Anne, ou la naissance d'une chienne

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Anne découvre la soumission.
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Préambule : Anne est née en septembre 1968 à Dunkerque. À cette époque, sa mère avait quitté son mari depuis quelques mois. À sa naissance, le père d'Anne ne la reconnaît pas, contrairement à son frère ainé et à sa sœur. La mère d'Anne souffre de surdité plongeant ainsi la famille dans une forme de communication difficile. Au fil des années, Anne se développe. Dans la cour de l'école, Anne est une enfant timide et réservée, souvent mise à l'écart par son frère et par sa sœur dont le nom de famille est différent. Anne se sent différente tant par le nom, mais aussi par son physique. Elle a des attaches fines, de longs bras et de longues jambes qui mettent en valeurs les traits doux et sensuels de son visage qui possède une grande bouche délicatement ornée de lèvres finement dessinées et de grands yeux d'un bleu profond. Blonde, elle attire le regard à l'inverse de sa sœur brune et plutôt ronde.

Les difficultés de communication au sein de la famille se renforcent avec l'arrivée du beau père, chauffeur de camion de transports de marchandises qui parcourt principalement l'Europe. À 16 ans, Anne habite une petite maison familiale de la région parisienne proche de la ville de Charenton. Elle suit des études techniques et pratique le basket-ball. Sa taille de 1,74 m et son poids léger de 50 kg, lui donne l'impression d'être toute en longueur, sauf sa poitrine, un 95 C dont les formes attirent le regard. Mais Anne garde cette discrétion, comme une fracture secrète. Si Anne est extrêmement sensuelle, elle souffre de ce manque de reconnaissance, par le nom et principalement l'indifférence de son père, ou du moins du père de son frère et de sa sœur. Pourtant, Anne ressent le regard des hommes sur elle, et aussi celui des femmes.

1- Le frère ou l'éveil du corps.

Thierry, le frère d'Anne est son ainé de 4 années. Il habite toujours dans la maison familiale, dont la chambre est sous les combles, au-dessus des chambres de ses deux sœurs. Il est interdit de pénétrer dans ce lieu et ce message est d'autant plus fort qu'il provient de leur mère. Un jour où Anne est seule dans la maison, elle est attirée par l'escalier qui conduit dans ce lieu interdit, la chambre de son frère Thierry. Ce frère qui ne l'a jamais considéré comme sa sœur, mais plutôt comme une demi-sœur, voire comme celle qui était la cause du divorce de ses parents. Anne est dans la chambre de Thierry, elle découvre ce lieu jusqu'alors interdis. Cette chambre est composée d'un grand lit, d'un bureau et d'un placard composé de portes coulissantes fixées sur tout un pan de mur. Fébrile et curieuse, Anne visite ce lieu sans prendre conscience du temps qui passe et surtout de l'arrivée de Thierry dans la maison, qui se croyant seul se dirige directement vers sa chambre. Arrivé au premier étage et en prenant le chemin de l'escalier qui le mène à sa chambre les premières marchent craquent dans un bruit qui s'il est anodin, éveille les sens d'Anne et la pétrifie sur place. Le temps de quelques marches il sera là avec elle, alors que ce lieu lui est interdit, expressément interdit par sa mère. Elle réfléchit vite une solution. Seule une fenêtre sur le toit éclaire la chambre, la fuite ne peut pas se faire par cette voie. Elle part vers le grand placard, déplace une des portes coulissantes, et se réfugie comme elle peut derrière les cintres et les vêtements suspendus. Thierry entre dans sa chambre, puis en fermant la porte, il tourne la clé afin d'éviter que celle-ci puisse par moment s'ouvrir. Les maisons anciennes travaillent, et les portes, surtout sous les toits, sont soumises à des contraintes.

