Baby-sitting

BÊTA PUBLIQUE

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Tout en laissant mon doigt s'activer sur son clitoris, elle retroussa ma jupe jusqu'à mi-cuisses.

Ah, tu n'as pas les jambes nues, c'est bien. Quoi que... C'est vrai que dans certains cas, une jambe nue, ça peut faire beaucoup d'effet. Qu'en penses-tu Ghislaine? Enfin, continuons voir... Ce ne sont pas des collants, j'espère! Dis-moi que tu portes des bas. Ou au moins des Dim-Up, même si je trouve que les bas sont beaucoup plus ... érotiques.

Est-ce que tu sens un porte-jarretelles?

Comprenant la question, elle caressa le cuir qui moulait mes hanches à la recherche des fines lanières qui retenaient mes bas. Quand elle fût certaine d'en avoir senti au moins une, elle continua à faire rouler ma jupe sous les doigts de sa main droite afin de remonter jusqu'à la démarcation entre le nylon et la chair de ma cuisse. C'est à cet instant que tout bascula, car Karine s'agenouilla et releva ma jupe à deux mains, avec au départ l'intention avouée de me brouter le minou! Tout s'était passé si rapidement que c'est juste au moment où sa langue allait entrer en contact avec mon slip en cuir qu'elle se rendit compte de la dure réalité (si j'ose dire!). Ghislaine s'était placée de telle sorte qu'elle pût voir la surprise la plus totale se peindre sur le visage de Karine. Elle poussa un "Ah ben merde alors!" de stupeur et se releva, abasourdie. Comme pour une ultime vérification, elle caressa ma poitrine pour voir si elle était naturelle ou fausse. Puis elle termina le slow en se frottant contre moi, mais en gardant tout le temps les yeux mi-clos et sans dire un mot.

Elle se détacha de moi, prit le verre que lui tendait Ghislaine et dit :

OK, vous marquez un point, y a pas photo! ... Ouais, là je dois dire que vous faites quand même très fort, chapeau!

Elle but une gorgée et ajouta :

Vous cachez très bien votre jeu, mais c'est à mon tour de vous réserver une petite surprise. Ne bougez pas, je reviens tout de suite...

13

Ghislaine m'enlaça et me souffla à l'oreille :

Cette fois, ça y est, on est au pied du mur...

Espérons qu'on ne le prendra pas dans la gueule!

Je tournais le dos à la porte du salon, mais les caresses que me prodiguait Ghislaine s'arrêtèrent si brusquement que je me retournai pour en voir la cause. Karine faisait son retour. Mais quelle Karine!!!

La jeune femme s'était métamorphosée! Elle portait à présent des cuissardes blanches vernies avec un plateau sous la semelle qui lui permettait de marcher plus facilement sur la douzaine de centimètre des talons aiguille! En haut, elle avait enfilé un soutien-gorge en cuir noir dont les bonnets découpés exhibaient fièrement la pointe de ses seins. Son ventre plat et bronzé était souligné par un porte-jarretelles du même métal qui retenait des bas résilles. La panoplie était complétée par une paire de longs gants en agneau qui moulaient ses bras jusqu'au-dessus du coude, mais ce vers quoi convergeaient nos deux regards, c'était le gode ceinture qui saillait de son pubis! Il était parfaitement ressemblant, couleur chair, les veines légèrement saillantes et bien dessinées, et de taille tout à fait... humaine!

Surprises les filles? Bien, maintenant, et pour commencer, je vais un peu vous relooker, mes chéries! Ghislaine, tu vas rester comme ça, mais tu vas m'enlever tout de suite ce body. Je veux tout voir à chaque fois que tu te pencheras en avant! ... Non, non, ne rattaches pas le blouson, je veux aussi voir tes seins.

Elle s'approcha d'elle et les caressa doucement tout en frottant son bassin contre celui de Ghislaine. Celle-ci ne bougeait pas.

Hum, ils sont doux et fermes! J'aime. Et toi, ça te plaît que je les caresse comme ça, hein? Ca t'excite de te sentir gouine, hein?

Elle ne répondit rien, mais continua à se laisser faire.

