puis la simulation de ses glandes mammaires provoquèrent en elle une montée d'excitation sexuelle, d'autant plus qu'étant inconsciemment si certaine, et depuis si longtemps, qu'une telle aventure incestueuse était inscrite dans leur futur, cela avait en quelque sorte constitué une préparation psychologique qui avait réduit en elle l'horreur instinctive associée à un tel événement. Charlene restait avec John la dernière personne avec qui existaient des relations basées sur la tendresse, le respect et l'amour. Charlene qui l'enlaçait était la dernière personne qui ne lui voulait pas de mal. Lorsque les fins doigts de sa fille se posèrent sur son clitoris proéminent et hypersensible, ce fut comme si une digue se rompait dans le cœur de cette femme qui avait assumée tant de choses si lourdes et depuis tant de semaines...

Elle se mit à rendre ses caresses à sa fille, par la bouche d'abord, puis avec ses mains, caressant le corps magnifique de son enfant, de la chair de sa chair. En elle vivait désormais une envie irrésistible de donner du plaisir, de faire le bien, de faire jouir encore et encore ce corps ami et précieux et d'épuiser dans une extase sexuelle leur amour mutuel.

Les deux femmes se faisaient maintenant furieusement l'amour, se donnant absolument l'une à l'autre et ignorant totalement le regard voyeur que leur maître posait sur elles. Celui, redressé sur le lit, mangeait des yeux le spectacle de ces deux créatures somptueuses emportées par un ouragan de passion sexuelle. Il en conçut une excitation incroyable et développa une érection formidable qu'il n'avait nul besoin d'encourager par une quelconque masturbation.

Evelyne et Charlene s'étaient mises en position de « 69 », Charlene en dessous, et, les cuisses largement ouvertes l'une à l'autre, ne vivaient plus que dans la fièvre de se faire jouir réciproquement. Son clitoris boursouflé faisait de la mère une proie plus facile et elle parvint avant sa fille à un premier et puissant orgasme, redressant sa tête pour gueuler sans retenue son bonheur animal, ses lèvres luisant des secrétions intimes de sa fille. Provisoirement assouvie, elle replongea la tête entre les cuisses ouvertes et entreprit de plus belle d'amener à son tour Charlene à l'orgasme. Celle-ci sentit sa mère pourchasser furieusement de la langue son bouton d'amour pendant que les doigts maternels introduis dans son fondement lui procuraient une excitation délicieuse. Son ventre musclé eut une série de contractions de plus en plus puissantes et incontrôlables jusqu'à ce qu'elle expulse de son vagin jusque dans la bouche d'Evelyne une large quantité de liquide intime et qu'un orgasme monstrueux la submerge et l'emporte. Elle aussi hurla à son tour son plaisir à s'en casser la voix...

Le maître, transporté de désir, vint alors se placer derrière Evelyne, ses cuisses poilues venant surplomber le visage de Charlene. Il introduisit son membre infiniment dur dans le vagin gluant de la mère et ordonna parallèlement à la fille :

« Lick my balls, you whore! » [Lèche moi les boules, toi la salope!]

Le propriétaire reprenait ses droits. La jeune femme obéît docilement et commença à faire tourner sa langue agile autour des testicules du chinois. Celui-ci, ayant empoigné Evelyne par les hanches, la baisait de grands coups de reins. Son intimité défoncée et le contact régulier des testicules de l'asiatique contre son clitoris gorgé de sang conduisirent l'esclave française à un deuxième orgasme, aussi puissant que le premier. Simultanément son maître jouit lui aussi, le sexe massé par les contractions internes du vagin de l'esclave jouissante, et il vida comme jamais à l'intérieur de son somptueux jouet vivant. Le foutre excédentaire coulant comme l'eau à la fontaine à l'extérieur du vagin maternel, Charlene eut à le recueillir dans sa bouche et elle l'absorba en elle.

Vidées de leurs forces, les deux femmes en sueur gisaient l'une sur l'autre. Avec le peu de lucidité qui restait dans son cerveau épuisé, Evelyne savait qu'« ils » avaient gagné : ils lui avaient fait, ainsi qu'à sa fille, franchir un cap d'au-delà duquel personne ne revient jamais. Ils avaient perverti son esprit ainsi que celui de Charlene, brisant leurs barrières morales les plus sacrées et avaient fait d'elles des monstres. Plus rien, plus aucun frein après cela ne les arrêterait jamais sur le chemin de la perversion. Elles ne résisteraient plus, ne refuseraient rien quelque soit l'abjection des demandes. Elles étaient condamnées...

