Brian est en Irak Ch. 06

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l'asservissemnt de Kim se poursuit, fin du calvaire.
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Partie 6 de la série de 6 pièces

Actualisé 05/05/2022
Créé 09/23/2007
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Brian est appelé en Irak Ch 6

Brian is gone

Coulybaca / Vulgus

Chapitre 6 : l'asservissement de Kim se poursuit, fin du calvaire.

Tout le jeudi je préoccupais d'une manière ou d'une autre du chemin ma vie avait emprunté de façon brutale.

Je ne pouvais rien y faire.

Puis en rentrant chez moi, je pensais à mes deux gentils voisins me demandant s'ils allaient vouloir de moi ce soir.

Je tentais d'éviter de penser au pénible week-end qui m'attendait, j'étais terrifiée de le voir arriver si vite.

Dès rentrée je me servis à boire, je grignotais des tranches de pizza froide que j'avais gardée de la veille tout en sirotant une large rasade de rhum.

Puis alors que j'allais me rendre dans ma chambre pour changer de tenue, on frappa à ma porte, je retournais dans le hall pour ouvrir la porte sur Nick.

Il me dit :

- Je me suis juste arrêté un instant... J'ai discuté avec Bill et nous avons décidé de te prendre dans ton appart... Bill t'avait baisé en premier hier soir lorsque je t'ai brouté le minou, je veux passer en premier ce soir ainsi je pourrais savourer le véritable goût de ta chagatte!

Je lui répondis :

- J'étais juste sur le point de prendre un bain, je viens tout juste de rentrer après ma journée de travail, tu peux comprendre cela!

Il grimaça et répliqua :

- Je ne crois pas que tu travailles si dur que ça, allons dans ta chambre.

Je rentrais avec lui dans ma chambre et repoussais les couvertures au pied du lit.

Il s'assit sur mon lit et me regarda me déshabiller avec attention, puis il se déshabilla à son tour et vint me rejoindre dans le lit.

Il entreprit de me rouler des patins et de me peloter gentiment, et tout comme avec Bill la veille au soir cela me plût beaucoup.

Je ne me sentais pas contrainte et bien que j'aurai aimé qu'il me laisse me nettoyer auparavant.

Je ne sais pas pourquoi.

Pourquoi voulais-je être propre pour cet homme qui me faisait chanter pour copuler avec moi!

J'e me sentis déstabilisée lorsqu'il commença à m'embrasser la foufoune, il se redressa me sourit et commenta :

- Exactement ce que je pensais, une chatte de première compétition, elle a le même parfum que les fleurs du parc!

Puis entreprit de me bouffer le gazon, j'étais incapable de résister à ce traitement enivrant, exactement comme la nuit dernière.

Je m'arc-boutais pressant ma chagatte contre son visage et je jouis intensément sous les ensorcelantes caresses de sa langue.

Je continuais à jouir lorsqu'il cessa son manége, se redressa et fourra sa grosse queue dans ma chatoune embrasée.

Je rebondissais d'orgasme en orgasme avant que lui-même ne jouisse, ce qui ne prit pas très longtemps.

Lorsqu'il eut joui, il s'immobilisa au-dessus de moi en appui sur ses bras et ses genoux de façon à ce que seuls nos pubis et nos jambes se touchent.

La tête tirée en arrière, il avait les yeux clos, nous sommes tus pendant une bonne minute puis il s'esclaffa.

- Mon Dieu que tu es chaude!

Il ouvrit ses yeux en grand baissa son regard sur moi et commenta :

- Quand Bill m'a montré tes photos et me suggéra qu'on pourrait, peut-être se régaler de ton succulent petit cul, je pensais qu'après tous les gars qui t'avaient sautés, je ne serai sûrement pas le plus miteux! .... Tu as vraiment une chatte sensationnelle! Et ce n'est pas pour te flatter!

J'en riais presque, bien sur le compliment était gros, mais cela me rendait de l'assurance, de la confiance en mes charmes.

J'étais vraiment effondrée après le dernier week-end, angoissée d'avoir ma chatoune définitivement distendue par les énormes bites que j'avais endurées.

Il y avait peut être encore de l'espoir pour moi!

Nick se leva et entreprit de se rhabiller, il me dit :

- Tu ferais aussi bien de rester ici, laisse ta porte entrouverte, Bill ne va pas tarder!

