Chez Le Marquis

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Une jeune vierge découvre les joies du sexe.
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Tetsuya
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La jeune Maude arriva au manoir parisien du marquis avec ses parents. Le magnifique bâtiment rassura la demoiselle qui avait beaucoup d’appréhensions face à ce voyage. La beauté et la prestance du marquis ajouta à ses craintes.

- Bonjour monsieur le vicomte. Vous êtes tout à fait ravissante, madame, comme cette jeune demoiselle, dit le marquis en posant sur Maude un sourire ravi. Vous avez fait bon voyage?

- Oui un beau voyage. La température agréable et les magnifiques paysages étaient avec nous, lui répondit le vicomte.

- Vous avez une maison splendide, cher marquis, poursuivit la vicomtesse.

- Je suis très ravi que vous ayez fait bon voyage. Rendrez, rendrez. Mes domestiques s’occuperont de vos affaires.

- Nous ne resterons pas longtemps, marquis. Nous vous laissons notre fille, nous aimerions tellement qu’elle connaisse Paris. Ce n’est pas chez nous qu’elle connaîtra la ville.

- Je m’occuperai de votre charmante fille. Mes domestiques lui ont préparé la plus jolie chambre du manoir. Je vais organiser des petites soirées avec des amis pour la distraire. L’art de la conversation est une chose importante pour les parisiens.

- Tout est parfait, marquis. Prenez soin d’elle.

Le vicomte prit le marquis à part.

- Vous me donnerez des nouvelles. J’aimerais bien qu’elle se trouve un mari assez riche, si vous voyez ce que je veux, lui chuchota le vicomte à l’oreille.

- Comptez sur moi pour vous donnez des nouvelles.

- Faites attention, je ne veux pas qu’un garçon la touche avant le mariage. Cette enfant est si pure, lui dit le vicomte à voix base.

- Je ferais tout selon vos indications.

En se tournant vers la vicomtesse, le marquis leur souhaita bonne route de retour.

- Merci et nous comptons sur vous, marquis, dit la vicomtesse. Fais attention à toi, ma fille, soit polie et fais ce que le marquis te demande.

- Oui, mère.

- Alors à la prochaine.

La vicomte et sa femme embrassèrent leur fille selon l’usage puis le marquis, et ils quittèrent le manoir. La jeune fille était seule dans le hall devant son hôte. La beauté de Maude était rayonnante, il la regardait avec attention, ce qui ne manqua pas de rendre ses petites joues rouges. Elle avait les cheveux longs blonds légèrement bouclés qui descendaient le long de son dos pour se poser sur ses fesses. Le regard un peu naïf rendait son visage tout à fait charment, car une pointe de gène et de caractère se mélangeait dans les sphères bleutés. Elle avait un corps doux et délicat. Pendant qu’il regardait cette douce ange, il savait qu’une jolie femme qu’il avait rencontré il y a quelques jours l’attendait dans son lit. Le marquis avait aussi tout pour plaire aux femmes. Le marquis avait un air noble. Un regard vif et un visage brillamment dessiné. Sa bouche était invitante et les quelques poils qui ornaient son menton, lui donnait un air marginal qui ne manqua pas de séduire Maude. Il était grand et les épaules larges, en plus de son habit qui accentuait sa prestance. Il conduisit cette douce jeune femme à sa chambre, pour ensuite remonter à la sienne.

La femme rousse était toujours là étendue sur le lit, seins nus.

-Mon beau marquis que faisais-tu?

-Un ami, vicomte de campagne est venu me porter sa fille. Il aimerait lui trouver un mari parisien. C’est une enfant absolument séduisante. Elle rayonne de virginité. Allez, viens vite vers moi, le désir a fait durcir mon membre dès l’instant où elle est entrée et il est toujours aussi gros dans mon pantalon.

-Tu me rend jalouse, bel amant. Alors je dois prendre cette queue qui a bandé pour une autre.

-Tu es toi aussi une merveilleuse créature, Casandra. Ne t’inquiètes pas, toi aussi tu sais le faire monter.

