Bobbie en campagne éléctorale

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Bobbie s'occupe à nouveau des copains de beau-fils
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Bobbie en campagne électorale

Friend's Pretty Mother - IV

Coulybaca / Black Demon

Cette histoire se suffit en elle-même

Cependant elle est aussi la suite naturelle de

Bobbie prend soin des copains de son beau-fils

(Friend's pretty mother 2)

La campagne pour élire les représentants d'état au sénat allait bon train, le sénateur actuel se retirant au profit de Brian Wilson, son équipe et un groupe de volontaires faisaient activement du porte à porte pour lui gagner des suffrages.

La diffusion de brochures et de tracts étaient très importante, elle présentait une farouche opposition aux autres candidats

Brian savait pertinemment que sa ravissante femme était un excellent atout dans sa campagne, exactement comme si c'était elle la détentrice du siège qu'il détenait.

Chaque sortie publique de sa femme charmait les masses, son charisme séduisait la jeune génération qui se bousculait pour se porter supporters volontaires.

Comme le district des élections sénatoriales était très vaste, Brian avait besoin de toutes les aides possibles, et son équipe de proches collaborateurs estimait qu'elle était la personne idéale pour devenir le fer de lance des volontaires.

Bobbie Wilson était à la tête de différents comités locaux, elle avait gar-dé des contacts avec ses sœurs de confraternité estudiantine, était conseillère de maints clubs de gym féminine elle n'avait même pas à le demander pour que ces groupes se portent volontaire pour aider à l'élec-tion de son mari.

Estimant qu'il avait besoin d'encore plus d'aide, Brian Wilson avait de-mandé à son fils John si certains de ses coreligionnaires de "Roosvelt Hill" aimeraient se porter volontaire dans son équipe.

En tant qu'étudiant de première année à "Roosevelt Hill", John jouait dans l'équipe de base-ball des premières années avec la bande de co-pains qu'il fréquentait depuis l'école primaire.

Ses copains avaient compris à la vue de sa maison et du quartier où il habitait qu'ils n'étaient pas nés du même coté de la barrière.

Son père aurait voulu qu'il passe sa scolarité dans les établissements privés, mais sa mère biologique avait insisté pour qu'il fréquente l'école publique, plus pour emmerder son ex-mari, c'était encore une façon de lui nuire après leur amer divorce.

Et Bobbie sa belle-mère, bien qu'elle voulut le meilleur pour lui, n'avait pas la parole en matière d'éducation.

De ce fait, John, discuta de cette campagne avec ses copains : Jason, Derek, José, Juan, et Sam.

Jason et Derek étaient noirs, José et Juan d'origine mexicaine, et Sam l'Asiatique venait de Chinatown.

En fait, John était le seul blanc de cette petite bande de copains, que beaucoup d'autres élèves craignaient d'affronter.

Peut-être était ce du fait qu'il s'était senti otage du divorce de ses parents qui l'avait amené à se lier avec cette bande de voyous crainte de pas mal de gens.

John était anxieux de voir sa belle-mère réussir dans sa campagne de recrutement de volontaires, aussi lorsque Jason lui dit :

-"Je serais heureux de participer à la campagne d'élection de ton père? ...."

-"Ta belle-mère s'est vraiment montrée très gentille avec nous lors de la petite fête donnée pour ton anniversaire en fin d'année sco-laire... La saison de base-ball est terminée, je pourrai aider ta belle-mère pour cette campagne! ...."

Conscient que sa belle-mère travaillait tard le soir pour mettre la campa-gne au point, il répondit à son pote :

-"On va aller la voir et lui demander comment on pourrait l'aider! ..."

Une journée de travail intense attendait les volontaires, madame Bobbie Wilson leur donnait brochures et tracts à distribuer, et donnait ses ins-tructions à chaque équipe.

Etant donné que certaines zones étaient particulièrement dangereuses pour ses personnes seules, surtout pour des femmes, elle formait des équipes, ou chaque équipier était sensé veiller sur l'autre.

En fait la sécurité de la campagne était sa plus grande préoccupation.

Elle disposait maintenant d'une centaine de volontaires, cette masse grossissait encore, mais le but à atteindre était de 200 volontaires et le recrutement ralentissait.

Quant à Bobbie, elle était bien placée pour savoir à quel point les habitants de ces zones pouvaient être vils et brutaux, spécialement les jeu-nes hommes.

