Cercle d'amis

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Les débuts d'une spirale sexuelle dans un cercle d'amis.
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Il y a quelques années, j'avais l'habitude de passer nombre de mes week-ends chez une amie en banlieue parisienne. Nous nous y retrouvions à plusieurs pour passer de longues soirées de jeux de rôles. Laetitia, notre hôtesse, habitait seule dans un appartement en haut d'une tour. Cet appartement n'était pas très grand : une salle faisait office de salon et cuisine, un rideau la séparant de la chambre. La salle de bain, dernière pièce complétant cet ensemble était une alcôve partant de la chambre.

Laetitia, célibataire, était une grande brune aux yeux marron, avec des formes très (voire un peu trop) généreuses. A l'inverse Cécile était une petite blonde aux cheveux très longs, de splendides yeux bleus pénétrants, une vraie taille de guêpe avec un petit cul bien rond, et des seins outrageusement gros par rapport à sa physionomie globale. Un vrai canon à l'air angélique. Elle était en couple avec un garçon nommé Philippe, mais ce dernier ne venait que très rarement avec nous. Céline, la troisième et dernière fille du groupe, petite brune aux yeux noirs, était plutôt typée méditerranéenne : bien en chair sans être grosse, une très belle pair de seins également (plus en accord avec le reste de son corps), et des attitudes naturellement séductrices. Elle était en couple avec Cédric, notre maître de jeu. Châtain, de taille moyenne, avec une très forte corpulence, Cédric était très sympa, mais un brin macho, et dopé aux films pornos. Autant dire que sa vision de la femme était plutôt primaire. Toujours grivois, comme on peut l'être à cet âge -- nous avions entre 20 et 25 ans --, il aimait jouer sur ces ambiguïtés qui apparaissent naturellement dans des groupes d'amis mixtes. Quant à moi, j'étais célibataire également, châtain et de taille moyenne également, le poids idéal si l'on s'en réfère aux courbes habituelles, mais je me suis toujours trouvé un peu maigre.

Comme d'habitude nous nous retrouvions le vendredi soir chez Laetitia, après le travail, pour faire une partie de jeu de rôle. Le rituel était bien établi : préparation des pâtes à la Carbonara, mise en place de la table, préparation des boissons, et lancement du jeu. Ce soir-là l'ambiance était particulièrement chaude pendant la partie : Cédric, nous mettait plus qu'à l'accoutumée dans des situations où la séduction de nos personnages était mise à rude épreuve. Rien n'est innocent quand on a une vingtaine d'année et qu'on interprète des personnages qui interagissent charnellement! Surtout quand les deux garçons du groupe fantasment sur deux des trois filles : nous considérions tous les deux Cécile et Céline comme des canons, à la différence près que Cédric sortait avec l'une des deux.

La tension sexuelle était donc à son comble quand l'heure de nous coucher fut venue, en particulier pour moi. Laetitia dormait dans sa chambre, et partageait son lit pour l'occasion avec Cécile. Cédric et Céline dormaient sur un matelas gonflable dans le salon, où je dormais sur le canapé.

Le calme se fit rapidement dans la chambre, et, connaissant Cédric et Céline et leur appétit sexuel, je fis rapidement semblant de dormir également. Je ne m'étais pas trompé : rapidement Cédric prit la main de Céline pour la poser sur son sexe. Un peu réticente au début, elle accepta de se prêter au jeu et commença un très lent va et vient, dont je ne pouvais voir les effets que par les légers soubresauts du drap. Mais Cédric ne comptait pas se contenter d'une masturbation : il prit bientôt la tête de Céline et, après l'avoir embrassé, ou plutôt après lui avoir dévoré la bouche façon Rocco Siffredi, sans aucune sensualité ni aucun romantisme, il l'attira vers son soldat au garde-à-vous.

Céline descendit donc de façon très féline et lascive, en se frottant de tout son corps contre celui de Cédric, qui commençait déjà à pencher sa tête en arrière sous l'effet de l'excitation. La séance de jeu de rôle, qu'il avait menée d'une main de maître vers les limites de l'érotisme, avait produit son effet : il était excité comme rarement, et comptait bien profiter des jolies courbes de sa sensuelle compagne. Toujours en faisant semblant de dormir, j'ouvris très légèrement les yeux pour observer le drap descendre avec Céline, jusqu'à ce qu'elle atteigne l'entrejambe de Cédric, qui fermait maintenant les yeux.