Ayant repris quelques forces, la mère et la fille se redressèrent, se relevèrent, et, sans un mot de leur maître ni sans un regard pour lui, elles quittèrent la chambre, main dans la main.

Le lendemain matin, un profond changement se produisit dans l'organisation de leur vie quotidienne. Le chinois, homme fin et bon connaisseur de l'âme humaine, avait intuitivement compris la nature du bouleversement qui venait de se produire dans l'âme de ses deux esclaves femelles. Il ordonna en conséquence qu'elles vivent désormais séparées dans deux studios distants. Ainsi sa chambre à lui devenait le seul endroit ou elles se retrouvaient en présence l'une de l'autre. Il attendait ainsi -- et son stratagème fonctionna à merveille -- que leurs étreintes lesbiennes en sa présence en deviennent encore plus « chaudes », intimes et passionnées. Vivant désormais dans une solitude renforcée, frustrées de la présence de l'être ami, frustrées sexuellement, les deux femmes ne pouvaient s'empêcher, remises en présence l'une de l'autre, de laisser libre cours à un sentiment ou l'amour humain, le besoin de fraternité et l'envie sexuelle composaient un mélange explosif. Par le spectacle de leur passion, le maître avait trouvé le moyen d'accroître son propre plaisir à la fois comme voyeur de leurs ébats et par la démonstration de sa dominance absolue sur l'esprit et l'âme de ses deux captives. Apres cette soirée, elles durent répéter leur duo sexuel à chaque fois qu'elles furent demandées par lui, celui-ci se finissant dans l'une ou l'autre, bouche, vagin ou cul suivant son bon plaisir.

Un autre changement fut que le vieux, fasciné par le surcroît d'excitation que provoquait chez la mère la modification apportée à sa zone clitoridienne, voulut disposer d'un pouvoir similaire sur la fille. Cela se fit au moyen de la pose d'un anneau d'or au travers de la base du clito de cette dernière, un anneau dont le passage empêchait mécaniquement la rétractation du bouton au cœur des chairs intimes. La chose fut si efficace, que la semaine suivante, Evelyne portait un ornement semblable. Ce qui avait autrefois été la cause d'une crise de désespoir chez la fille devenait leur réalité quotidienne : on les forçait mécaniquement à l'orgasme pendant les viols...

Enfin, pour briser plus encore le trio au plan psychologique et rendre la chose encore plus irréversible, John fut contraint -- une boule de caoutchouc engagée dans sa bouche pour faire taire toute possible protestation -- à être le fréquent spectateur des furies saphiques de sa mère et de sa sœur. Il les vit faire et elles avaient vu qu'il les avait vu...

Part 8 -- Plus loin encore...

Une grande fête se préparait manifestement. Le domaine bruissait d'activité et les deux esclaves avaient été prévenues individuellement de se préparer au mieux.

On vint chercher Evelyne alors que la nuit était tombée et elle fut amenée dans la salle prévue pour la fête, nue comme toujours hormis les fines chaussures à hauts talons. Les invités du maître étaient là, assis en un large cercle autour d'une scène centrale improvisée. Un murmure d'admiration et d'envie marqua l'arrivée de cette belle femme nue qui, à 39 ans maintenant, révélait une beauté peut-être effectivement encore supérieure à celle dont la jeunesse et les années de danse classique gratifiaient sa fille.

Elle retrouva Charlene qui l'y attendait depuis quelques minutes immobilisée milieu de la scène par un dispositif aussi simple qu'efficace : Une fine chaîne de métal partait entre ses cuisses depuis l'anneau clitoridien, passait au travers d'un anneau fixé au sol au niveau du nombril pour allait rejoindre l'anneau nasal. La seule position tenable pour la jeune femme était de se maintenir à quatre pattes la tête baissée et les fesses dressées, son intimité visible et accessible de tous.

Evelyne fut mise en place parallèlement à sa fille à environ deux mètres de distance à sa gauche. Comme elle aurait voulu être autorisée à s'enlacer avec elle et laisser courir son brûlant amour, même au prix d'une obscène exhibition supplémentaire sous les yeux de la trentaine de riches voyeurs que le maître avait rassemblés! Mais elle avait compris que ce n'était pas cela qu'il avait prévu pour elles ce soir là. Les deux cameras vidéo sur trépied installées au bord de la scène et le flot de lumière baignant le cœur de l'arène ne lui disaient rien de bon, mais, au terme de tant d'épreuves, Evelyne était désormais bien au-delà d'une honte aussi mineure...

