Dressage d'une belle-mère

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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« Tiens, mets ta main entre mes cuisses, tu vas voir comment je trempe, là donne ta main laisse moi faire, je vais te faire voir comment je mouille pour toi, pour ta queue ! » Elle a pris mon poignet et a guidé mes doigts sur son entre cuisses sous sa jupe. J’ai senti ses poils pubiens, elle a insisté et frotté ma main sur sa chatte pour que je sente sa moiteur. Quand j’ai eu la sensation chaude et humide de son sexe, j’ai dégagé mon poignet et je me suis mis à la fourrager furieusement, palpant durement son entre cuisses qu’elle m’offrait en ouvrant ses jambes.

« C’est bon non ? c’est chaud et mouillé tu sens ? Oh oui palpe moi la fente salaud, vas y, prends ce que tu veux, fouille moi la chatte ! mets y les doigts, mets y ta bite, ce que tu voudras y mettre, fourre moi la fente mon beau fils vas y, vas y ! »

Je regardais fasciné son visage chaviré par le délire, sa tête qu’elle hochait de droite à gauche et qu’elle rejetait en arrière, cambrant ses reins et offrant son ventre à ma rugueuse caresse.

Je l’ai prise ainsi, dans la cuisine, je lui ai ordonné de se pencher en avant et de se tenir à la table, de cambrer ses reins. J’ai relevé définitivement sa jupe sur ses fesses et j’ai défait ma braguette. Ma bite a jailli et sans plus attendre j’ai fourré mon membre dans la raie sombre de son cul. En m’aidant de mes doigts j’ai cherché la fente qui s’est ouverte sans mal et j’ai guidé mon gland jusqu’aux lèvres chaudes qui l’ont englouti.

Un coup de rein m’a propulsé en son ventre et j’ai limé méthodiquement, comme un mac lime sa pute, par devoir et pour lui montrer que l’homme est l’homme et que chacun doit rester à sa place. Je n’avais pas envi de jouir, j’étais froid, appliqué dans la baise, ramonant cette fente entre ces cuisses ouvertes, ce fessier offert, tendu en l’air et soumis. J’ai poussé mon braque à fond, j’ai touché son utérus, elle a tressailli et j’ai poussé plus fort, conscient et content de lui faire mal. Elle a gémit d’abord puis elle a poussé des cris de douleurs tandis que mon gland battait le fond de son vagin et finissait par lui tirer des plaintes. Ses cris de douleurs m’ont stimulé, ma bite a encore grossi, j’ai poussé encore contre la paroi qui arrêtait ma course, frustré de ne pouvoir aller plus loin, ma belle mère criait maintenant sa douleur en me suppliant d’arrêter, mais je la tenais fermement par les hanches. Quand elle voulait se débattre, je m’affalais sur elle de telle sorte qu’elle ne pouvait plus bouger et qu’elle recevait ma queue plus profondément dans des râles de douleur plus que de jouissance. Je voulais lui faire mal, qu’elle se souvienne de cette soirée, qu’elle soit SA soirée et que sa vie durant elle sente cette douleur au fond de sa chatte.

Dans ses cris et ses râles elle s’était mise à pleurer, des sanglots venaient se mêler à ses suppliques, je la sentais proche de la rupture, mais je voulais aller aussi loin que possible, qu’elle ait le souvenir de ma bite à jamais gravé au fond de sa chatte.

« Arrête !! je t’en supplie, je ne peux plus supporter, non, arrête, je t ‘en supplie arrête ! » et à chaque supplique ma bite plongeait au plus profond de son ventre avivant la douleur en elle. Quand elle ne fut que pleurs et sanglots, pantelante sur la table de cuisine, sans force et sans réaction, je mettais fin provisoirement à son supplice. Je sortis ma queue de son ventre et le gland toujours dressé, je le dirigeais vers l’étroit conduit de son anus. Mes doigts toujours guidant la tête durcie de ma queue, je me présentais à l’entrée et forçais sauvagement le sphincter de ma belle mère. Curieusement, il n’y eu qu’une faible résistance et ma bite s’engloutit dans le conduit étroit et noir. Je poussais de plus belle, fasciné de voir ma queue disparaître peu à peu dans ce cul malgré tout assez dodu.

Elle gémit encore sous l’assaut mais ma bite passa sans contrainte et je limais encore une fois ce trou réservé à l’homme qui était le maître de la femme. Réellement, à cet instant j’avais dans la tête l’image du souteneur baisant sa pute, à la fois par plaisir et aussi pour lui montrer qui est le plus fort et qui peut le mieux la baiser. J’étais presque persuadé du fait que ma belle mère était ma pute et moi son souteneur, c’était par devoir que je la baisais, et aussi pour lui faire comprendre que j’étais le maître. Elle m’avait trop humilié par ses airs supérieurs et ses sourires en coin pour que je ne prenne maintenant ma revanche.