Casandra ne se fit pas prier pour engloutir dans sa bouche la bite du marquis. Elle avait de magnifiques lèvres, charnues à souhait qui était d’une douceur extrême. Elle maniait sa langue avec une extraordinaire dextérité, soulevant du plaisir à l’homme sur chaque endroit de son pénis en même temps. Le travail de précision de la langue et des lèvres procuraient à la femme un immense bonheur. Elle adorait les fellations. Son vagin pétillait sous la main du marquis qui venait de si poser. Il était passé maître dans le maniement du clitoris. Elle lui jouit dans la main, lorsqu’elle sentit son sperme lui ruisseler dans la bouche et sur ses seins nus. Le marquis eut sur la main une caresse mouillé absolument excitante, rarement il avait une femme ayant des orgasmes si intenses.

Ils allèrent dîner un peu plus tard. Le marquis alla chercher Maude à sa chambre. Cette dernière le suivit et fut fort surprise en voyant Casandra.

-Bonjour madame, vous êtes la marquise?

-Non, non, jeune fille, je suis une amie du marquis. Je suis de passage à Paris que pour quelques jours.

-Allez venez, belles demoiselles, le dîner est déjà servi, annonça le marquis en faisant un clin d’œil à Casandra.

Ils dîneraient ensemble tous les trois. Maude ne parlait pas. Elle était troublée par l’effet que le marquis avait sur elle. Certes, elle avait déjà rencontrer de jolis hommes, mais lui avait un charisme que ceux-ci n’avaient pas. Le marquis faisait le conversation. Avec son éloquence, il parlait de divers sujets de la vie. Maude fut choquée et à la fois jalouse lorsqu’elle remarqua que Casandra semblait caresser le marquis sous la table, pendant le repas sans la moindre pudeur. Elle plaça sa main entre ses jambes près de son pénis. Casandra avait remarqué la colère de Maude et pour la provoquer, elle redoublait ses caresses qui ne semblait pas déranger le marquis qui continuait la conversation comme s’il ne voyait pas ce qui se passait entre les deux femmes.

Le marquis reconduisit Maude à sa chambre. Parfois, durant le chemin, le marquis était si près d’elle qu’elle pouvait sentir son vêtement frôler le sien. Devant la chambre, il déposa deux baisers sur ses joues. Elle sentit un doux plaisir entre ses jambes, mais qui était mélangé à sa peur. Elle se coucha de bonne heure. Le sommeil tarda à venir. Elle entendait des bruits en provenance du couloir. Elle se leva pour aller voir et elle fit le marquis tenant Casandra à demi nue qui rendrait dans une chambre de l’étage. Elle avait beaucoup de difficulté à dormir. Elle s’imaginait ce qui se passait dans la salle plus loin. Elle avait déjà surpris son frère dans l’écurie avec une jeune fille. Ils étaient roulés nus dans le foin, et elle se rappelait avoir vu son frère sucé les seins de la fille. Celle-ci criait en caressant la bosse dans le pantalon du garçon. Son frère avait sorti son membre bien dressé pour enfiler la jeune fille qui semblait hurler de plaisir. Maude s’était vite enfuie de peur d’être découverte, mais maintenant ces images hantaient ses rêves. Durant sa première nuit, au manoir, elle s’imagina le marquis qui la chevauchait, comme son frère sur cette fille, elle se voyait avoir un orgasme sous la queue de l’homme.

Elle se réveilla en pleine nuit, le bout de ses seins était durs et elle sentait une sensation agréable, mais dérangeante, entre ses jambes. Pour la première fois, de sa vie, elle caressa ses seins et de l’autre main son clitoris. Elle n’avait senti rien de pareil et elle imagina que c’était le marquis qui lui prodiguait ces carasses. Elle se senti soudain mal à cause de ce qu’elle faisait. Maude se rendormie.

Le lendemain, lorsqu’elle sortit de sa chambre. Elle fut bousculée par un jeune homme qui courrait. Il se retourna rapidement. Il fut médusé par la beauté de celle qu’il avait accroché. Elle eu comme un flash le corps magnifique du garçon, qui était tout en sueur.

-Désolée, hum, mademoiselle, réussit-il a bredouillé. Vous allez bien?

-Ça va, monsieur, je vais bien.

-Vous êtes la nouvelle invitée de monsieur?

-Oui et vous?

-Je suis le jardinier de monsieur. Si vous avez besoin de quelque chose.

-Non, ça va… je n’ai pas de jardin dans ma chambre.

