Brian est en Irak Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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Je sentis qu'on me tapotait les fesse, je levais les yeux.

Tom me regardait affichant un air de dégoût sur son visage il me dit alors :

-"Plonge ton cul sous la douche et nettoie-le! .... Tu pues le sperme! ....."

j'essayais par deux fois de me relever, mais je n'y parvins pas.

Finalement Tom se baissa m'empoigna les cheveux et me mit sur pied.

Il m'enleva mes menottes et me poussa vers la porte.

Je chancelais, mais je me débrouillais pour m'appuyer contre le mur.

Je m'arrêtais une bonne minute pour reprendre des forces, je vis avec surprise que pas une goutte de sang ne décorait mes cuisses.

Mes jambes tremblaient follement, je ne parvenais pas à les contrôler, je chancelais tout le long du mur et passais la porte pour gagner la salle de douche.

Je m'assis sur le bidet laissant le foutre s'écouler hors de ma cramouille.

Une grosse partie s'était déjà écoulée sur mes cuisses

mais la dose qui sortit encore de ma moule et de mon trou du cul s'avérait impensable.

Il y avait bien un quart de litre flottant à la surface du bidet lorsque je me relevais pour m'installer sous la douche.

Je pris une douche aussi chaude que je pus l'endurer, et après m'être nettoyée, je restais encore un bon moment sous la douche, pleurant tout mon saoul.

Je ne sais pas combien de temps je restais sous la douche avant que ne survienne Tom qui m'intima :

-"Si tu ne te magnes pas le cul il va t'arriver des bricoles ma petite chérie! ...."

Je le regardais comme l'idiot qu'il était et je fermais le robinet.

Je me séchais et regagnais la pièce ou je venais de me faire si copieusement violer.

Alors que j'entrai, Rory me jeta mon top et mon pagne, je les enfilais prestement.

Je jetais un coup d'œil circulaire et retrouvais mes sandales contre l'une des murs, je les chaussais tout aussi rapidement.

Le gérant et Tom discutaient encore entre eux, et quel que ce soit le sujet de leur conversation, cela les faisait bien rire, ils se turent à mon approche et dès que je fus prête, nous quittâmes le studio.

Je m'assis à l'arrière avec Steve et regardait par la fenêtre alors que Tom nous reconduisait à l'appartement.

Je pensais qu'ils me laisseraient partir cette fois, je ne voulais pas croire qu'ils voudraient encore me toucher après ce que je venais de subir.

Il semble toutefois qu'ils avaient vraiment apprécié ma performance et qu'ils ne voyaient pas pourquoi trois fellations de plus me poseraient problème! ....

Ils descendirent tous trois leurs pantalons sur leurs genoux et s'assirent, j'allais de bite en bite les suçant chacun à leur tour.

Puis cette fois ils m'autorisèrent à les quitter.

Tom me dit que e pouvais me reposer pendant une paire de jours, et qu'il n'aurait probablement pas recours à mes services avant le week-end prochain.

Sinon, il m'appellerait sur mon portable, mais en principe je ne devais revenir à son appartement que le samedi suivant à 10 heures.

Je pris mon sac et sortis pour me ruer dans ma voiture.

Je n'étais pas capable de conduire pour l'instant.

Je pleurais beaucoup trop.

Quelques personnes s'arrêtèrent en me voyant effondrée, et me demandèrent si ça allait, je hochais la tête et les ignorais.

J'étais pourtant au trente sixième dessous, j'avais terriblement mal, aussi bien mentalement que physiquement.

Je me demandais comment je pourrai revenir le week-end suivant! ......

Je ne pouvais m'empêcher de repenser aux dernières paroles du gérant du studio.

Qu'avaient-ils programmé qui soit encore pire que ce que j'avais enduré? .....

Qu'est ce qui pouvait s'avérer pire que ce qu'ils m'avaient obligé à subir? .....

Lorsque je parvins à me calmer, je pris la route pour rentrer chez moi.

A ma grande surprise je constatais à la montre de ma voiture qu'il était plus que 23 heures.

Ce serait dur de me lever pour aller au travail le lendemain.

Je ne savais pas si j'y parviendrai.

Je savais que j'aurai une sacrée chance si j'étais capable de marcher ou m'asseoir demain matin, ou bien même de parler ou de penser.

Je n'avais pas essayé de parler depuis la fin de mon calvaire.

J'essayais de dire Hello tout en conduisant, ce ne fut qu'un méconnaissable croassement.

Pour corser le tout, un engourdissement douloureux gagnait ma chatoune et mon trou du cul tant la douleur était forte, et cela empirait de minute en minute.

31 décembre 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

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