Céline entreprit de faire monter l'excitation en caressant le sexe raidi de Cédric avec ses cheveux pendant qu'elle lui enlevait son caleçon, et continua la même caresse une fois le vêtement enlevé. Je ne sais pas pour Cédric, mais les attitudes de Céline provoquait un véritable feu intérieur en moi : mon sexe, raidi lui aussi, tressautait sans que je n'ai besoin de le toucher. Je répondis à son appel en descendant ma main droite, pendant que mon bras gauche me cachait en partie le visage : je pouvais feindre de dormir sur le dos, et leur cacher mes yeux ouverts et attentifs. La position n'était pas très confortable, mais l'excitation était trop grande pour que cela entrave ma montée inexorable vers les sommets du plaisir.

Cédric quant à lui n'avait visiblement pas besoin d'être excité davantage : il saisit la tête de Céline pour passer de l'excitation à la succion, et pénétra lui-même son sexe dans la bouche accueillante de Céline. Il avait un sexe de longueur moyenne, mais assez large. Mais Céline était visiblement habituée à dompter la bête, et l'enfourna sans difficulté. Elle essayait de rester discrète, de peur de me réveiller ou de réveiller Laetitia et Cécile, qui dormaient à quelques mètres seulement, de l'autre côté du rideau de séparation. Cédric lui ne s'en souciait guère et accentua la profondeur de la pipe en attirant le visage de Céline contre son bassin, qu'il tendit en avant en poussant un long râle de satisfaction.

Après quelques allers et retours bien humidifiés par la salive de Céline, il la fit se relever, pour qu'elle s'installe à califourchon sur lui. Mes cinq sens étaient dans l'émoi le plus profond. La vue tout d'abord, devant la vision du membre turgescent et dégoulinant de salive, sortant de la bouche de Céline, et entouré par ces doigts fins que j'imaginais actifs sur mon propre dard. L'odorat ensuite car l'hygiène n'était pas vraiment le point fort de Cédric et Céline. Dans un autre contexte cela pouvait être gênant, mais ce soir-là, le mélange de l'odeur âcre de la sueur de ces deux corps en ébullition, de l'odeur mielleuse de la chatte trempée de Céline, et de l'odeur un peu rance du mât de Cédric créait un véritable parfum d'excitation. L'ouïe bien sûr était sollicitée par les bruits de succion accompagnant la pipe, trop brève à mon goût, mais délicieusement juteuse, de Céline : que ce soit les clapotis des baisers sur les bourses et le frein, le frottement de la langue sur la hampe, ou le bruit d'aspiration du bâton tuméfié pénétrant loin dans la bouche accueillante, cette symphonie aphrodisiaque me rendait fou de désir. C'était à moi de jouer pour le toucher, en promenant mes doigts sur mon périnée, en remontant ma main sur les bourses, pour finalement enserrer mon sexe comme si je voulais le dévisser du pubis. Je balançais mon sexe de droite à gauche pour qu'il frotte contre le drap, comme si une langue le parcourait, et je remuais mon bassin pour pénétrer le petit réceptacle que formaient les replis de la couverture. Le goût enfin, sollicité dans mon imagination débridée par l'ivresse de l'excitation : je m'imaginais goûter le divin nectar qui sourdait des lèvres intimes de Céline, au bon goût de miel et d'épices.

Tout cela fit monter encore d'un cran mon excitation, et je dus arrêter ma masturbation un moment pour éviter de partir avant les ébats ne commencent vraiment. Céline vint donc s'installer dans la position désirée par Cédric, qui lui empoigna les fesses pour mieux contrôler la profondeur et le rythme de la pénétration. Pour faciliter le contrôle de Cédric, Céline allongea son corps sur lui, et écrasa son opulente poitrine, dont je ne pouvais plus distinguer qu'un morceau de sein aplatit. Céline vint poser sa tête dans le cou de Cédric, de mon côté. Dans cette position, ils ne pouvaient plus me voir : lui parce que la tête de Céline faisait obstacle, elle parce qu'elle se tournait vers lui, je suppose pour lui mordiller l'oreille ou l'embrasser dans le cou. J'avais donc le champ libre pour m'installer confortablement sur le dos, la tête tournée vers le couple, ma main droite s'occupant de mon sexe, et la gauche s'occupant de mes bourses tendues, comme je m'imaginais Céline le faisant pour moi.