-Heureux de vous avoir rencontré.

Les deux jeunes gens avaient le visage rouge de gêne. Le jardinier s’enfuit rapidement et Maude vit le marquis qui les regardait au bout du couloir. Il vint à sa rencontre.

- C’est un beau jeune homme, ce jardinier. Moi, je n’ai plus son éclat de jeunesse.

- Vous n’êtes pas si mal non plus, se surprit-elle à dire.

Bien qu’étant vrai, elle regrettait amèrement ses dernières paroles. Certes, le marquis était plus âgé, trente ou trente-cinq au plus, tandis que le jardinier avait à peine dix-huit ans, mais il était encore un très bel homme. Elle ne parla point durant leur marche jusqu’à la salle à manger.

- Voulez-vous sortir dans Paris, aujourd’hui?

- Oui bien sûr, monsieur.

- Vous pourriez aller au musée avec une de mes domestiques.

- Si vous le désirez, monsieur.

- C’est bien, Isabelle, va vous accompagnez.

Après le repas, Isabelle et Maude sortirent à l’extérieur pour aller au musée. Le jardinier travaillait à l’extérieur. Il ne quitta pas des yeux Maude qui marchait avec une robe très jolie, longue et moulante, qui accentuait la beauté de ce corps et de ses longs cheveux. Elle aussi regardait, le jeune homme fortement musclé. Elle continua sa route. Isabelle était d’une compagnie agréable. Elle était aussi une très belle femme. D’un teint foncé, elle avait les cheveux bruns longs qui tombaient gracieusement sur ses épaules nues. Elle portait une jolie robe qui remontait ses seins assez abondants et qui dessinait à merveille sa taille fine. Elle parlait beaucoup et semblait aimer beaucoup son maître. Ce dernier point agaça un peu Maude, mais la fille était si agréable, comparativement à la Casandra. Elles regardèrent ensemble les tableaux et les sculptures. Maude était étonné des belles œuvres qu’il y avait. Après le musée, elle allèrent faire une pause dans un petit café qui accueillait souvent un cercle littéraire. Elles entendirent une conversation.

-Le marquis a encore publié un roman.

-Le roi le surveille, il devint dérangeant.

-Il parait qu’il parle d’orgies et de masturbation.

-Oh!

Elles ne purent pas entendre la suite, mais Maude se posait déjà beaucoup de questions. Le soir au dîner, elle demanda au marquis se qu’il faisait durant les journées.

- J’écris beaucoup et puis je sors en ville voir des amis. Pourquoi me demandez-vous cela?

- Des femmes en ville parlaient de vos romans.

- Qu’en disait-elle?

- Qu’ils étaient très vertueux.

- C’est ce que je pensais. Vous aimeriez en lire?

- Certainement pas.

- Votre père vous a bien élever.

- Bien sûr. Et je n’ai aucune envie de connaître vos perversions.

- Vraiment?

Le marquis la regarda avec un sourire irrésistible. La jeune femme monta à sa chambre sans même avoir fini le repas. Elle prit un livre et alla dans le jardin. Elle se coucha dans l’herbe pour lire. Le jardinier était dans le bois à quelques mètres. Elle ne l’avait pas vu. Il se masturba doucement en regardant cette beauté naturelle étendue près de lui. Sa longue robe remontait un peu laissant voir ses belles jambes. Sa robe moulait bien sa magnifique poitrine, d’une taille parfaite. Il s’imaginait l’enfiler rapidement et de la sentir jouir dans ses bras. Il n’avait jamais touché une femme, il avait déjà vu des filles nues qu’un de ses amis avait payé pour danser devant eux. Mais jamais, il n’avait pu toucher une femme. Même un baiser, il avait toujours été trop timide. Il se contentait de les regarder. Le marquis invitait les plus jolies femmes de Paris, chez lui, alors il était dans le bon endroit. Cette Maude était différente. D’habitude, les invitées du marquis étaient des filles faciles qui venaient ici pour se débaucher. Dans le cas, de Maude, elle semblait aussi timide que lui. Elle l’attirait vraiment. Son orgasme fut très bon.

Maude alla se coucher lorsque le soleil commença à tomber. Elle rencontra le marquis dans le couloir.

- Je vais recevoir des amis demain. Allez-vous vous joindre à nous?