J'en étais sûre. Tu te la joues "bourge", mais en fait, tu es une petite allumeuse. Remarque, pas autant que ta copine! Elle, elle se pointe sapée "grande dame", bottes genre haute couture et jupe longue en cuir, mais en fait, elle en veut plein la culotte, c'est tout! Et bien vous n'allez pas être déçues. Allez, à poil, Samantha, à poil!

Elle me laissa juste les sous-vêtements en cuir blanc achetés le matin et mes bas assortis. Elle me tendit une paire de cuissardes en cuir rouge et une jupe noire, en cuir elle aussi, qui se fermait par un zip partant de la ceinture et descendant sur toute sa hauteur. En fait, "hauteur" n'était pas un terme approprié, car même en ayant descendu à fond la fermeture éclair, mes fesses étaient à peine couvertes. Elle était encore plus courte que celle de Ghislaine, et c'était là la différence entre un vêtement "sexy" et un accessoire érotique "hard"!

Pour commencer, vous allez me mettre en condition. Je veux que chacune de vous deux m'excite un sein avec sa bouche pour seul accessoire! On va voir laquelle de vous deux est la plus douée...

Pendant que nous faisions de notre mieux pour la satisfaire, elle nous encourageait de la voix. Elle posa ses deux mains sur nos têtes pour les guider. Les pointes de ses seins étaient maintenant durcies et elle poussait des soupirs de plus en plus voluptueux. Au bout de quelques temps, sa main se détacha de mon crâne et je la vis saisir son gode ceinture et commencer à se masturber comme l'aurait fait un mec. C'est alors que je constatai que c'était un modèle double et que le mouvement qu'elle venait d'entamer avait des répercussions directes sur son bas-ventre! Profitant de l'intensité de son excitation, je poussai les testicules en latex avec le dessus de la main et amenai un doigt inquisiteur entre ses fesses. Elle poussa un soupir plus rauque et m'incita à continuer. Peu après, elle atteint l'orgasme.

Elle nous demanda ensuite de nous agenouiller pour la sucer toutes les deux en même temps. Comme je marquais un temps d'arrêt, elle me dit :

Ne me dis pas que c'est une première pour toi, je suis certaine que tu en as déjà sucé plus d'une!

Et bien, crois-moi ou pas, je n'ai jamais fait ça.

Ghislaine me prit la main et me dit d'une voix douce :

Détends-toi et fais comme moi, je vais t'aider...

Ecoute ta copine, Sam, écoute-la bien.

Hésitant, mais forcé d'accepter les règles du jeu ou bien d'en sortir, je m'agenouillai face à Ghislaine et approchai ma bouche du godemiché que Karine exhibait fièrement. C'était une sensation plus qu'étrange de sentir les lèvres de Ghislaine contre les miennes et ce phallus de latex contre ma langue. Je remis mon index gauche au bord de l'anus de Karine, tandis que ma main droite se plaquait sur la toison pubienne de Ghislaine. Pour sa part, elle masturbait le gode de la main gauche pendant que la droite caressait la cuisse de notre hôtesse sans me quitter du regard. Je sentais sous mes doigts l'excitation de Ghislaine qui augmentait. J'appuyai mes caresses. Elle poussait des soupirs entrecoupés de petits cris. Cela m'encouragea à sucer plus activement Karine. En levant les yeux vers elle, je la vis sourire, manifestement satisfaite :

C'est bien ce que je pensais : sous vos dehors "convenables", vous êtes deux chiennes. Hûûûm, j'aime ça, les chiennes, quand il s'agit de sexe! Allez, je vous déclare ex aequo toutes les deux sur cette première manche. Tu es plus douée que Sam, Ghislaine, mais il faut récompenser les efforts qu'elle fait!

Elle nous fit relever et nous mit cote à cote; elle embrassa Ghislaine sur la bouche, elle lui caressa à nouveau les seins, puis sa main descendit lentement sur les hanches.

Elle força sa queue artificielle à passer entre les jambes de Ghislaine, mais sans la pénétrer. Pendant qu'elle s'activait ainsi, elle me caressait les fesses sous ma minijupe. Elle se détacha de ma compagne et me fit me retourner. Elle se plaqua derrière mon dos et frotta sa queue dans la raie de mes fesses. Malgré moi, je poussai un petit cri.

C'est ça, joue les mijaurées, ça m'amuse! De toutes façons, ça ne changera rien à ce qui vous attend!