Un bâillon fait d'une large boule de caoutchouc tenue par une lanière de cuir fermée derrière la tête fut appliquée aux deux femmes. Regardant autour d'elle, la française ne voyait que des regards luisants, excités par les alcools d'un bon repas et qui attendaient avec paillardise quelque surprise extraordinaire que leur hôte raffine avait imaginée pour eux. Aux cotés de l'asiatique, assise sur un fauteuil au premier rang, elle reconnut la vieille chinoise lesbienne, qui l'avait tant « forcée » lors de la sinistre nuit.

Le maître frappa deux coups brefs dans ses mains. Les deux femmes captives virent entrer John, leur John, nu, poussé en avant vers elles par deux serviteurs. Son organe sexuel avait été libéré de sa cage d'acier. Ses mains étaient menottées très court derrière son dos. Evelyne pouvait constater en se retournant que la vue des deux féminités nues et offertes provoquait chez son fils une excitation grandissante et incontrôlable, conséquence inévitable de plus de deux années de frustration sexuelle absolue imposée à un corps de vingt ans.

Les serviteurs le firent s'agenouiller derrière elle. Immobilisée comme elle l'était, elle ne pouvait en rien protéger l'accès à ses parties intimes. Largement ouverte et exhibée, elle sentait l'air s'écoulait le long de l'intérieur de ses cuisses et sur les lèvres entrouvertes de son vagin. Elle ne pouvait qu'imaginer le spectacle qu'elle donnait ainsi : un appel puissant aux pulsions les plus primitives d'accouplement. La boule enfoncée dans sa bouche la réduisait au silence. Elle sentit la chaleur du corps de son fils au contact des ses cuisses et de ses fesses. Elle trembla d'horreur à l'anticipation de ce qu'on allait les forcer à faire.

« Pardon maman. Pardon... Oh pardonne moi s'il te plait... »

Il poussa ensuite un immense et si profond soupir de soulagement à l'instant, où elle sentit la virilité de son fils qui s'enfonçait au plus profond d'elle-même.

Immédiatement John, comme emporté par son désir trop longtemps contenu, se mit à la pilonner avec frénésie, sa queue entrant et sortant à toute vitesse de l'orifice maternel. Sa mère, pour s'éviter d'être déchirée au nez ou au sexe, se devait de synchroniser précisément les mouvements de son corps avec les poussées que lui imposait son fils, donnant ainsi involontairement un caractère harmonieux à leur accouplement bestial. En une dizaine d'allers-retours seulement John junior explosa en elle, poussant en une puissante contraction de ses cuisses et de ses fesses pour se vider au plus profond de cette caverne pour lui si bienheureuse.

« Pardon... Pardon maman...Pardon... » Se mit-il à pleurer, à la fois si soulagé et parfaitement désespéré.

Elle s'était faite prendre comme une jument au montoir, comme une chienne montée par le male dominant la meute : vite, brutalement et sans soucis de son plaisir à elle. Mais pour celle dont le corps était livré depuis deux années exclusivement soit à un amant de prés du double de son âge soit forcé au lesbianisme, ce rut animal, certes frustrant, avait réveillé en elle le goût trop longtemps oublié d'autres étreintes...

Des applaudissements et des sifflets enthousiastes virent saluer cette première performance. Celle-ci avait été naturellement bien trop rapide au goût du public rassemblé, mais John, frustré de tout soulagement sexuel depuis tant et tant de mois, avait encore de profondes réserves en lui. Une minute seulement après avoir sailli sa mère, son érection avait repris et c'est cette fois derrière Charlene que les assistants le firent s'agenouiller. La jeune femme ne put pas plus se soustraire à l'envie de son frère, mais elle grogna et secoua la tête furieusement pendant tout le temps leur accouplement contre nature, en témoignage de sa rage et son désespoir.

A peine apaisé dans les entrailles de sa sœur aînée, John pouvait renouveler une fois de plus sa performance et c'est d'ailleurs bien ainsi que l'entendait le maître Il monta derrière sa mère et en quelques minutes de copulation fiévreuse, il injecta en elle encore plus de sa semence fertile.

Après une quinzaine de minutes, il retrouva la force nécessaire pour revenir labourer sa sœur une seconde fois. Il la lima longtemps et Evelyne ne put qu'assister pendant de longues minutes au spectacle de leurs deux corps bougeant en cadence, le pieu luisant de son fils entrant et sortant de la croupe svelte de sa fille. Le maître, peut être agacé de la modeste rébellion manifestée par la jeune l'esclave femelle lors du premier accouplement, donna un ordre bref à une toute jeune femme parmi les servantes présentes. Celle-ci vint immédiatement s'accroupir auprès de Charlene, et, passant une main menue sous le ventre de la jeune femme, elle entreprit de la masturber adroitement pendant le coït en cours. Les yeux de Charlene commencèrent à se dilater et sa mère ainsi que tous les voyeurs en cercle purent voir les tétons de ses seins se tendre avant que, quelques minutes plus tard, l'enfièvrement d'un puissant orgasme ne fassent trembler tout son corps et que de sa gorge sorte un long grognement. Un véritable hourra s'éleva alors du public et Charlene, vaincue, ne manifesta plus rien, se contentant d'accompagner le mouvement imposé à son corps par les poussées orgasmiques de son frère.