- Oui, bien sûr, monsieur.

- Tant mieux.

Le marquis continua son chemin, vers la chambre du jardinier.

- Elle te plait la jeune Maude?

- Elle est très belle, monsieur le marquis.

- Je t’ai vu dans les bois tout à l’heure. La masturbation finit par tuer son homme. Allez fonce.

Le jardinier était vraiment gêné. Il n’osait pas parler d’un sujet comme cela avec le marquis. Il savait que le marquis écrivait des romans érotiques. Il en avait déjà lu un, mais il n’osait pas en discuter quand même. Le marquis sentit son trouble, il lui fit un sourire en quitta la chambre. Le jardinier s’endormit en rêvant de Maude. Il voyait Maude nue qui sortait de sa chambre pour le rejoindre dans la sienne. Alors il la prendrait, contre lui, contre son membre dur. Il caresserait ses seins, puis il la pénétrait. Il ne pouvait qu’en rêver, jamais il ne demanderait à une jeune noble bien élevée de se joindre à lui. Tandis que dans son lit, Maude rêvait du marquis. Elle se masturba une seconde fois, mais cette fois-ci elle ne se retient pas. Elle se caressa d’abord timidement les seins puis le vagin, ensuite elle y alla plus fortement avec intensité et bonheur.

Le jour suivant, tout le monde préparait la petite soirée qui aurait lieu le soir même. Les domestiques faisaient le ménage et la nourriture, tandis que le marquis écrivait dans le jardin. Maude alla faire les commissions en ville avec Isabelle.

- Que penses-tu du marquis?, demanda Isabelle.

- C’est un homme gentil.

- Juste cela? Tu sais le marquis est un amant excellent.

Maude rougit.

- Tu ne peux pas parler de cela.

- La petite noble chic et de bon goût n’a aucun désir j’imagine.

- Qu’est-ce que tu es venu chez nous, si ce n’est de découvrir la sexualité.

- Père et mère m’ont envoyé pour découvrir Paris.

- Pauvres naïfs.

- Ne dis pas ça de mes parents, servante mal élevée!

La petite soirée que donna la marquis se révéla très intéressante. Ils y avaient de nombreux nobles, cultivés et de bon goût. On discutait littérature, politique et religion. La soirée se déroula très bien. Après que la majorité des invités furent parti, Maude alla se coucher. Elle se releva un peu plus tard, car elle avait oublié ses gants dans le salon. Elle descendit sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller personne. Rendue au salon, elle vit le maquis nu avec trois femmes. Il y avait Isabelle, Casandra et une baronne qui était présente dans la soirée. La baronne était une jeune fille assez grande et très jolie. Elle avait de charmants petits seins agréable au toucher. Elle avait les cheveux blonds comme Maude. Le marquis était entendu sur le sol, pendant que Isabelle le suçait. Il ordonna aux deux autres de danser pour lui. Elles était nues collées l’une sur l’autre. En se déhanchant, Casandra descendit le long du corps de la baronne pour la couvrir de baiser tandis que celle-ci caressait les seins de sa partenaire. Le marquis regardait attentivement tandis que Isabelle enroulait sa langue le long de son pénis en érection.

-Léchez-vous!, ordonna le marquis.

Les deux filles s’embrassèrent langoureusement en collant leurs corps l’une sur l’autre. Puis Cansandra suça les seins de la baronne. Pendant qu’elle avait les seins dans la bouche, elle caressait l’entrejambe de son amie.

-C’est bien venez sur moi, maintenant.

Les femmes se couchèrent près du marquis. Isabelle et la baronne se partageaient son pénis, tandis que Casandra assise sur sa poitrine l’embrassait. Comme les femmes avaient changé de position, Maude put apercevoir le jardinier dans l’autre côté de la pièce qui se masturbait. Maude fut excitée en le voyant ainsi, elle avait envie comme les femmes sur le marquis, de sauter sur son pénis. Mais cette situation était extrêmement gênante. Elle mit la main sous sa jupe pour se caresser un peu. Ce qui ne manqua pas de plaire au jardinier qui avait remarqué qu’il n’était pas le seul voyeur dans la pièce. Les quatre se roulaient maintenant tous ensemble le marquis semblait comblé. Les filles se frôlaient contre lui avec leurs seins durs et leur vagin mouillée. Elles criaient de bonheur. Il les pénétra une par une, pendant que les deux filles caressaient celle sur le pénis en feu. Maude continua de se masturber en silence jetant quelque fois un coup d’œil au jardinier. Le marquis et les femmes criaient très forts après que ce dernier eut éjaculer son sperme sur leurs corps nus. Ils sortirent de la pièce pour aller se coucher à l’étage.