Tout en disant cela, elle remonta à moitié la fermeture éclair du devant de ma jupe, puis sa main se glissa par l'entrejambe sous mon brésilien de cuir et elle fit sortir à l'air libre ma verge raidie.

Ghislaine, prends appui sur le canapé pour te pencher en avant. ... Non, pas sur le dos du canapé, il est trop haut, penches-toi sur l'accoudoir.

Tu veux tout voir, c'est ça, hein? Tu veux que je joue les salopes, et bien, tiens, la voilà ma chatte. Et bien, vas-y, mate, puisque ça t'excite tant!

Au moment où elle répondit à Karine, je retrouvai dans ses yeux cet éclat métallique que j'avais entrevu lorsqu'elle m'avait découvert la veille au soir, travesti avec ses vêtements. Elle se mit néanmoins dans la position réclamée. Penchée à ce point en avant avec les jambes tendues, sa superbe minijupe ne cachait effectivement plus rien de son intimité! Karine et moi avions une vue imprenable sur son cul et sur sa chatte. Je frémis d'excitation. Karine s'en rendit compte :

Elle te fait de l'effet, hein? Ne t'inquiètes pas, on va se la faire... toutes les deux! ... Ensemble!

Toujours collée à moi et sans que sa main ne lâche prise, elle me poussa en direction de Ghislaine. Tout en me masturbant lentement, elle pointa ma verge à l'entrée du petit trou de Ghislaine. Je protestai :

Non, je ne peux pas la prendre comme ça! Je ne veux pas!

Ah non, et pourquoi donc?

Parce que je veux être douce avec elle, je ne veux pas la baiser comme un mec en rut. Je refuse.

Je sentais le gode appuyé dans ma raie, mais résistai pourtant. Karine relâcha un peu sa pression, mais profitant de la position écartée des cuisses de Ghislaine, sa main enfonça mon sexe dans sa chatte sans plus de préliminaire. Fort heureusement pour elle, il régnait dans l'appartement un tel état d'excitation général que la pénétration se fit malgré tout sans encombres.

Karine avait laissé son index tendu plaqué contre ma queue qui allait et venait dans le ventre de Ghislaine. Elle ne nous laissa cependant pas longtemps profiter de ces mouvements. Elle me mit son doigt dans la bouche. Je le suçai avec plaisir. Sans l'enlever, elle me roula un patin d'enfer en regardant droit dans les yeux Ghislaine qui s'était redressée. Lorsqu'elle décolla ses lèvres de ma bouche, elle nous fit signe de la suivre dans la dernière pièce de son logement.

14

La pièce n'était pas très grande, mais elle avait été manifestement meublée dans un objectif précis : le sexe!

Un pan entier de mur était constitué d'un très grand miroir. Un matelas de deux mètres sur trois environ occupait une bonne moitié de la surface. Il y avait à coté un banc qui ressemblait à un banc de musculation, pas très large, avec le dessus rembourré pour lui donner malgré tout un minimum de confort. Sur deux portants à roulettes étaient suspendues plusieurs tenues typées SM.

Karine me désigna le banc de la tête :

Allonge-toi là-dessus, sur le dos! Et toi, Ghislaine, colle-toi en levrette sur elle.

Je m'exécutai, laissant mes talons aiguilles reposer au sol. Ghislaine s'approcha. Je lui pris la main et elle se pencha pour m'embrasser, puis elle m'enjamba et se tint un instant immobile, debout au-dessus de moi. Karine venait de s'agenouiller à l'extrémité du banc et commençait à lécher le cuir mat de mes cuissardes rouges tout en me caressant les mollets.

Elle se releva, prit mon sexe dans sa main et dégagea mon pubis pour que Ghislaine se mette en position. Elle écarta les grandes lèvres et le plaça à l'entrée de son vagin. Ghislaine s'allongea complètement sur le dos. Je pris ses seins dans mes mains et commençai à les caresser tendrement, tout en la pénétrant aussi doucement que possible. Aussitôt, Karine se remit à genoux et elle gratifia Ghislaine d'une superbe séance de "broutte-minou".