La petite servante entrepris alors sur John une fellation en vue de le remettre en forme une fois de plus. Le jeune homme auquel un tel plaisir avait été refusé depuis littéralement une éternité retrouva très vite sa vigueur. La jeune femme appliqua par ailleurs discrètement un onguent le long de la hampe sexuelle du jeune homme pour garantir par des moyens chimiques la bonne fin du spectacle vicieux imaginé par le propriétaire des lieux.

John fut pour la troisième fois accouplé à sa mère. Comme au profit de la fille quelques minutes plus tôt, la jeune servante la masturba impitoyablement mais avec une science consommée pendant que son fils cavalait derrière sa croupe. Comme sa fille, Evelyne ne put éviter de donner à tous le spectacle d'un orgasme au cœur de l'inceste. Et même d'un second orgasme avant que John ne se vide encore au cœur de la matrice originelle.

La soirée se conclut par la troisième insémination de Charlene, John ayant été une fois encore « remis en forme » par la petite. Il lui fallut certes longtemps cette fois, bien naturellement, mais il parvint malgré tout à honorer sa sœur et à accomplir la fonction naturelle dévoyée qui était le cœur de cette exhibition publique. C'est une Charlene brisée qui se laissa branler encore une fois par la jeune servante habile et l'on obtient d'elle, une fois encore, le spectacle voulu.

L'esprit d'Evelyne était à la dérive, choquée par la violence qui était faite à sa famille, par l'énormité d'avoir eu un orgasme reçu de son propre fils. Tandis que John et Charlene finissaient leur copulation, elle tentait de comprendre, de trouver un sens. Tout cela était terrifiant. Pourquoi leur maître avait-il ordonné une chose pareille? N'étaient-elles plus -- sa fille et elle -- ses favorites? Pour la première fois depuis les viols avant la vente, un autre homme que le maître avait été autorisé, et à plusieurs reprises, à jouir en elles-mêmes. En effet, même lorsque Charlene avait du passer la nuit avec cet invite du maître, elle avait confié à sa mère le lendemain que celui-ci ne l'avait prise, certes à plusieurs reprises, mais que par la bouche ou le cul. Apparemment, son sexe était « off-limit » pour l'invité cette nuit là.

Le tonnerre des applaudissements et des hurlements de joie des spectateurs marqua la fin du « show », tout ce monde se leva a grand bruit et repartit joyeusement vers la grande salle à manger, laissant derrière les deux femmes fixées au sol comme deux animaux, la tête baissée et les fessées toujours dressées, contraintes de garder en elles le sperme issus du rut. John fut évacué d'un autre coté. La vieille asiatique les regarda longtemps avant de quitter en dernier les abords de la scène désertée. Evelyne fit alors dans sa tête la dernière connexion : les deux visites d'une sorte de gynécologue dans les dernières semaines, visites humiliantes auxquelles Charlene et elle avaient été soumises! Etait-il possible aujourd'hui le maître les ait forcées à...?

On les maintint ainsi plus de deux heures, seules face à leur déchéance, les matrices humides du liquide séminal dont elles avaient été remplies. Au loin, les bruits de la fête parlaient de joie et le bonheur de vivre. Avec le dernier désespoir Evelyne tenta au moyen de contractions de ses parois intimes d'expulser d'elle-même le fluide fécondant, dans parvenir à rien. Rendues muettes par les boules de caoutchouc enfoncées dans leurs bouches, les deux femmes ne pouvaient rien communiquer et, tandis que Charlene suivait des yeux le corps de sa mère qu'elle voyait animé de convulsions auxquelles elle ne comprenait rien, Evelyne elle ne pouvait détacher son regard du ventre si plat de sa fille chérie...

Part 9 -- Ton maître partout tu serviras...

Le lendemain, Evelyne fut convoquée en pleine journée devant le maître Charlene et John, chacun la bouche pleine d'un gag, y avaient été menés eux aussi sous bonne garde. Aux cotes du maître, la vieille chinoise était assise dans un second fauteuil. Très calmement, un sourire ironique sur les lèvres, il leur fit part de sa décision :