Je me relevais et acquiesçais :

- D'accord, mais je dois d'abord me rendre dans la salle de bain.

Je gagnais la salle de bain et laissais s'écouler le trop plein de foutre qui engorgeait ma cramouille.

Je me nettoyais la fentine avec un gant de toilette humide, lorsque je retournais dans ma chambre, Nick était parti.

Je m'assis au bord du lit deux minutes plus tard Bill se pointait.

Il se déshabillait déjà en entrant dans la chambre, il empila ses vêtements sur la chaise la plus proche du lit puis s'assit et me dit :

- J'ai adoré ta façon de sucer ma bite, veux-tu bien recommencer ma douce!

Je me postais entre ses cuisses et pris facilement son chibre dans ma bouche.

Elle me rappelait ces énormes bites que j'avais été obligée de sucer quand j'étais garrottée au club photo.

Je pense que c'est le contraste en leurs attitudes qui me frappaient.

Après une telle nuit, sucer une bite de taille normale me semblait si facile.

Cela dura un peu plus longtemps que la veille au soir, mais pas beaucoup en fait.

Une fois que j'eus savouré sa semence il se laissa tomber à plat dos sur le lit et je gardais sa bite en bouche jusqu'à ce qu'elle fut molle.

J'écartais ses cuisses et j'entrepris de lui mignoter les burnes, quelques minutes plus tard, sa bite frémit de nouveau, je le repris en bouche lui rendant alors toute sa vigueur!

Il se redressa et m'allongea sur le lit, un instant plus tard il m'enfourchait et guidait sa bite raidie dans ma chatoune détrempée.

Il ma labourait bien plus lentement que la veille, je le sentais bien, je savais que je ne jouirai pas tout de suite, pas en adoptant ce rythme, pas sans préliminaires.

J'aurai voulu le chevaucher pour l'étreindre entre mes bras et régler un rythme de chevauchée plus rapide et plus ample qu'il jouisse rapidement.

Je le tenais étroitement serré, ce n'est que lorsqu'il eut joui que je relâchais mon étreinte le laissant rouler sur le flanc.

Il demeura étendu à mon coté quelques instants, reprenant son souffle puis il se redressa et s'assit sur le rebord du lit.

Finalement il se releva et se rhabilla.

Il baissa les yeux sur mon corps en sueur alors qu'il s'habillait et, après un long silence il constata :

- Je sais que je devrais me senti coupable... Je ne suis pas quelqu'un de mauvais! .... Je n'ai jamais fait chanter qui que ce soit! ..... Mais tu es si bandante! ..... Je te désire depuis la première fois que je t'ai vue! .... Tu es la plus jolie femme que j'ai jamais vue! .... Je suis désolé de t'avoir fait violence, mais je n'ai pas pu m'empêcher de te posséder!

Je ne savais pas quoi lui répondre, il me complimentait bien sur, mais je ne pouvais tout de même pas lui dire qu'il avait eu raison de me faire chanter pour m'obliger à coucher avec lui, d'autant plus que cela risquait de durer les 9 mois à venir avant le retour de mon mari et qu'il ne nous tue tous les trois!

Une fois qu'il m'eut laissée, je pris une douche, j'étais trop fatiguée pour prendre un bain, je n'avais qu'une envie me coucher et dormir!

J'étais tout aussi distraite le lendemain à mon boulot. Cela empira encore lorsqu'au retour de mon repas de midi je trouvais un paquet sur mon bureau.

Je m'assis et braquais mes yeux sur ce colis.

Il était entouré de papier kraft, il n'y avait aucune indication de sa provenance.

J'avais peur de savoir ce qu'il contenait.

Je ne savais pas comment il avait pu dénicher l'adresse de mon lieu de travail, mais j'étais terrifiée à l'idée qu'il l'ait trouvée et m'ait laissé ce paquet cadeau.

J'ouvris un tiroir de mon bureau et me préparais à le ranger dedans.

Je le posais dans le tiroir et entrepris de le refermer mais n'y parvins pas.

Il fallait que je sache.

Je le posais à nouveau sur mon bureau et coupais la ficelle qui le tenait fermé, je jetais un coup d'œil circulaire pour vérifier que personne ne me prêtait attention, et je le déballais.

Comme je le craignais, c'était un envoi de Tom.