Sa langue allait chercher son clitoris, léchait ma hampe lorsqu'elle sortait du ventre de Ghislaine, puis retournait fouiller son intimité. Sa main gauche s'était glissé sous mes fesses et me caressait tour à tour les testicules et l'anus; sa main droite caressait l'entrejambe ou le ventre de Ghislaine qui ondulait lascivement pour profiter au mieux de la sensation de mon sexe planté en elle. Je laissais échapper des gémissements de plus en plus rapprochés et de plus en plus sonores. Ma main gauche délaissa son sein pour aller vers son clitoris que Karine léchait avec autant d'ardeur que de volupté. Elle poussa un long soupir de satisfaction.

Sentant que j'approchais du point de non-retour, Karine profita d'un mouvement de bassin de Ghislaine pour sortir ma verge. Nous poussâmes ensemble un cri de surprise et de dépit. Laissant volontairement ses doigts frotter contre les grandes lèvres, Karine se mit alors à me branler si fébrilement que j'éjaculai presque aussitôt. Le sperme jaillit violemment, atterrissant sur le ventre de Ghislaine, au-dessus de la ceinture de la minijupe qu'elle n'avait pas quittée.

Karine nous ordonna de ne pas bouger et se mit en devoir de nettoyer avec sa langue le fruit de ma jouissance. Elle ne cessait de nous caresser l'une et l'autre tout en s'activant. Après s'être occupée de Ghislaine, elle prit mon sexe qui n'avait pas totalement dégonflé dans sa bouche et effaça là aussi toute trace de sperme.

Sam, maintenant, je veux que tu lui nettoies la chatte avec la langue.

Tout en gardant appui sur ses jambes afin de ne pas m'étouffer, Ghislaine obéit à Karine qui lui demandait de s'asseoir sur mon visage, tandis qu'elle-même plaçait dans la raie de ses fesses ce qui me restait d'érection. Mes mains couraient sur les cuisses de la jeune femme rousse. Je lui fis sa toilette intime, pendant qu'elles s'embrassaient toutes les deux à bouche que veux tu en se caressant mutuellement la poitrine. Ghislaine eut un nouveau sursaut de plaisir, et je sentis avec délectation le goût de sa jouissance dans ma bouche. Elle s'avança sur ma poitrine pour me laisser un peu mieux respirer. Je sentais le cuir de ses cuissardes sous mes aisselles et celles de Karine sur mes hanches. Sans faire de mauvais jeu de mots, pour moi, c'était le pied!

Karine était hyper excitée, mais elle n'avait pas assez joui. Elle essaya de s'enfiler mon sexe dans l'anus, mais il avait perdu un peu de sa superbe et ne réussit pas à rentrer profondément. Elle dit alors à Ghislaine :

Tu vas me lécher le cul, tu vas me le chauffer à blanc, ça va l'exciter ta copine, ça va la remettre en forme! Et après ça, elle me mettra son gode à elle dedans, sous tes yeux...

Après être allé chercher un tube de gel lubrifiant, elle se mit à quatre pattes sur le grand matelas et exhiba son arrière-train. Ghislaine ne sembla pas avoir besoin de se faire prier pour s'exécuter. Elle força Karine à écarter ses jambes au maximum, plaqua sa propre toison contre son arrière-train et se frotta longuement ainsi à elle. Ce faisant, elle prit en main le gode et le branla, faisant retrouver à Karine le plaisir qu'elle s'était accordée toute seule un quart d'heure auparavant.

Je ne perdais pour ma part pas une miette du spectacle. Aussi excitant qu'il soit, j'avais malgré tout un peu débandé. Ghislaine s'arrêta pour entamer un superbe anulingus à Karine après lui avoir dit :

Sois une bonne hôtesse, ne laisse pas Sam toute seule. Agenouille-toi devant elle, Sam, elle va s'occuper de te requinquer!

Je m'approchai du visage de Karine et elle remonta presque jusqu'en haut la fermeture éclair de ma minijupe. Mon brésilien en cuir était maintenant totalement visible. Malgré un léger manque de souplesse des cuissardes, je m'agenouillai devant elle. Sous les encouragements de Ghislaine qui lui avait maintenant introduit un doigt dans l'anus après l'avoir enduit de gel, Karine me suça et me caressa tant et si bien que je fus bientôt en état de la sodomiser.