Elle ne voulait pas faire campagne dans ces endroits considérés comme zones de non-lois, mais ils faisaient partie du district sénatorial et chaque voix compterait dans cette élection.

Elle se bornait à regretter que son beau-fils fréquente l'enseignement public d'autant plus que les copains qu'il fréquentait ne se signalaient par leur moralité.

C'est grâce à son beau-fils qu'elle avait connu cet envers du décor, qu'elle avait compris que leur vie était surtout faite de dépravations.

Lors de la dernière fête d'anniversaire de son beau-fils; elle avait tout na-turellement invité ses meilleurs amis, quand bien même elle n'approuvait pas qu'il fréquente ces gaillards particulièrement vulgaires et grossiers.

Tout d'abord il y avait eu cet incident lorsque Derek avait jeté un oeil concupiscent sous sa jupe alors qu'elle se penchait en avant pour servir des parts de pizza

Qu'un jeune homme la reluque aussi audacieusement l'avait affolée.

Son époux tenait à ce que John ait droit à une fête d'anniversaire réus-sie, d'autant plus que cette fête offrirait la possibilité de faire des photos qui seraient très appréciées par les électeurs.

Comme ils seraient deux, son mari et elle-même pour chaperonner la petite fête, Bobbie pensait que tout se passerait pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Et en fait cela se passa très bien, jusqu'au moment où son mari dut s'absenter pour se rendre de toute urgence à une réunion au Capitole.

A l'insu de Bobbie, alors que son mari était parti, les copains de son beau-fils se débrouillèrent pour qu'une somptueuse jeune blonde capte l'attention de son fils et monopolise assidûment sa présence à ses coté.

Puis un de ses "bons amis" les informa que l'un des jeunes avait un malaise, sûrement une overdose! ....

Bobbie, très inquiète le suivit alors qu'il retournait auprès de son pote.

Elle ne fit pas attention au fait que ce dernier se soit réfugié dans sa chambre conjugale où il gisait sur le grand lit en proie à des sortes de convulsions.

A la vue de ses yeux retournés, Bobbie demanda à ses copains d'appe-ler le 911 pour qu'on leur envoie une ambulance.

En se retournant, elle vit le jeune homme raccrocher le téléphone sans avoir passé l'appel puis il referma la porte de la chambre.

C'est alors que le gaillard allongé sur le lit plaqua sa main sur sa bouche, elle s'était retrouvée piégée dans sa chambre conjugale, dans sa propre maison avec ces voyous de banlieue.

Comme son mari avait du partir plus tôt que prévu, son beau-fils s'amusant avec ses autres amis dans l'arrière court, Bobbie se retrouvait sans défense entre les mains de ces jeunes pervers.

Ils déchirèrent sa petite robe d'été, puis la dépouillèrent de ses sous-vêtements, puis le jeune noir qui avait feint d'être malade s'allongea sur elle.

Sa grosse main toujours plaquée sur sa bouche il la pénétra brutalement, ses cris étaient étouffés, personne ne pouvait les entendre à l'ex-térieur de la maison.

Bobbie ne parvenait pas à comprendre comment un jeune gaillard pou-vait être doté d'un tel instrument, il lui distendait douloureusement la fou-foune avec un énorme pénis bien plus grand et plus épais que celui de son mari.

Comme il n'avait pas mis pas de capote, les éventuelles conséquences de ce rapport forcé avec ce bâtard de noir la paniquèrent soudain.

Consciente des horribles conséquences, son humiliation fut d'autant plus grande qu'ils riaient en chœur et la raillaient :

-"Peut-être bien que je vais te coller un petit polichinelle, noir dans le tiroir..." jubilait son agresseur.

A la manière dont il l'avait prise, la grimpant tel un animal il était évident que ce jeune pervers avait une certaine expérience, il se vantait d'ailleurs d'avoir déjà engrossé trois naïves jeunes filles.

Lorsque le jeune voyou noir eut satisfait son lucre en projetant des jets fumants de foutre au fin fond de sa matrice, ce fut au tour du latino de la sauter à son tour, il écarta ses cuises en grand et sans aucune hésitation il plaqua sa bouche sur son entrecuisse qui ruisselait du foutre de son prédécesseur.

Elle n'en croyait pas qu'on puisse être aussi dépravé, il léchouilla sa fou-foune engorgée du foutre de son ami.