Le paquet contenait une boite que j'ouvris suffisamment pour voir ce dont il s'agissait, il était écrit sur le couvercle "Esclave sexuelle" en grosses lettres noires.

J'étais sur le point de m'évanouir, je me rassis lourdement, pris une forte respiration et me forçais à calmer les battements désordonnés de mon cœur.

Je jetais un oeil cherchant à voir ce qui se cachait sous le couvercle, c'était un nouveau pagne style bordel.

Il était encore pire que ceux que j'avais déjà été obligée de porter.

Des petits pans de tissu ronds étaient sensés cacher mes appâts, même debout sans bouger, je paraîtrai nue lorsque je les porterai.

J'allais refermer la boite lorsque je vis quelque chose d'autre sous la minuscule jupe.

C'était une minuscule pièce d'étoffe. C'était un Thong, j'en avais jamais porté bien que j'en aie déjà entendu parler.

C'était presque un string, sauf qu'aucun tissu ne cacherait mon pubis, je trouvais alors un court message.

J'entendis quelqu'un descendre le hall dans ma direction, je saisis le message et rangeais prestement le paquet dans mon tiroir.

L'homme qui descendait le hall tourna avant d'arriver à mon box et je respirais profondément à plusieurs reprises avant de pouvoir lire le message de Tom.

Il me rappelait seulement d'être chez lui le lendemain matin à dix heures.

Je devais porter les vêtements qu'il m'envoyait ainsi que hauts talons les plus hauts.

Je rangeais son message dans mon sac à main repris le colis et le refermait.

Puis je jetais un oeil sur l'horloge murale, je pourrai sortir dans une heure.

Je m'assis derrière mon bureau, je tremblais comme une feuille les yeux rivés à l'horloge.

Lorsqu'enfin la fin du boulot sonna, hébétée, je rejoignis ma voiture j'essayais de me souvenir s'il me restait du rhum à la maison.

Je ne parvenais pas à réfléchir clairement.

Aussi me suis-je arrêtée en chemin pour acheter une bouteille de rhum au cas où, je ne pensais pas que ce serait superflu.

Je rentrais chez moi et me servis tout de suite un rhum coca, c'est à cet instant qu'on frappa à ma porte.

- Eh merde! M'exclamais-je avec nervosité.

J'ouvris la porte et fis entrer Bill.

Il me reluqua de la tête aux pieds se rendant compte de mon extrême nervosité et me demanda :

- Que t'arrive-t-il de moche pour que tu affiches cet air angoissé!

Je terminais de préparer mon cocktail dont je bus une grosse lampée et lui tendais le message lui désignant le colis posé sur le plan de travail.

Il lut la courte note puis après m'avoir lancé un regard inquisiteur il ouvrit le paquet et en sortit les 3 pièces de vêture.

Il voulait me montrer sa compréhension mais ne pouvait s'empêcher de bander comme un cerf, saleté d'homme!

Il déplorait ma situation, mais il ne pouvait s'empêcher de tirer avantage de cette situation.

Il empoigna mon paquet et mon verre de rhum et me poussa dans ma chambre, il posa alors le verre sur ma table de nuit et m'enjoignit :

- Essaye ta tenue que je vois ce que ça donne!

- Salaud de trou du cul Pensais-je furieuse.

Puis, je me déshabillais entièrement et enfilais le microscopique thong, avec sa minuscule pièce de tissu transparent qui ne me couvrait qu'à peine la fente.

Elle mesurait environ 5 cm de long et moins d'un cm de large! Je réalisais que je devrais me raser la toison avant de le mettre.

J'enfilais ensuite la minuscule jupe, l'avant commençait au haut de mes hanches et les décrivait un demi-cercle, je devais descendre la taille bien au-dessous de mon nombril si je voulais qu'elle couvre un tant soi peu mon intimité.

L'arrière était encore plus court et coupait en deux mon fessier.

Elle ne mesurait pas plus de 8 cm dans le dos, et, lorsque je me tournais vers mon miroir je vis que même poussée au plus bas elle montrait au moins 5 cm de ma croupe.

Puis j'enfilais, le haut miniature, il était aussi riquiqui que le reste, il ne servait qu'à mettre mes nibards en évidence.

Mes tétons étaient voilés tant que je ne bougeais pas, mais dès que je faisais un mouvement!