Manifestement, Ghislaine voulait prouver à Karine qu'elle ne se laisserait jamais dominer complètement. Elle voulait lui "rendre la monnaie de sa pièce", et à son tour, ce fut sa main à elle qui planta mon sexe à l'entrée de son petit trou après l'avoir enduit de sa salive! Je saisis Karine par les hanches et m'enfonçai doucement en elle. Elle poussa un long soupir de plaisir puis brutalement, elle s'empala toute seule en donnant un coup de reins sec, tandis que Ghislaine prenait ma place devant son visage pour se faire à nouveau lécher le clitoris. La double pénétration qu'elle vivait ne semblait pas gêner Karine, au contraire! J'avais ramené mes mains tout en haut de ses cuisses, et sans la lâcher un instant, j'allais et venais au creux de ses reins. Mon sexe coulissait en elle sans effort. Les encouragements de mes deux camarades de jeu me maintenaient dans un état d'excitation extrême et me permettaient une érection sans faille. Karine poussait des soupirs de plus en plus rauques. C'était maintenant elle qui faisait bouger son bassin à grands coups de reins pour mieux me sentir au plus profond d'elle. Sans que je n'éjacule, elle parvint après quelques minutes à l'orgasme en poussant un grand cri de plaisir.

Le sexe encore et toujours au garde à vous, je me retirai d'elle. Karine s'allongea; je m'approchai de Ghislaine et collai mes lèvres contre les siennes. Elle me caressait les seins et murmura :

Tu es l'hermaphrodite le plus extraordinaire que je connaisse. S'il te plaît, maintenant, prends-moi comme elle. Je sais que tu peux encore...

Mais ...

Je sais à quoi tu penses, mais je n'aurai jamais l'impression que toi, tu me "baise comme un mec en rut", tu es trop doux... trop douce...

Nous nous enlaçâmes et nous caressâmes tendrement. Petit à petit, mon majeur se concentra sur ses fesses, jusqu'à ce que je la sente bien détendue. Elle prit ma queue en bouche pour en consolider la vigueur et se retourna sur le ventre. Karine avait repris ses esprits et étala une noix de gel sur mon gland. Le plus doucement possible, je m'enfonçai en elle, tandis que Karine recommença à se masturber avec son gode. Je pus saisir dans mes mains la poitrine de Ghislaine et la caressai tout en allant et venant de plus vite en elle. Nous poussions elle et moi des gémissements de plaisir auxquels ceux de Karine répondaient en écho. J'explosai finalement au moment où Karine atteignit à nouveau le nirvana.

Mon corps se faisait lourd sur celui de Ghislaine qui tourna vers moi un visage souriant.

Merci, Sam, merci, tu as été aussi merveilleuse que je m'y attendais.

Nous restâmes immobiles tous les trois quelques instants. Je débandais doucement.

Mais dès que Ghislaine bougea, mon sexe ramolli sortit malgré moi de son anus.

Je m'allongeai alors sur le dos entre les deux filles.

Karine se leva pour aller chercher nos paquets de cigarettes, puis se rallongea entre nous deux en se serrant contre Ghislaine. Elle n'avait toujours pas quitté son gode-ceinture...

15

Au bout de plusieurs minutes, Ghislaine rompit le silence :

Dis-moi, Karine, je peux te demander quelque chose?

Oui, bien sûr.

Ben, voilà, j'ai envie de te demander "Pourquoi tant de haine"? C'est vrai, quoi, depuis qu'on a commencé toutes les trois, tu sembles refuser toute démonstration de douceur. Et pourtant, je suis certaine qu'au fond, ça te plairait.

Qu'est-ce que ça peut te foutre, tu es psy?

Non, mais... Ca me fait presque de la peine pour toi. Je ne te comprends pas, là. Tu sembles aimer les filles, et pourtant, j'ai eu l'impression plusieurs fois que tu voulais me ... me rabaisser, c'est ça. Me réduire au rang d'objet sexuel! Tu as honte d'être bi ou quoi?

Karine tira nerveusement plusieurs bouffées de sa cigarette et finit par répondre :

Tu veux que je te dise : les filles, je les baise. Et les mecs, je les encule, je les traite comme des esclaves. N'importe quel mec, tu peux le mener par la queue, et c'est ce que je fais, au propre comme au figuré. De toutes façons, si tu ne le fais pas, ce sont eux qui te laissent tomber pour la première pétasse qui passe. Alors voilà, je me venge...

J'intervins dans la discussion :