Mais bientôt elle se tortilla sous ses caresses labiales, s'arc-boutant, lui donnant le plaisir infâme de la faire jouir en dépit de son dégoût, de sa révolte.

Un à un, les autres trois membres du gang étaient entrés la chambre conjugale pour participer à leur tour au viol de la somptueuse bourgeoise alors qu'un tiers restait de garde dans le vestibule.

Ils l'avaient possédée en bouche, en con et en cul, elle n'aurait pas pu être plus maltraitée.

Et lorsque le dernier jeune voulut la baiser à son tour, voulant se faire sucer comme les autres, Bobbie refusa avec la dernière énergie gardant les dents serrées étroitement alors que le jeune asiate frottait sa bite sur son visage.

Par la suite elle se demanda si elle n'aurait pas mieux fait de sucer sa queue plutôt que de le voir éjaculer à jets nourris sur son visage et dans ses cheveux.

Remerciant le dernier groupe de filles de la fac qui avait distribué des tracs cet après-midi, elle leur en redit un paquet et fixa leur prochain lieu d'intervention pour le lendemain à la fin des cours.

Et, comme la dernière supportrice quittait le local, elle lui demanda :

-" Hey Jenny, met la pancarte "fermé" sur la cliche et verrouille la porte en sortant s'il te plait! .... Eteins aussi les lumières si tu veux bien, je pense que je ne verrai plus de volontaires aujourd'hui... Merci... "

Se tournant pour ranger la table, où étaient rangés tracs et docs, contre le mur du fond, Bobbie les yeux dans le vague sourit en pensant que ce soir elle pourrait enfin rentrer assez tôt chez elle.

Elle était loin de se douter que la porte était restée déverrouillée la pancarte "fermé" suspendue à la cliche.

Jenny venait tout juste de fermer la porte lorsqu'un copain de fac lui indi-qua :

-"John, nous a demandé de passer voir si sa mère avait encore besoin de volontaires pour distribuer des tracts...."

Et l'ingénue Jenny, sans rien suspecter avait rejoint ses copines, permet-tant aux ainsi aux jeunes mâles de pénétrer subrepticement dans le lo-cal.

La porte était maintenant verrouillée dans leur dos, ils se faufilèrent dis-crètement vers le bureau où la lumière était encore allumée dans le fond du local, où ils avaient prévu de venir surprendre l'insouciante madame Wilson.

Le dos tourné vers la porte elle prenait des photocopies dans un bac à feuille pour les disposer sur la table contenant les tracs prêts à être dis-tribués.

Se retournant pour prendre quelques feuillets dans le bac à courrier, elle haleta soudain effrayée à la vue des 5 gaillards qui s'étaient glissé dans le local, de surprise, elle laissa tomber au sol feuillets qu'elle avait en main.

Laissant les tracs s'éparpiller sur le bureau elle tourna les talons pour fuir alors que les jeunes pervers s'approchaient d'elle.

-"Hello madame Wilson... On a entendu dire que tu cherchais des volontaires! ...." l'interpella Sam l'Asiate qui était le premier à atteindre le bureau.

-"Des volontaires... pour être les premiers à se faire sucer la bite dans ta jolie bouche! ....." gloussa-t-il grossièrement.

-"Ou préférerais-tu jouir d'un nouveau soin de visage avec l'onc-tueuse crème de la bite à Sam? ..... Te rappelle t u la dernière fois? ....... Quand tu avais refusé d'accueillir ma bite dans ta bou-che? ....... J'avais alors promené mes couilles sur ton visage... On peut recommencer si c'est ce que tu désires! ....." ironisait-il cruellement.

Elle n'avait aucune chance de s'échapper du cercle de ses athlétiques jeunes hommes qui l'entouraient, tout de suite, comme elle le craignait deux d'entre eux la prirent par les bras et la forcèrent à s'agenouiller au sol.

Un de ces voyous, dans son dos, avait saisi ses cheveux et la forçait à regarder le pervers Sammy Tong tendant la main vers le haut de la te-nue de base-ball qu'il portait.

C'est alors qu'il lui cracha au visage :

-"Tu sais être le receveur perd de ses charmes à la force! .... Tou-jours être obligé de porter une coquille pour se protéger les burnes des chocs du base-ball! ..... Je suis ravi de pouvoir enfin virer cette coquille si inconfortable! ...."