Je doute que même des putes acceptent de porter une tenue aussi dégradante!

Je m'assis sur le lit et la tête entre mes deux mains je pleurais tout mon saoul.

Bill pouvait bien se sentait fort gêné pour moi, mais pas assez cependant pour ne pas contempler ma chatoune exhibée largement, il me dit :

- Je dois admettre que tu parais vachement chaude! .... Bordel!

Il saisit le téléphone à la tête de mon lit et appela Nick, lui disant de venir nous rejoindre sur-le-champ, il fallait qu'il voie quelque chose.

Lorsqu'il eut reposé le combiné je le regardais dans les yeux et le remerciais ironiquement! :

- Merci, grand merci pour ton aide! .....

Il sourit et haussa les épaules.

Nick arriva sur ces entrefaites.

Il me fit lever et parader dans ma nouvelle tenue, puis ils se mirent tous deux à poil.

J'enlevais ma légère tenue et me disposais selon leurs vœux à quatre pattes sur le lit ils me prirent alors à deux en même temps tout comme sur les photos qu'ils venaient de voir.

Ils jouirent tous deux rapidement et commutèrent leurs places tout aussi prestement.

Heureusement le tout ne dura guère plus d'un quart d'heure et ils me quittèrent ravis commentant avec enthousiasme ma nouvelle tenue.

Je les entendais plaisanter projetant que les prochaines photos seraient vraiment excitantes.

Quels bâtards!

Je vidais mon verre et pris une douche, puis je regagnais la cuisine et me préparais un autre verre.

Je n'avais pas vraiment faim, je suivais un sévère régime à base de foutre depuis peu.

Je décidais de me préparer un sandwich au thon que je mangeais sur le plan de travail de la cuisine avant de regagner ma chambre en emportant le reste de mon verre.

Je m'assis sur le lit et regardais fixement la nouvelle tenue que j'avais posée sur ma desserte.

Je sirotais mon verre me demandant ce que le proche avenir me réservait, je commençais à penser que les choses ne pouvaient plus empirer!

Ces bâtards du studio photo avaient posté mes photos sur internet et y déposeraient bientôt l'horrible film de mes performances qu'ils avaient tourné.

Des gens de ma connaissance risquaient de tomber sur ces images et ce film.

Pourquoi, dans ces conditions, ne pas dire à Tom d'aller se faire foutre?

Je ne pouvais cependant pas aller plus loin que le penser.

Ce que Brian penserait s'il découvrait ces images suffisait à me retenir, je savais pertinemment qu'en cas de révolte ce bâtard de Tom lui enverrait inévitablement les photos et films à sa disposition. Je n'avais aucun doute à ce sujet!

Je savais aussi que mon père ferait sûrement une attaque s'il venait à les voir, je ne sais pas si je perdrai mon boulot dans l'aventure, mais le contraire m'étonnerait.

Je devais retourner là où j'avais été piégée!

Le lendemain matin je me levais tôt et enfilais ma nouvelle tenue, je jetais un oeil à l'extérieur, à ma grande consternation le parc grouillait de monde ce samedi matin.

Beaucoup de gens, beaucoup d'enfants se baladaient pour jouir du soleil matinal, je savais que j'allais sacrément les perturber en descendant aussi peu vêtue, j'attendais jusqu'au dernier moment puis je sortis et me ruais sur ma voiture.

Les chalands se figèrent me toisant yeux grands écarquillés, exactement comme je m'y attendais, mais je parvins à rejoindre ma voiture sans aucun problème.

A la vue de l'expression choquée des mères de famille je savais déjà qu'il y aurait sans doute des répercussions.

Je gagnais l'appartement de Tom et frappais à sa porte.

Les trois mecs habituels se trouvaient là, je suppose que Harry et John ne faisaient pas vraiment partie de la bande.

Dès que j'entrais, ils détaillèrent ma nouvelle tenue et me complimentèrent sur ma chatte rasée.

Puis, je taillais tout de suite une pipe à chacun d'eux.

Lorsqu'ils se furent tous trois vidés les couilles dans ma gorge, Tom me dit que nous allions passer la matinée et le début d'après-midi comme la semaine dernière.

Nous allions à la piscine où je devrais accueillir tous les amateurs de mes charmes.