Malgré le peu d'entrain que mettait Cédric à donner du plaisir à Céline, trop occupé au sien, je vis Céline se concentrer pour essayer, si ce n'est d'atteindre l'orgasme auquel elle semblait avoir renoncé, au moins de prendre un minimum de plaisir. Cédric commençait à grogner, et faisait claquer les fesses de Céline de plus en plus fort sur son bassin. De par leur position, je ne pouvais malheureusement pas voir l'union de leurs sexes en pleine effervescence, mais la vision globale de leurs deux corps, accompagnée de la respiration rauque de Cédric, suffisait à mon excitation. Je fermai les yeux m'imaginai à la place de mon ami. Je me voyais passer mes mains sur les courbes alléchantes de Céline. Je lui caresserais les bras, en redescendant vers le bassin, je lui empoignerais les fesses pour lui montrer mon désir, je contournerais ensuite ses cuisses pour venir caresser sa toison, et je remonterais lentement sur le ventre, pour, finalement, empaumer ses seins et jouer avec ses tétons proéminents.

J'ouvris les yeux à ce moment, pour recharger ma mémoire de leur vision, avant de retourner dans ma relation virtuelle. Mais la réalité me rattrapa d'un coup : Céline tourna la tête vers moi au même moment, et nos regards se croisèrent. J'étais complètement tétanisé, ne sachant comment réagir. Céline prit l'initiative en me faisant un petit sourire, que je pris pour une invitation à poursuivre mon voyeurisme. Je n'en attendais pas temps, et me tournai un peu plus vers elle, pour lui montrer ma satisfaction. Elle descendit son regard vers les soubresauts du drap, et, d'un petit geste de la tête, m'enjoignit à lui montrer le résultat des émotions qu'elle provoquait en moi. Je dégageai alors le drap rapidement, pour lui montrer mon sexe fièrement dressé. J'ai toujours été complexé par la taille de mon sexe, mais l'excitation était trop grande pour laisser la place à de telles réflexions inutiles.

Elle passa sa langue sur ses lèvres, en signe d'approbation. Je suis persuadé que si je m'étais levé à ce moment pour lui présenter mon sexe, elle l'aurait volontiers englouti. Je suis même sûr que Cédric n'aurait rien eu à redire contre une partie à 3. Mais je n'osai pas : je me contentai de lui offrir le spectacle de ma masturbation en échange du spectacle qu'elle m'offrait depuis tout à l'heure. Mon offrande devait lui plaire, car elle se mit à son tour à respirer plus fort, comme si, enfin, le plaisir s'était débloqué, et acceptait de venir en elle. Elle en remua davantage la croupe, toujours fermement agrippée par Cédric, ce qui eut malheureusement pour effet d'augmenter encore l'excitation de ce dernier, qui ne mit pas longtemps à faire bruyamment part de sa jouissance. Il agrippait encore plus violemment les fesses de Céline, écrasant leurs deux pubis l'un sur l'autre, dans un long râle qui n'aurait rien à envier au brame du cerf au fond des bois!

Je pus lire sur le visage de Céline un mélange de plaisir, sous l'effet de l'augmentation de la violence de Cédric, et certainement également sous l'effet des jets de semence qu'elle recevait dans son vagin, et de déception devant l'arrivée prématurée de la jouissance de Cédric. Elle tenta de poursuivre la pénétration pour jouir à son tour, mais Cédric, après un dernier râle, correspondant certainement au dernier soubresaut de son sexe repus, força Céline à se relever, l'embrassa sur la bouche, comme un maître satisfait donnerait une petite tape à son chien, et se mit sur le côté pour dormir, ce qu'il fit quasiment dans la minute.

Heureusement pour Céline et moi, Cédric laissa Céline entre nous deux, et me tourna le dos. J'étais déjà proche de la jouissance, même si l'arrêt brutal du coït voisin avait quelque peu freiné l'arrivée de mon orgasme, pour mon plus grand bonheur.