Anne dans le placard a très chaud, son cœur bat fort. Thierry commence à se mettre à l'aise, puis part en direction de son placard afin d'accrocher sur un porte-manteau sa veste. La porte coulissante se déplace sous l'action de la main de Thierry. Anne se plaque contre le mur, son 1m74 est trop grand pour qu'elle puisse se fondre dans les aspérités du mur du fond du placard. Son frère la découvre ainsi, muet, statique et livide. Il perçoit ses grands yeux bleus, sa bouche entre ouverte, son chemisier blanc cassé tendu sur cette poitrine arrogante rythmée par une respiration rapide, et cette petite jupe noire tout en haut de longues jambes fines et gracieuses. Anne ne bouge pas. Thierry d'un regard étonné, passe à un regard carnassier. Anne ne comprend pas. Elle attend sans oser penser quoi que ce soit. Tout en laissant la porte ouverte, Thierry recule et part s'assoir sur le siège de son bureau. Il pose son regard sur son corps. Puis après un moment qui semble durer une éternité, Thierry parle. « Anne tu es dans un lieu, interdit. Notre mère t'a informé des conséquences du non-respect de mon intimité. Sorte de suite de ce placard, et tu viens vers moi de suite. » Les mots sont autant de gifles qui frappent le visage d'Anne. Comme un robot, elle sort du placard et se déplace vers le bureau où Thierry est assis. Arrivée à quelques pas du bureau, Anne, les mains dans le dos et le regard baissé, attend les prochains propos. Elle sait qu'elle ne doit pas se trouver là, et plus encore, elle ne sait pas comment expliquer au reste de la famille sa cache dans le placard. Thierry prend le temps de regarder Anne sous toutes les coutures. Il ne voit pas l'adolescente, mais une femme. Il se sent fort devant elle. Pour lui, elle n'est pas sa sœur et elle est la cause du divorce de ses parents. Il le sait, et elle va souffrir pour tout cela.

« Qu'as-tu à me dire qui expliquerait ta présence ici? » Anne ne peut rien dire pour se défendre, car tout en elle sait qu'elle ne devait pas se rendre ici. « Je vais informer notre mère de la situation et tu sais quelle est l'action». Anne ne dit rien, mais son corps parle pour elle. Le léger duvet blond de ses avant-bras se redresse, elle frissonne. Ses yeux se remplissent de larmes qui viennent rouler sur ses joues. « Je vais te punir, si tu acceptes sans jamais t'opposer à mes ordres, je ne dirais rien à notre mère. Acceptes-tu d'obéir? »

Anne réfléchit et elle sait que c'est la seule solution. À ce moment, naïvement, elle n'imagine pas l'ensemble des conséquences. Elle espère encore une voie de sortie. « Oui, j'obéirai ». « Pour te punir, je vais te donner une fessée. Enlève de suite ta jupe ». Anne ne comprend pas les mots. Punir, fesser, enlever la jupe. « Je ne vais pas le répéter. Soit tu le fais de suite, soit tu pars et je préviens notre mère ». Anne laisse tomber sa jupe. Thierry suit la chute de la jupe pour remonter le long de ces jambes et s'arrêter sur la culotte blanche en coton. Anne regarde le plancher et attend la suite des événements. « Viens vers moi ». Elle se déplace lentement puis la main de Thierry attrape son bras et le tire pour qu'elle puisse se pencher. « Allonge-toi sur mes cuisses les bras d'un côté et les jambes de l'autre ». Ainsi positionnée, Anne attend. Thierry pose son bras droit sur le dos d'Anne, et de son autre main descend la culotte en coton sur les cuisses. Anne essaye de réagir. « Ne bouge pas. Tu m'obéis. Tu vas recevoir une fessée. À chaque frappe, tu dois compter sans jamais essayer de te soustraire ». La main tombe une première fois et le bruit retentit dans la chambre. « Un », « deux », « trois », « quatre, aie ». À la dixième Anne pleure, à la vingtième, elle crie et se débat. La trentième, elle ne pleure plus, ni ne crie. Ses fesses sont rouges et chaudes. Thierry arrête, sa main le fait aussi souffrir tant les dernières frappes furent fortes pour couvrir les cris et les pleures d'Anne. Elle est encore sur ces cuisses, elle ne bouge plus. Thierry bande très fort. Le corps en abandon d'Anne éveille des sentiments nouveaux. Sa main vient reprendre possession des fesses chaudes. Ses doigts glissent entre les cuisses et viennent se poser sur le sexe d'Anne. Il est humide, chaud et doux. Anne sent les doigts de Thierry se poser sur son intimité. Elle veut réagir, elle ne veut pas de cette caresse. Sur son dos, le bras appuie plus fort comme pour lui dire de ne pas bouger, car c'est lui qui commande. « Ne bouge pas. Tu es à moi et à mes ordres. Je fais ce que je veux de toi ». Les mots sont durs, et Anne les reçoit difficilement. Pourtant elle est vaincue. Les doigts écartent les grandes lèvres et viennent chercher son clitoris. Il le caresse, le tire et le pince. Anne sent une autre chaleur l'envahir. Elle sent une onde partir du fond de son ventre. Elle monte et gronde dans tout son être. Sa respiration est plus rapide et des gémissements sortent de sa bouche. Anne jouit de tout son être. Thierry arrête de la caresser. Il sent ses doigts. Il aime cette odeur, il goute maintenant et se régale de ce nectar. Anne est toujours sur ces cuisses, elle est inerte. Il la pousse et elle tombe à ses pieds.