Bobbie aurait aimé mourir là, à l'instant, où ce diabolique jeune homme porta sa coquille sous son nez et sa bouche, la forçant à humer cette protection qui avait englobé ses parties génitales.

Elle se débattait entre les mains qui immobilisaient ses bras, cherchant désespérément de briser leur étreinte pour fuir cette odeur répugnante.

Sa puanteur l'étourdissait alors qu'il l'interrogeait ironiquement :

-"Alors madame Wilson, aimes-tu mon odeur corporelle? ..... J'ai une sorte de fétichisme... Je me lave rarement les couilles pendant la saison de base-ball! .....

Voyons voir, Je crois que je ne me suis pas lavé les burnes depuis le troisième match, il y a un mois de cela! ....."

Lorsqu'enfin il enleva la coquille de son visage, Bobbie souffla et se réjouit d'aspirer quelques goulées d'air frais.

Mais cela avait offert l'opportunité à ce pervers de se poster devant elle et d'enfouir son épaisse bite dans sa bouche rétive.

Et maintenant le lubrique asiate faisait coulisser d'avant en arrière sa grosse queue entre ses lèvres asservies, alors qu'il la tenait par les che-veux ce qui lui permettait de maintenir sa bouche dans le bon axe.

-"Ah... Ahhh... Ahhhh..... Oh madame Wilsonnnnnnnnn..... J'en ai rêvé de cette savoureuse pipe! ..... Argggghhhhhhhhhh... Arggggghhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh....." râlait le salopard en bourrant sa bite au fin fond de sa gorge pour y projeter des torrents de lave crèmeuse .

Le trop plein de sa gorge lui remplit la bouche de foutre épais et goûteux.

La tête tirée en arrière elle fixait le jeune efflanqué qui lui ordonnait :

-"Avale mon foutre madame Wilson! .... Je ne connais rien de meil-leur que l'épaisse soupe chinoise! ..... Un rien grumeleuse non? ... Le même goût que la savoureuse soupe aux oeufs! ......" gloussait le pervers asiate.

-"Oh oui comme ça... Suce... Encore... Avale tout... Ah oui, sais-tu que les Chinois débutent toujours leur repas par un bon bol de soupe bien chaude! ..... Profites en bien, j'ai encore une bonne dose de foutre en resserve dans mes couilles! .... Ah..... Ah... Ahhhhhhhhhhhhh.....".

Bobbie sentait son estomac se soulever de dégoût, l'ignoble potion for-mant une petite dans son estomac, révulsé.

Elle avait de violents hauts le cœur et se sentait profondément humiliée d'avoir du faire cela, c'est alors qu'ils lui saisirent les bras et la traînèrent sur le bureau qu'elle venait tout juste de ranger.

Une paire de main remonta sa jupe bleue marine et s'inséra sous la cein-ture élastiquée de sa petite culotte. La familière voix du gaillard nommé José précisa :

-"Je suis le premier volontaire! ...."

Une seconde plus tard il poursuivit :

-"Cette fois je veux lui bouffer le gazon! .... Bordel je veux savourer son nectar! ...."

-"Ahhhhhhh... Ohhhhhh..... Oh! ...... Nnnnnnnnnnnnnnn......" gé-missait Bobbie alors que ses cuises étaient maintenant relevées sur les épaules de José.

Il lui bouffait avidement la chatte comme s'il n'avait pas mangé de la journée.

-"Nnnnnnnn... Nnnnnnnnn..... Nonnnnnnnnnnnn... "pleurnichait-elle subissant impuissante les lapements de José dans sa fentine asservie.

-"Oh mon Dieu... Oh mon Dieu... Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuu... " miaulait-elle s'arc-boutant sur les talons lorsque l'habile lécheur dénicha et titilla son clito hyper sensible.

Pantelante après cet orgasme intense qui venait de la terrasser, Bobbie se retrouva poussée sur le devant du bureau, les pieds reposant au sol.