En effet Céline attendit que Cédric donne tous les signes d'endormissement, après avoir vainement tenté d'utiliser son corps pour atteindre la jouissance. Comme il n'y avait rien à faire, Cédric étant mufle jusque dans son sommeil, elle tourna sa tête vers moi, avec un regard de supplication : j'étais sa seule chance d'atteindre l'orgasme (Céline n'étant en effet pas une adepte de l'onanisme). Je lui rendis son sourire et l'invitai à s'approcher. J'abandonnai mon sexe et tendis ma main vers elle. Il n'était pas question, à ce moment, de faire l'amour avec elle. D'une part parce que Cédric était juste à côté, et d'autre part parce que le canapé avait une armature en métal affreusement bruyante!

Céline approcha donc sa tête, pris mes doigts en bouche et mima une lente fellation en me regardant dans les yeux. Je crus défaillir tant la sensualité qui émanait de son regard me rendait fou. Elle approcha sa tête de la mienne et me donna un baiser. Pendant que sa langue combattait la mienne pour gagner de l'espace dans le bloc que formaient nos deux bouches unies, je dirigeai ma main droite vers son entrejambe d'où s'écoulaient d'importants flots de sperme dont Cédric venait de lui faire généreusement don. Je commençai par parcourir ses grandes lèvres de mon majeur, ou tout du moins l'endroit où elles devaient se trouver : Céline était tellement excitée que sa chatte était ouverte comme une rose. Mon majeur glissa donc depuis son périnée jusqu'au clitoris, le long de l'entrée de sa vulve. Je découvris un clitoris qui me parut énorme, et surtout très sensible : elle eut un léger mouvement de recul lorsque la pulpe de mon majeur atteint son organe complètement sorti de sa gangue protectrice.

Elle plaqua sa bouche de plus belle contre la mienne, et empoigna mon sexe de sa main droite. Elle fit un geste pour, semble-t-il, poser sa bouche sur mon sexe, mais elle dut se résoudre à garder nos bouches soudées pour éviter de crier sous l'effet de mes caresses. Le clitoris amplement lubrifié roulait aisément sous mes doigts. Elle ondulait du bassin sous ma main droite, ce qui me laissa suffisamment d'espace pour placer ma main gauche sur son sein droit. Je pus apprécier son imposant volume, et sa voluptueuse douceur. Dans notre position, je ne pouvais pas caresser ses deux seins, je devais me contenter d'un seul. Je mis donc deux fois plus d'ardeur à le titiller, le pincer légèrement, et parfois même plus violemment, guidé par les soupirs de contentement de la belle brune, qui serait mienne le temps d'une masturbation réciproque.

Je dus me concentrer sur le plaisir que je donnais à Céline pour ne pas céder au mien trop rapidement. J'empoignai donc fermement le sein droit de Céline, en laissant mon pouce et mon index libres de lui pincer, et quasiment de lui masturber, le téton durci. Dans le même temps je lui enfonçai deux doigts dans son vagin béant, tout en écrasant son clitoris de la paume de ma main. Je sentais ma main se tremper davantage, signe que sa mouille s'ajoutait maintenant aux restes de sperme de Cédric sur son con brûlant. Des deux doigts fichés dans son vagin je grattais la paroi interne, son point G, visiblement aussi sensible que son clitoris. Céline essayait d'accentuer cette double sensation en remuant frénétiquement le bassin, sa bouche toujours écrasée sur la mienne, pour masquer les râles qui venaient de ce fait mourir dans le fond de ma gorge.

Après quelques minutes de ce traitement, elle arrêta quasiment la masturbation de mon sexe, toujours aussi tendu, pour mieux ressentir sa jouissance, sur le point d'éclater. Elle agrippa mes cheveux de sa main gauche, avec laquelle elle tenait son sein gauche jusqu'à présent. Elle fut soudainement prise de spasmes, et laissa éclater son orgasme, pendant que j'enfonçai le plus loin possible mes doigts dans son vagin, tout en comprimant ma paume sur son clitoris. J'agrippai la chatte de Céline comme si ma vie en dépendait, pendant que ma main gauche s'accrochait toujours à son sein droit. Elle ne se contrôlait presque plus : juste assez pour ne pas crier. Le reste de son corps ne lui appartenait plus. Ni son bassin qui remuait dans un automatisme érotique, recherchant les meilleurs points de contact, ni sa bouche qui avait pris son indépendance pour poursuivre un baiser fougueux, empli de la salive qu'elle ne parvenait plus à retenir, ni sa main droite qui comprimais mon sexe, comme si cette prise était la seule chose qui lui permettait de ne pas tomber à la renverse.