Il se lève. Du bout de ses pieds, il la pousse. « Lève-toi, chienne! » Les mots sont durs. Anne inerte sur le plancher entend et ne comprend plus. Thierry défait la ceinture en cuir de son jean, et l'utilise pour frapper les fesses d'Anne. Le premier coup génère une telle douleur qu'Anne crie et se relève en même temps. Elle se frotte les fesses qui la brulent encore plus. « À poil, je te veux nue ». Sans réfléchir, elle se met nue pour la première fois devant un homme. Il la regarde et lui caresse les seins. Puis en prenant chaque téton, il les tire vers le bas pour la forcer à la mettre à genoux. Il défait son jean et descend son caleçon. Il bande très dur. « Ouvre la bouche, et laisse tes mains dans ton dos ». Son sexe vient prendre possession de la bouche d'Anne. Ses mains en appui sur la tête impriment le mouvement de la bouche qui glisse sur toute la longueur de son sexe. Un moment, il sent les dents d'Anne, sur la tendre peau de son gland. Il sort sa queue. Une gifle vient laisser la marque de ses doigts sur la joue d'Anne. « Tu dois faire attention avec tes dents, ouvres ta bouche! » Il reprend possession de sa bouche et vient pénétrer sa gorge. Son sexe grossit et il jouit profondément dans sa gorge. Il maintient sa tête le temps qu'elle avale tout. Puis, il lui demande de nettoyer son sexe avec sa bouche et sa langue. Anne épuisée s'écroule. Thierry repart s'assoir à son bureau comme si rien ne s'était passé.

Quelques minutes après, Anne refait surface. « Rhabille-toi. À partir d'aujourd'hui et sans contre ordre de ma part, toutes les fins d'après midi, lorsque nous serons seuls dans la maison, tu viendras dans ma chambre, chienne! Je vais faire ton éducation de chienne soumise. As-tu compris? » Anne écoute, entend et comprend. Elle comprend que cela ne fait que commencer. Comment le dire et à qui? Sa mère sourde et qui lui a interdit d'être ici. À sa sœur qui est jalouse d'elle. À son beau-père qui ne la considère pas plus. Non, elle n'a personne à qui le dire et surtout, elle n'a personne qui pourrait venir à son aide. Anne sait maintenant que la soumission vient tout juste de commencer. « Oui, j'ai compris ». Thierry la regarde un moment puis il ajoute. « Tu m'appelleras Maître, et tu le diras à chaque fin de phrases. Redis-le maintenant! » « J'ai compris maître ». Le sexe de Thierry reprend de la vigueur à l'écoute de ses mots et aux idées à venir. « Passe sous le bureau, tu défais mon jean et tu prends mon sexe en bouche. Cette fois, tu vas me sucer sans que je te dise quoi que ce soit. Lorsque je jouis, tu avales tout et tu ne laisses aucune trace. Ensuite, tu pourras partir ». Thierry venait de jouir. Il était plus endurant. En travaillant, il avait des difficultés à se concentrer sur sa tâche. Il ne savait pas si cela venait de la fellation d'Anne ou de toutes les idées qui lui venaient quant à l'éducation de celle-ci dans un monde nouveau, la soumission. Il l'imaginait dans bien des situations dont certaines étaient des fantasmes inavouables.

Fin du chapitre 1

Si le début de ce récit vous plait, je continuerai.

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