Sans trop savoir où il avait trouvé le courage. Le jardinier se rua sur Maude. Il la coucha violemment par terre en plaçant son pénis bien gros sur son vagin et ses mains sur ses seins. Maude eut un immense plaisir lorsqu’elle sentit le membre brûlant sur sa joue. Mais la brutalité de l’homme, la dégoûtait, elle le repoussa et monta vite à sa chambre. Elle avait eu pourtant envie de ce pénis. C’était comme le morceau manquant du puzzle. Lorsqu’elle avait la main entre les jambes, certes elle pouvait se faire plaisir, mais quand elle avait senti le pénis elle avait su que c’était avec ça qu’elle aurait le plus de plaisir. Elle se coucha, jalouse des filles avec le marquis. Elle n’était pas bisexuelle, mais quand même tout ce spectacle avait été hautement excitant juste par l’évocation des plaisirs charnels. Et puis, le marquis, il était si beau et semblait tellement contrôlé la situation. C’etait cette domination qui excitait Maude, lorsqu’elle était avec lui, elle se sentait comme une petite fille voyant en lui le maître. Pour le jardinier, c’était différent, elle se croyait égal à égale avec lui et c’était ce manque de savoir des deux côtés qui l’excitait. Le jardinier ne savait pas aborder une fille, tout comme elle ne savait pas aborder un garçon.

Le jardinier se coucha seul dans sa chambre. Il regrettait les gestes brusques qu’il avait posés. Mais cette fille était si belle et elle se masturbait elle aussi! Il avait envie d’elle énormément. Le contact avec ses seins avait ravivé à jamais toute son excitation, il savait désormais tout le bonheur que cela procurait. Et ce spectacle, les filles étaient absolument magnifiques. Le jardinier était jaloux du marquis qui était si doué avec les femmes. Trois à la fois, en plus.

Le matin suivant, Maude trouva un petit livre sur sa table de nuit. Certainement un livre que le marquis avait écrit. C’est alors qu’elle découvrit l’immense bonheur de la littérature érotique, même les descriptions de femmes l’émoustillait. Chaque passage sexuel évoquait des sensations sur son corps. Elle lut le livre en frottant une oreiller entre ses jambes. Il fallait qu’elle ait le courage de parler au marquis.

Elle se rendit à sa chambre. Elle cogna doucement.

-Oui entrez.

-Monsieur, le marquis, c’est vous qui avez déposer ce livre chez moi.

-Oui. Vous l’avez aimé?

-Assez oui, dit-elle en rougissant.

Le marquis était assis devant son bureau, il écrivait. Il n’avait pas de chandail et il ne portait qu’un pantalon. Son torse était vraiment très existant, cette forte ossature attira Maude. Elle s’approcha de lui.

-Vous l’avez lu au complet?

-Oui.

-Vous n’avez pas été choqué.

-Oui énormément.

-Pourquoi l’avez-vous aimer?

-Parce que je veux essayer, moi aussi.

Le marquis eut un lueur de plaisir dans les yeux. Il s’approcha d’elle.

- Alors tu feras ce que je te dis.

- Oui.

- Touche-le.

Elle plaça sa main contre le pénis par dessus le pantalon. Il était très dur. Elle caressa un peu.

- Ferme-les yeux!

Elle ferma les yeux et le marquis mit sa main sous la jupe pour lui caresser le clitoris. Il posa doucement ses lèvres dans son cou. Puis il toucha ses seins. Elle n’en pouvait plus, elle était horriblement gênée, elle sortit la chambre rapidement en se sauvant vers la sienne. Elle resta toute la journée dans sa chambre. Elle ne pensait qu’à tout ce qu’elle venait de découvrir, ici dans ce manoir.

Plus tard, dans la soirée, le marquis frappa à sa porte.

- Entrez.

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