Quand enfin les spasmes s'arrêtèrent, j'enlevai délicatement ma main droite du fourreau brûlant et trempé, en conservant le contact le plus longtemps possible avec son corps : j'écartai les doigts pour caresser les lèvres intimes gorgées de sang, remontai doucement dans l'aine puis sur les hanches, pour revenir plus au centre et empaumer son sein gauche, pendant que le droit était toujours emprisonné dans mon autre main. Je remontai enfin ma main droite dans la gorge de Céline, via le sillon de ses seins. En la tenant par la gorge, je l'approchai à nouveau de moi pour l'embrasser, calmement cette fois.

Elle lâcha alors mes cheveux, et prit ma main pour l'amener elle-même à sa bouche : du bout de la langue elle nettoya délicatement mes doigts trempés du mélange de mouille et de sperme dont ils étaient maculés. Puis elle emboucha mes doigts pour la toilette finale, en me regardant avec insistance, comme pour me demander si je voulais qu'elle applique le même traitement à un autre organe dressé vers elle. Je répondis évidemment d'un regard approbateur.

Elle approcha alors sa bouche de mon sexe, souffla dessus, et, au moment de le prendre en bouche, esquiva rapidement pour gober mes testicules, non sans laisser traîner sa langue qui, dans le mouvement, vint effleurer mon méat dilaté et mon frein ultrasensible. Elle aplatit alors sa langue pour me lécher de la base du pénis jusqu'au sommet, et redescendit finalement la bouche sur mon sexe qui n'attendait que ça. Mon excitation était à son paroxysme et je savais qu'il ne faudrait pas longtemps pour que je jouisse à mon tour. Je soupirai un "Attention" pour la prévenir, mais elle ne tint pas compte de mon avertissement.

Elle entama un lent va et vient sur toute la longueur de mon sexe. Habituée à sucer un sexe plus long et plus large que le mien, elle n'eut aucun mal à me pratiquer une fellation comme je n'en avais jamais subie. Elle aspirait littéralement mon sexe dans sa bouche, pendant que sa main droite me caressait les couilles. Son petit doigt traînait négligemment sur mon périnée, ce qui accentua encore l'érotisme du moment. Elle avait conservé ma main droite dans sa main gauche, comme une marque de complicité sur l'intense moment que nous étions en train de vivre. C'était également pour elle une façon de mesurer mon plaisir au gré des pressions que j'exerçais bien involontairement sur sa main.

Finalement il me fallut encore moins de temps que Cédric pour exploser. Elle s'y était préparée, et serrait ma main pour me montrer que je pouvais me lâcher, qu'elle m'attendait, qu'elle me désirait. Je n'eus pas besoin d'autre confirmation et lâchai ma semence en puissants jets dans sa bouche. De sa main droite experte, elle me pressait les couilles, pour en extraire tout le jus, et tirai sur la peau de mon sexe, pour le décalotter au maximum et mieux profiter de mon gland en éruption. Après trois énormes jets, suivis de quelques répliques de plus faible intensité, Céline aspira une dernière fois mon sexe pour n'y laisser aucune goutte de sperme, et retira sa bouche en la gardant fermée.

Elle n'eut pas le temps de faire autre chose : Cédric se retourna vers nous en tendant le bras, visiblement à la recherche de sa moitié. Je replaçai rapidement le drap sur moi, et lâchai Céline à contrecœur pour la laisser retourner dans son lit. Ne pouvant se défaire de mon sperme, elle l'avala d'un trait et se recoucha à côté de Cédric, qui la prit sous son bras, comme si elle n'avait jamais quitté le lit. Je m'endormis heureux, après un dernier regard croisé avec Céline, chacune remerciant l'autre de ce moment d'extase. J'appris par la suite que Céline n'avalait jamais le sperme de Cédric. Elle avait bien sûr déjà essayé à sa demande, mais depuis elle préférait le recracher dans l'évier. Ce bruit de crachat et d'eau était d'ailleurs, pour moi, un signe que Céline avait fait une gâterie à Cédric. Mais cette fois, c'est à moi qu'elle l'avait faite, la gâterie, et Cédric lui-même l'avait involontairement forcée à en avaler le résultat.

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