A elle de connaître l’humiliation, j’ai poussé ma bite aussi loin que possible dans sa chair, son ventre a gargouillé sous la poussé de mon membre, elle a même lâché un pet involontaire tant son cul souffrait de cette bite qui la fouillait, je l’ai empalée aussi sauvagement que je le pouvais, et j’ai ramoné son conduit, sortant presque entièrement ma queue pour entrer plus fort et plus loin, à chaque fois elle pêtait, libérant les gaz qui lui encombraient les boyaux. J’y prenais du plaisir : sortant lentement la bite, libérant le conduit anal, et les gaz affluaient créant des pêts retentissants. Et quand le cul se taisait, je replongeais dans ces entrailles malmenées, fouillant plus loin le ventre de belle maman. La pauvre femme ne contrôlait plus rien, incapable de se retenir, elle laissait faire son corps qui dégazait tant et plus.

Le jeu a duré plus d’une demie heure où je lui ai labouré le cul, elle gémissait faiblement sous moi, vaincue, se laissant aller, je devais même la soutenir.

L’envie de décharger m’est venue enfin, je me suis penché sur elle et j’ai murmuré à son oreille « Où veux tu que je décharge mon sperme ? dans ton cul ou dans ta chatte ? ou encore dans ta bouche ? »

Elle a secoué la tête de droite à gauche avant de répondre dans un souffle, « Je n’en peux plus fait vite où tu veux, mais fais vite tu m’as tué ! »

Je triomphais, pour le plaisir j’ai continué à la limer encore cinq bonnes minutes, le temps de la réflexion, puis je suis sorti de son anus. « Tournes toi ai-je commandé. »

Lentement elle s’est redressé et m’a fait face. J’ai été impressionné par ce visage défait et d’une pâleur de linge.

« Allonge toi sur le dos »

Je l’ai moi même saisi sous les épaules pour l’asseoir sur la table et elle s’est allongé là, les jambes pendantes dans le vide, inerte. J’ai pris ses jambes et je les ai hissé sur mes épaules, après quoi ma bite est entré en elle, là où je l’avais auparavant labouré furieusement et j’ai poussé à fond. Elle a poussé un long cri de douleur quand j’ai heurté l’utérus tout en se raidissant brusquement. D’un seul coup, la douleur qu’elle avait presque oublié lui ai revenue. Son vagin s’est contracté sur ma queue toujours fiché au fond d’elle et j’ai laissé mon plaisir m’envahir alors qu’elle se tordait de douleur sous moi, incapable de s’échapper de mon étreinte. Une longue plainte aiguë accompagna mon flot de sperme trop longtemps retenu, des spasmes pulsaient tout autour de ma queue et le foutre coulait refoulé du vagin.

J’ai lentement relâché mon étreinte, ma belle mère ne bougeait plus, elle respirait à peine.

J’ai sorti ma queue encore raide de sa fente sans qu’elle n’ait de réaction, elle gisait les bras en croix sur la table de la cuisine, les jambes écartées et pendantes. Le sperme coulait d’entre ses fesses et commençait à former une petite flaque sur le formica luisant.

J’ai regardé le spectacle du fluide qui coulait lentement, longtemps, sans réaction moi non plus. J’étais épuisé par tant d’effort et de tension nerveuse, je me sentais comme une poupée de chiffons.

Comment ai-je eu la force de la prendre dans mes bras et la porter jusqu’à son lit ? je ne saurais le dire. Elle a gémit, crié de douleur et de fatigue et s’est écroulée dans son lit sans demander son reste. J’ai entendu un dernier pet sonore et j’ai refermé la porte.

*

Le lendemain, ma femme m’a appris sa sortie imminente, j’étais content, mais il n’y a pas eu de séance de suce ce jour là à la clinique, j’étais trop crevé. Ma belle mère n’a émergé que vers midi et s’est plainte d’avoir mal au cul et au ventre.

Si son mal au cul s’est atténué, son mal de ventre lui, persistait et quelques jours plus tard il a fallu qu’elle consulte son gynécologue. Elle marchait les cuisses serrées en se tenant le ventre.

Je l’ai accompagné chez le médecin, c’est bien le moins que je pouvais faire et dans le silence du salon d’attente j’ai entendu le praticien lui faire la leçon, comme quoi il n’était pas raisonnable à son age d’avoir des rapports aussi violents. Son utérus était enflé, rouge et douloureux, il nécessitait des soins et une abstinence complète de plusieurs semaines. Je sentais bien que le médecin était perplexe de voir une femme de cet age se présenter avec de tels symptômes. Il lui demanda si elle n’avait pas été victime d’un viol et tandis qu’elle répondait par la négative, la perplexité du médecin augmentait. « Mais enfin chère amie, vous ne vous êtes pas fait ça toute seule quand même ?! »

Ma belle mère a bredouillé quelque chose que je n’ai pas compris et nous en sommes resté là.

En sortant le médecin lui donnait toujours des conseils de prudence et je lui ai souri angéliquement.

*

Belle maman a changé son attitude envers moi, sa morgue s’est muée en crainte et elle baisse son regard quand je la regarde. Elle m’obéit bien au doigt et à l’œil quand elle vient nous rendre visite, et si elle est sage elle a droit à sa séance de jambes en l’air, en version soft pour ne pas affoler son gynécologue.

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