Un instant plus tard, sa jupe relevée exposant ses fesses nues érigées sur les orteils elle gémissait :

-"Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnn.... Arrêtez..... Arrêtezzzzzzzzzzz....." le jeune voyou nommé Derek riait derrière elle :

-"Ah t'as vraiment un trou du cul très étroit ma chère madame Wil-son..... Tout aussi étroit que la dernière fois que je t'ai enculée! ..... Oh oui, que c'est bon.... Mais je sens comme une grosse merde qui obstrue ton boyau! ..... On va bien voir ce que ça donne.... Elle est drôlement serrée du trou de bale... Fais moi taire de cette pute José!... " entendait-elle son sodomiser ordonner au bâtard qu ve-nait de lui bouffer la moule.

Le jeune latino se trouvait maintenant derrière le bureau il lui tenait les cheveux, il la bâillonna de son épaisse bite qu'il inséra, sans plus atten-dre dans sa bouche

Les bras tendus le long du bureau par deux membres du gang, Bobbie frémit en sentant qu'ils refermaient ses mains sur leurs bites tendues dans leurs shorts de base-ball.

Elle se retrouvait sodique sans aucune pitié, forcée de sucer un autre voyou alors qu'elle branlait deux autres bites gluantes de deux membres du gang! .....

Pendant ce temps, Sammy Tong avait empoigné sa caméra digitale et, debout sur la table aux brochures il enregistrait la scène de viol en détail.

Et cet instant il zoomait sur Derek sur qui baisait frénétiquement ma-dame Wilson, à sa façon de s'agiter sa grosse bite enfouie en elle il était visible qu'il ne tarderait plus à lui délivrer un bon lavement.

-"Uh... Uh.... Uhhhhhh.... yeahhhhhhhhhhhhh...." grognait-il en s'enfouissant jusqu'aux couilles dans son trou du cul totalement asservi.

Son corps d'ébène tressautait, alors que ses fesses se crispaient, il était évident pour tous qu'il était en train d'asperger ses muqueuses anales de son jus crémeux.

-"Ah bordel, que c'est bon..... On s'accorde vraiment bien tous les deux madame Wilson... " s'esclaffa-t-il avant de clamer :

-"Quel est le prochain volontaire? ...."

-"A mon tour... Je suis volontaire pour être le premier à lui prendre la chatte comme le jour de l'anniversaire... Je veux faire mieux que la dernière fois...... Je veux la baiser jusqu'à l'os cette fois ci! ......" s'emballait Jason se saisissant sa bite à pleines mains ajoutant :

-"C'est d'accord madame Wilson, tu vas profiter de ma bite...... Je bande comme un âne à l'idée de te grimper! ..... Regarde bien madame Wilson, vois-tu quel point elle est bandée! ..... Je vais bientôt te la fourrer en totalité dans ta petite chatte si étroite! ..."

Bobbie fut alors retournée, dos au bureau étendue longitudinalement.

La tête rejetée sur une arête du bureau, les jambes étendues jusqu'aux genoux de l'autre coté, elle voyait avec anxiété, les hooligans changer de position.

Jason prenait position entre ses cuisses, le jeune asiate qui allait de lui fourrer sa bite en bouche s'entendit alors interpeller :

-"Bouge de là Sam, fais toi branler..... Je vais offrir à un traitement spécial à madame Wilson! ...."

Bobbie n'aurait jamais cru pouvoir être aussi profondément humiliée, mais elle n'allait pas tarder à se rendre compte à quel point elle se trom-pait.

Forcée d'ouvrir la bouche sous l'impitoyable pression exercée sur son menton, elle ne put lutter contre l'introduction dans sa bouche d'une énorme bite noire, celle qui sortait tout droit de son trou du cul.

Elle l'entendit alors gronder railleusement :

-"Allez madame Wilson, nettoie ma bite! ... Elle est couverte de merde! ..... De ta merde... Quoi que se passe-t-il? .... Tu n'aimes pas le goût? ..... Et moi qui pensais que les bourgeoises aisées aimaient les esquimaux vanille/merde, hey, hey, hey..."

Jason était prêt à la baiser royalement.

-"Oh ouiiiiiiiii... t'es toujours aussi étroite! ..... Oh oui madame Wilson, je suis déterminé à te posséder à fond cette fois! ..... J'espère faire un petit frère à Johnny! .... Tu vas aimer madame Wilson... Que penserais-tu d'une petite fille, j'adorerais te faire une petite fille! .... Comme aux trois dernières ados que je me suis fait..... Chacune d'entre elle prend maintenant soin d'une charmante petite fille de mes oeuvres! ..." se vantait-il tout en la labourant vigoureusement.

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