Il me dit qu'il avait réalisé que 15 minutes dans les appartements c'était trop peu et qu'il allait faire la part des choses, il faudrait que je m'adapte aux vœux de mes "amis»

Il me tendit un flacon de lotion solaire et une cannette de bière me disant :

- Tu vas te comporter comme la dernière fois, tu te rappelles bien des règles? .....

Je hochais la tête et ils gagnèrent la porte.

Je criais :

- Attendez! ..... Où est mon maillot de bikini? ....

Tom me sourit et répliqua :

- Aujourd'hui tu enlèves ta jupe et tu gardes ton cache-sexe comme maillot... Rappelle-toi si tu ne fais pas baiser par des mecs à chaque demi-heure, on se chargera de te dresser le cuir et maintenant magne-toi le cul! ....

Pendant une bonne minute j'en eus la respiration coupée.

Je me forçais à respirer profondément puis, je replaçais le haut du bikini sur ma poitrine.

Je luttais contre les larmes alors que je sortais de l'appartement en parcourant du regard la piscine.

La foule était nombreuse et je reconnus plusieurs gars qui m'avaient baisé la dernière fois.

Les étudiants étaient là et ils s'excitaient comme des poux en me voyant arriver.

Je vis aussi le vieux gentleman qui s'était intéressé à ma situation mais m'avait baisée malgré tout, et les deux jeunes noirs qui m'avaient pris en sandwich.

Je ne parvenais à regarder personne alors que je déboutonnais ma jupe et la jetais sous mon siège.

J'entendais mes voisins murmurer d'une voix étouffée :

- Oh mon dieu!

Et les femmes d'ajouter :

- Regardez cette salope!

C'était dit à voix à peine intelligible.

Même si au son de leurs voix je ne comprenais pas tout ce qui se disaient je comprenais parfaitement ce qu'ils pensaient.

Je m'assis et but une large lampée de bière.

L'idée de devoir traverser une partie de la piscine dans cette tenue hyper provocante, quasiment nue aux yeux de tous, était presque au-dessus de mes forces.

J'étais si horrifiée que je me demandais si je n'allais pas m'enfuir de ces lieux.

J'espérais que quelqu'un viendrait rapidement me chercher pour m'emmener dans son appartement avant que sois obligée de piquer une tête dans la piscine.

J'estimais qu'il vaudrait mieux me faire sauter en privé que de parader autour de la piscine avec mon micro-maillot mouillé.

Mon souhait se réalisa assez rapidement, l'un des étudiants se dirigea vers moi et se pencha sur moi, il souriait bêtement, mais il savait très bien ce qu'il voulait.

Je levais les yeux sur lui et il m'apostropha :

- Esclave sexuelle? .... Cela veut-il dire que tu doives obéir à n'importe qui? ....

Je hochais affirmativement la tête.

- C'est parfait, allons-y!

Je posais ma cannette sous ma chaise et attrapais ma jupe, je me levais et me disposais à l'enfiler, mais il coupa mon élan :

- Non, tu n'en as pas besoin, tu parais si chaude du cul dans cette tenue!

Je jetais un oeil vers Tom qui me sourit.

Je posais ma jupe sur ma bière et je suivais le jeune gaillard encadrée par ses sept amis.

Je me sentais un peu mieux de marcher au milieu de ces jeunes abrutis qui cachaient mon minuscule thong aux yeux des baigneurs.

Je n'avais aucune envie de copuler avec eux, mais je ne pouvais oublier cette galère de la semaine la semaine dernière avant que je ne tourne dans cette maudite vidéo.

Ils se déshabillèrent prestement ne perdant pas une minute pour me sauter.

A quatre pattes je fus embrochée par deux mecs en même temps, un en bouche un autre en chatte, ils ne se contrôlaient pas plus que la semaine dernière, cela n'excéda pas le quart d'heure pour les satisfaire tous les huit.

J'utilisais la salle de bain lorsqu'ils en eurent fini avec moi puis ils m'escortèrent de retour à la piscine.

Je repris place sur ma chaise et vidais ma cannette de bière qui commençait à tiédir.

Il m'en restait assez cependant pour estomper le goût de foutre que j'avais en bouche, puis arriva le moment de piquer une tête dans la piscine.

Je savais qu'il était interdit de ne porter qu'un thong dans de nombreux endroits, mais j'ignorais le règlement en ce qui concernait les piscines de quartier.

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